Investing.com - Les bourses d'Asie étaint mitigées à la fin de leur séance ce lundi matin, les performances décevantes des rentrées de General Electric, Microsoft et McDonald's pour le troisième trimestre nuisant à la popularité des valeurs audacieuses.
Les craintes persistantes découlant de la dette espagnole et de la santé économique mondiale continuaient également à jeter leur ombre.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.4%, l'ASX/200 australien glissait de 0.7% et le Nikkei 225 japonais grignotait 0.1%.
A Tokyo, le Nikkei a réussi à surmonter ses pertes du début de journée pour terminer en beauté, alors que les rumeurs d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon filaient bon train dans l'expectative de sa prochaine réunion.
Les entreprises tournées vers l'extérieur étaient mi-figue, mi-raisin, faisant toutefois peu de cas d'une étude montrant que le déficit de la balance commerciale nationale s'était élevé sans crier gare depuis 460 vers 980 milliards de JPY après ajustement saisonnier.
Celle-ci précisait en effet que les exportations avaient subi en septembre un passage à vide inattendu de 10.3% par rapport à l'année précédente, mises à mal par une diminution importante des envois vers la Chine et l'Europe de l'Ouest.
Les constructeurs automobiles Toyota et Honda n'en ont pas moins gagné respectivement 0.3 et 1%, suivis de Kyocera avec 1%.
Sharp, fabricant de matériel électronique actuellement en difficulté, a rebondi de 7.4% après qu'il ait été rapporté que de nouvelles usines de production d'affichages à cristaux liquides étaient dans les cartons.
Fanuc, fournisseur de robots industriels et acteur majeur de l'indice national a par contre dérapé de 2.5% après que JP Morgan l'ait dégradé depuis "poids lourd" vers "neutre" et rabaissé son objectif de cours de 23%.
La finance se trouvait quand à elle en forme à Hong Kong, après qu'il ait été annoncé que l'autorité financière locale soit intervenue vendredi dernier pour la première fois en trois ans afin d'affaiblir le HKD et ainsi maintenir sa parité avec son pendant américain.
La China Construction Bank s'est ainsi élevée de 0.85%, la Bank of China Hong Kong de 0.95% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 1.2%.
Le S&P/ASX 200 australien a quand à lui subi les revers miniers dûs à une expansion économique planétaire remise en question.
Le mastodonte BHP Billiton a ainsi fondu de 0.85%, Rio Tinto et Newcrest Mining n'étant pas en reste avec 2.4 et 1.35%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui peu enthousiasmant, après que les deux jours du sommet très attendu de l'Union Européenne aient pris fin avec la dernière journée de cotation sans fournir d'avancées majeures permettant de renforcer la confiance dans la gestion du problème de surendettement régional.
L'EURO STOXX 50 stagnait, le CAC 40 français montrait une baisse de 0.1%, le DAX 30 allemand l'estimant à 0.15% et le FTSE 100 britannique à 0.3%.
Le Parti Populaire de centre droit du premier ministre Mariano Rajoy avait toutefois renforcé hier sa majorité dans son fief de Galice, éliminant du même coup un obstacle possible à son appel à l'aide auprès de ses partenaires de la zone euro.
Les craintes persistantes découlant de la dette espagnole et de la santé économique mondiale continuaient également à jeter leur ombre.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.4%, l'ASX/200 australien glissait de 0.7% et le Nikkei 225 japonais grignotait 0.1%.
A Tokyo, le Nikkei a réussi à surmonter ses pertes du début de journée pour terminer en beauté, alors que les rumeurs d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon filaient bon train dans l'expectative de sa prochaine réunion.
Les entreprises tournées vers l'extérieur étaient mi-figue, mi-raisin, faisant toutefois peu de cas d'une étude montrant que le déficit de la balance commerciale nationale s'était élevé sans crier gare depuis 460 vers 980 milliards de JPY après ajustement saisonnier.
Celle-ci précisait en effet que les exportations avaient subi en septembre un passage à vide inattendu de 10.3% par rapport à l'année précédente, mises à mal par une diminution importante des envois vers la Chine et l'Europe de l'Ouest.
Les constructeurs automobiles Toyota et Honda n'en ont pas moins gagné respectivement 0.3 et 1%, suivis de Kyocera avec 1%.
Sharp, fabricant de matériel électronique actuellement en difficulté, a rebondi de 7.4% après qu'il ait été rapporté que de nouvelles usines de production d'affichages à cristaux liquides étaient dans les cartons.
Fanuc, fournisseur de robots industriels et acteur majeur de l'indice national a par contre dérapé de 2.5% après que JP Morgan l'ait dégradé depuis "poids lourd" vers "neutre" et rabaissé son objectif de cours de 23%.
La finance se trouvait quand à elle en forme à Hong Kong, après qu'il ait été annoncé que l'autorité financière locale soit intervenue vendredi dernier pour la première fois en trois ans afin d'affaiblir le HKD et ainsi maintenir sa parité avec son pendant américain.
La China Construction Bank s'est ainsi élevée de 0.85%, la Bank of China Hong Kong de 0.95% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 1.2%.
Le S&P/ASX 200 australien a quand à lui subi les revers miniers dûs à une expansion économique planétaire remise en question.
Le mastodonte BHP Billiton a ainsi fondu de 0.85%, Rio Tinto et Newcrest Mining n'étant pas en reste avec 2.4 et 1.35%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui peu enthousiasmant, après que les deux jours du sommet très attendu de l'Union Européenne aient pris fin avec la dernière journée de cotation sans fournir d'avancées majeures permettant de renforcer la confiance dans la gestion du problème de surendettement régional.
L'EURO STOXX 50 stagnait, le CAC 40 français montrait une baisse de 0.1%, le DAX 30 allemand l'estimant à 0.15% et le FTSE 100 britannique à 0.3%.
Le Parti Populaire de centre droit du premier ministre Mariano Rajoy avait toutefois renforcé hier sa majorité dans son fief de Galice, éliminant du même coup un obstacle possible à son appel à l'aide auprès de ses partenaires de la zone euro.