Investing.com - Les place d'Asie étaient en forme ce lundi matin, les valeurs audacieuses se trouvant encouragées par les signes d'un sursaut de l'économie américaine.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien trébuchait cependdant de 0.2%, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.1% et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
Les actions américaines ont en effet culminé vendredi à leur plus haut niveau depuis 2007, après qu'une étude officielle ait annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes au cours du dernier mois de l'année, alors que les nombres des embauchés hors agriculture de novembre et décembre étaient tous deux revus en nette hausse, à respectivement 247 et 196 000.
Leur avancée s'est poursuivie après qu'il ait été souligné que l'activité des industries des Etats-Unis avait atteint son meilleur niveau en neuf mois en janvier, alors que le moral de leurs consommateurs constituait lui aussi une bonne surprise.
Les parts d'entreprises et les investisements moins sûrs ont aussi bénéficié ces dernières semaines de l'hypothèse d'un tournant décisif passé dans sa crise de la dette souveraine de la zone euro.
Sydney a malgré cela subi des encaissements de plus-values, après avoir culminé à un pic de 21 mois peu après l'ouverture.
Mais ce repli demeurait limité, dans l'expectative enthousiaste d'une baisse des taux imminente de la part de la Réserve Bancaire d'Australie lors de sa prise de cap de demain.
Hong Kong n'a guère évolué en raison d'échanges désordonnés, les opérateurs étant peu enclins à prolonger une poussée l'ayant amenée à son plus haut niveau depuis mai 2011.
Ils évitent aussi généralement se s'impliquer en vue des fêtes du nouvel an chinois, au cours desquelles les places financières locales sont fermées pendant une semaine.
Tokyo a pour sa part établi un nouveau sommet des 33 mois écoulés, la faiblesse persistante du yen stimulant encore les exportateurs, l'USD/JPY s'établissant à 92.7, aux abords de son plus baut niveau depuis mai 2010.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 27% depuis la mi-novembre, alors que Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, commençait à exhorter la Banque du Japon à prendre des mesures monétaires agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête de peloton, la perte de vitesse actuelle de l'unité monétaire de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Le fabricant de télévisions et d'électroménager Panasonic bondissait de 16.9% après avoir revendiqué 61 milliards de JPY de bénéfices inattendus de début octobre à la fin décembre, en grâce à l'affaiblissement de la monnaie japonaise et de ses réductions de coûts agressives.
Son collègue Sharp, actuellement en difficulté, le suivait de 5.5% après avoir annoncé vendredi dernier des pertes moins importantes que redoutées sur la même période.
Sony n'était pas en reste avec 7.5%, avec l'espoir que ses proclamations de jeudi soient elles aussi positives.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, bien que les investissements les plus rémunérateurs profitent toujours des bons résultats de la région et des performances américaines de la fin de semaine.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français étant stables, celles sur le DAX 30 allemand aussi et celles sur le FTSE 100 britannique n'évoluant guère.
Les autorités de l'Espagne fourniront aujourd'hui les évolutions du nombre des demandeurs d'emploi, les Etats-Unis ne seront pas en reste avec les commandes passées auprès des usines.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien trébuchait cependdant de 0.2%, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.1% et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
Les actions américaines ont en effet culminé vendredi à leur plus haut niveau depuis 2007, après qu'une étude officielle ait annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes au cours du dernier mois de l'année, alors que les nombres des embauchés hors agriculture de novembre et décembre étaient tous deux revus en nette hausse, à respectivement 247 et 196 000.
Leur avancée s'est poursuivie après qu'il ait été souligné que l'activité des industries des Etats-Unis avait atteint son meilleur niveau en neuf mois en janvier, alors que le moral de leurs consommateurs constituait lui aussi une bonne surprise.
Les parts d'entreprises et les investisements moins sûrs ont aussi bénéficié ces dernières semaines de l'hypothèse d'un tournant décisif passé dans sa crise de la dette souveraine de la zone euro.
Sydney a malgré cela subi des encaissements de plus-values, après avoir culminé à un pic de 21 mois peu après l'ouverture.
Mais ce repli demeurait limité, dans l'expectative enthousiaste d'une baisse des taux imminente de la part de la Réserve Bancaire d'Australie lors de sa prise de cap de demain.
Hong Kong n'a guère évolué en raison d'échanges désordonnés, les opérateurs étant peu enclins à prolonger une poussée l'ayant amenée à son plus haut niveau depuis mai 2011.
Ils évitent aussi généralement se s'impliquer en vue des fêtes du nouvel an chinois, au cours desquelles les places financières locales sont fermées pendant une semaine.
Tokyo a pour sa part établi un nouveau sommet des 33 mois écoulés, la faiblesse persistante du yen stimulant encore les exportateurs, l'USD/JPY s'établissant à 92.7, aux abords de son plus baut niveau depuis mai 2010.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 27% depuis la mi-novembre, alors que Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, commençait à exhorter la Banque du Japon à prendre des mesures monétaires agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête de peloton, la perte de vitesse actuelle de l'unité monétaire de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Le fabricant de télévisions et d'électroménager Panasonic bondissait de 16.9% après avoir revendiqué 61 milliards de JPY de bénéfices inattendus de début octobre à la fin décembre, en grâce à l'affaiblissement de la monnaie japonaise et de ses réductions de coûts agressives.
Son collègue Sharp, actuellement en difficulté, le suivait de 5.5% après avoir annoncé vendredi dernier des pertes moins importantes que redoutées sur la même période.
Sony n'était pas en reste avec 7.5%, avec l'espoir que ses proclamations de jeudi soient elles aussi positives.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, bien que les investissements les plus rémunérateurs profitent toujours des bons résultats de la région et des performances américaines de la fin de semaine.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français étant stables, celles sur le DAX 30 allemand aussi et celles sur le FTSE 100 britannique n'évoluant guère.
Les autorités de l'Espagne fourniront aujourd'hui les évolutions du nombre des demandeurs d'emploi, les Etats-Unis ne seront pas en reste avec les commandes passées auprès des usines.