Investing.com - La Bourse de Paris progressait de 0,97% à mi-séance jeudi, soutenu par la forte demande rencontrée lors de l’adjudication espagnole du jour alors que les inquiétudes persistaient au sujet de la gestion de la crise de la dette locale.
Le Trésor espagnol a adjugé pour 2,54 milliards d'euros d'obligations à deux et dix ans, soit le haut de la fourchette de2 à 2,5 milliards d'euros visée. Le rendement du papier à 2 ans s’est replacé à 3,463%, contre 3,495% en janvier, tandis que celui du 10 ans est remonté 5,743%, contre 5,403%.
La France devait également adjuger plus tard jeudi jusqu'à 11 milliards d'euros de bons du Trésor.
Mercredi, les bourses européennes avaient été affectées par l'annonce d'une forte augmentation des créances douteuses des banques espagnoles en février.
Les valeurs financières étaient particulièrement recherchées jeudi, suivant l’émission espagnole. A mi-séance, BNP Paribas s’appréciait de 2,23%, Société Générale de 0,57% et Crédit Agricole de 0,99%.
Le secteur automobile s’inscrivait également dans le vert, à l’image de Peugeot, en hausse de 3,01%. Renault n’était pas très loin derrière, affichant une progression de 2,21%.
Le président Nicolas Sarkozy déclarait plus tôt, à La Voix du Nord, que Peugeot est en train de discuter avec Toyota de la production en commun de véhicules utilitaires dans l'usine de Sevelnord, près de Valenciennes, détenue en commun par PSA et Fiat.
Le groupe français reste cependant lié au constructeur italien, qui ne quittera le site qu'en 2017.
Par ailleurs, Morgan Stanley a repris la couverture du titre à ‘surpondérer’ avec un objectif de cours de 14 euros.
A l’inverse, Publicis abandonnait 3,99% alors que l'agence de publicité a réalisé un chiffre d'affaires de 1,45 milliard d'euros au premier trimestre, en hausse de 4,1% en données organiques. La progression était toutefois inférieure aux prévisions des analystes.
Le président du directoire, Maurice Lévy, a déclaré vouloir faire en 2012 ‘aussi bien’ qu’en 2011 en termes de marge opérationnelle. Une marge qui avait alors progressé de 0,2 point à 16%.
Total cédait aussi du terrain, en baisse de 0,33% à mi-séance, après que le groupe a annoncé avoir obtenu l'autorisation de forer un puits de secours afin de tenter de contenir la fuite de gaz sur la plate-forme d'Elgin, en mer du Nord.
Le ministère britannique de l'Energie estime que les travaux nécessaires devraient durer au moins six mois. Total et les autorités britanniques continent par ailleurs d'étudier une autre option consistant à injecter des boues lourdes dans les puits à l'origine de la fuite, rapportait le journal Les Echos.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,63%, le DAX s’octroyait 0,67% et le Footsie 100 prenait 0,64%.
Le Trésor espagnol a adjugé pour 2,54 milliards d'euros d'obligations à deux et dix ans, soit le haut de la fourchette de2 à 2,5 milliards d'euros visée. Le rendement du papier à 2 ans s’est replacé à 3,463%, contre 3,495% en janvier, tandis que celui du 10 ans est remonté 5,743%, contre 5,403%.
La France devait également adjuger plus tard jeudi jusqu'à 11 milliards d'euros de bons du Trésor.
Mercredi, les bourses européennes avaient été affectées par l'annonce d'une forte augmentation des créances douteuses des banques espagnoles en février.
Les valeurs financières étaient particulièrement recherchées jeudi, suivant l’émission espagnole. A mi-séance, BNP Paribas s’appréciait de 2,23%, Société Générale de 0,57% et Crédit Agricole de 0,99%.
Le secteur automobile s’inscrivait également dans le vert, à l’image de Peugeot, en hausse de 3,01%. Renault n’était pas très loin derrière, affichant une progression de 2,21%.
Le président Nicolas Sarkozy déclarait plus tôt, à La Voix du Nord, que Peugeot est en train de discuter avec Toyota de la production en commun de véhicules utilitaires dans l'usine de Sevelnord, près de Valenciennes, détenue en commun par PSA et Fiat.
Le groupe français reste cependant lié au constructeur italien, qui ne quittera le site qu'en 2017.
Par ailleurs, Morgan Stanley a repris la couverture du titre à ‘surpondérer’ avec un objectif de cours de 14 euros.
A l’inverse, Publicis abandonnait 3,99% alors que l'agence de publicité a réalisé un chiffre d'affaires de 1,45 milliard d'euros au premier trimestre, en hausse de 4,1% en données organiques. La progression était toutefois inférieure aux prévisions des analystes.
Le président du directoire, Maurice Lévy, a déclaré vouloir faire en 2012 ‘aussi bien’ qu’en 2011 en termes de marge opérationnelle. Une marge qui avait alors progressé de 0,2 point à 16%.
Total cédait aussi du terrain, en baisse de 0,33% à mi-séance, après que le groupe a annoncé avoir obtenu l'autorisation de forer un puits de secours afin de tenter de contenir la fuite de gaz sur la plate-forme d'Elgin, en mer du Nord.
Le ministère britannique de l'Energie estime que les travaux nécessaires devraient durer au moins six mois. Total et les autorités britanniques continent par ailleurs d'étudier une autre option consistant à injecter des boues lourdes dans les puits à l'origine de la fuite, rapportait le journal Les Echos.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,63%, le DAX s’octroyait 0,67% et le Footsie 100 prenait 0,64%.