Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur un repli de 1,17% mardi, après des commentaires inquiétants de l'OCDE, tandis que les investisseurs privilégiaient la prudence face aux incertitudes entourant toujours le calendrier du programme de rachat d'actifs de la Réserve fédérale américaine.
En effet, l'OCDE a abaissé sa prévision de croissance du PIB mondial pour 2014 à 3,6%, contre 4% en mai. L’Organisation a également revu son estimation pour l’Allemagne de 1,9% à 1,7% et celle de la zone euro à 1%, contre 1,1% auparavant.
En revanche, elle a relevé son estimation de croissance pour la France de 0,8% à 1% pour l’année prochaine et révisé celle concernant les Etats-Unis à 2,9%, contre 2,8% précédemment.
Lundi, le président de la Fed de New York, William Dudley, s’est dit plus optimiste sur le renforcement de l’économie américaine, tandis que Charles Plosser, de la Fed de Philadelphie, a déclaré que la banque centrale américaine devra fixer un montant définitif pour l'assouplissement monétaire et mettre fin à ce programme une fois ce montant atteint.
Sur le front des statistiques, l'indice ZEW du sentiment des analystes en Allemagne est ressorti un peu supérieur aux attentes, à 54,6 points, en novembre, contre 52,8 le mois précédent.
Du côté des valeurs, les banques étaient à la peine, mardi. En fin de séance, BNP Paribas pliait de 1,57%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole abandonnaient 2,01% et 1,27% respectivement.
Egalement dans le rouge, GDF Suez lâchait 1,33% et Total reculait de 1,07% à la fermeture du marché, alors que les deux groupes et le fonds britannique Hellman & Friedman envisagent l’introduction en Bourse en février 2014 de leur filiale Gaztransport & Technigaz (GTT), selon Les Echos.
GDF Suez détient 40% de GTT, Total et Hellman & Friedman possèdent le solde.
STMicroelectronics cédait aussi du terrain et perdait 0,33% en fin de séance, suivant les informations selon lesquelles l'Italie compte réduire sa participation dans le fabricant de semi-conducteurs dans le cadre d’un plan concernant également ses parts dans Eni, Sace et Snam.
A l'inverse, Renault restait en tête de l'indice parisien, en hausse de 1,20% à la clôture du CAC 40, soutenu par la progression de 4,6% des immatriculations de voitures neuves dans l’Union européenne en octobre, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA).
Les ventes de Renault ont progressé de 14% sur un an, tandis que celles de PSA Peugeot Citroën, en hausse de 0,37% en fin de journée, ont diminué de 0,7%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 lâchait 1,05% et le DAX reculait de 0,35%, tandis que le Footsie 100 perdait 0,34%.
En effet, l'OCDE a abaissé sa prévision de croissance du PIB mondial pour 2014 à 3,6%, contre 4% en mai. L’Organisation a également revu son estimation pour l’Allemagne de 1,9% à 1,7% et celle de la zone euro à 1%, contre 1,1% auparavant.
En revanche, elle a relevé son estimation de croissance pour la France de 0,8% à 1% pour l’année prochaine et révisé celle concernant les Etats-Unis à 2,9%, contre 2,8% précédemment.
Lundi, le président de la Fed de New York, William Dudley, s’est dit plus optimiste sur le renforcement de l’économie américaine, tandis que Charles Plosser, de la Fed de Philadelphie, a déclaré que la banque centrale américaine devra fixer un montant définitif pour l'assouplissement monétaire et mettre fin à ce programme une fois ce montant atteint.
Sur le front des statistiques, l'indice ZEW du sentiment des analystes en Allemagne est ressorti un peu supérieur aux attentes, à 54,6 points, en novembre, contre 52,8 le mois précédent.
Du côté des valeurs, les banques étaient à la peine, mardi. En fin de séance, BNP Paribas pliait de 1,57%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole abandonnaient 2,01% et 1,27% respectivement.
Egalement dans le rouge, GDF Suez lâchait 1,33% et Total reculait de 1,07% à la fermeture du marché, alors que les deux groupes et le fonds britannique Hellman & Friedman envisagent l’introduction en Bourse en février 2014 de leur filiale Gaztransport & Technigaz (GTT), selon Les Echos.
GDF Suez détient 40% de GTT, Total et Hellman & Friedman possèdent le solde.
STMicroelectronics cédait aussi du terrain et perdait 0,33% en fin de séance, suivant les informations selon lesquelles l'Italie compte réduire sa participation dans le fabricant de semi-conducteurs dans le cadre d’un plan concernant également ses parts dans Eni, Sace et Snam.
A l'inverse, Renault restait en tête de l'indice parisien, en hausse de 1,20% à la clôture du CAC 40, soutenu par la progression de 4,6% des immatriculations de voitures neuves dans l’Union européenne en octobre, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA).
Les ventes de Renault ont progressé de 14% sur un an, tandis que celles de PSA Peugeot Citroën, en hausse de 0,37% en fin de journée, ont diminué de 0,7%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 lâchait 1,05% et le DAX reculait de 0,35%, tandis que le Footsie 100 perdait 0,34%.