Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une forte baisse de 1,20% vendredi, plombé par les perspectives économiques moroses en zone euro et aux Etats-Unis, suivant la publication de statistiques américaines décevantes.
Les investisseurs étaient également concentrés sur la rencontre, prévue vendredi, entre Barack Obama et les responsables républicains et démocrates du Congrès pour tenter de négocier une issue à l’impasse budgétaire, ou "fiscal cliff".
Sur le front macroéconomique, la production industrielle a reculé de 0,4% aux Etats-Unis le mois dernier après un rebond de 0,2% en septembre. Le taux d’utilisation des capacités a quant à lui diminué à 77,8%, son plus bas niveau depuis novembre 2011. Le consensus Thomson Reuters tablait sur une hausse de 0,2% de la production et sur un taux d’utilisation de 78,3%.
Dans la zone euro, l’excédent commercial a augmenté à 9,8 milliards d’euros en septembre, contre 5,2 milliards en août.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent restait en forte baisse en fin de séance. Le titre abandonnait 4,82% à la clôture, après les déclarations du directeur financier de l’équipementier télécoms, selon lesquelles le groupe étudierait actuellement plusieurs options pour renforcer son bilan.
Egalement dans le rouge, STMicroelectronics pliait de 1,71% à la fermeture du marché, après avoir annoncé que le groupe ne procdera sans doute pas à la scission de ses activités analogiques et numériques, en raison des désaccords entre les responsables français et italiens du groupe sur une telle option, selon Bloomberg.
Par ailleurs, l’équipementier américain de semi-conducteurs Applied Materials a fait savoir, jeudi soir, que son chiffre d’affaires pour le trimestre en cours serait inférieur aux prévisions des analystes.
Les valeurs financières évoluaient elles aussi en baisse, en fin de séance. BNP Paribas cédait 2,18% à la fin de la séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 2,70% et 2,53% respectivement.
A l'inverse, Renault gagnait 1,01% à la clôture du CAC 40, alors que les immatriculations de voitures neuves ont reculé de 4,8% en Europe le mois dernier, la contraction marquant toutefois un ralentissement par rapport à la chute de 10,8% accusée en septembre.
Sur les dix premiers mois de l’année, la baisse s’établit à 7,3%, selon les chiffres publiés par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA). Les ventes du groupe Renault se sont contractées de 21,6% et celles de PSA Peugeot Citroën de 5,1%. Le titre de Peugeot reculait de 0,90%.
Enfin, Danone s'octroyait 0,56% en fin de séance, alors que l’homme d’affaires Nelson Peltz a dit qu'il souhaitait se renforcer au capital du groupe agroalimentaire afin d’influer sur sa stratégie.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 1,35%, le DAX perdait 1,29% et le Footsie 100 lâchait 1,31%.
Les investisseurs étaient également concentrés sur la rencontre, prévue vendredi, entre Barack Obama et les responsables républicains et démocrates du Congrès pour tenter de négocier une issue à l’impasse budgétaire, ou "fiscal cliff".
Sur le front macroéconomique, la production industrielle a reculé de 0,4% aux Etats-Unis le mois dernier après un rebond de 0,2% en septembre. Le taux d’utilisation des capacités a quant à lui diminué à 77,8%, son plus bas niveau depuis novembre 2011. Le consensus Thomson Reuters tablait sur une hausse de 0,2% de la production et sur un taux d’utilisation de 78,3%.
Dans la zone euro, l’excédent commercial a augmenté à 9,8 milliards d’euros en septembre, contre 5,2 milliards en août.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent restait en forte baisse en fin de séance. Le titre abandonnait 4,82% à la clôture, après les déclarations du directeur financier de l’équipementier télécoms, selon lesquelles le groupe étudierait actuellement plusieurs options pour renforcer son bilan.
Egalement dans le rouge, STMicroelectronics pliait de 1,71% à la fermeture du marché, après avoir annoncé que le groupe ne procdera sans doute pas à la scission de ses activités analogiques et numériques, en raison des désaccords entre les responsables français et italiens du groupe sur une telle option, selon Bloomberg.
Par ailleurs, l’équipementier américain de semi-conducteurs Applied Materials a fait savoir, jeudi soir, que son chiffre d’affaires pour le trimestre en cours serait inférieur aux prévisions des analystes.
Les valeurs financières évoluaient elles aussi en baisse, en fin de séance. BNP Paribas cédait 2,18% à la fin de la séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 2,70% et 2,53% respectivement.
A l'inverse, Renault gagnait 1,01% à la clôture du CAC 40, alors que les immatriculations de voitures neuves ont reculé de 4,8% en Europe le mois dernier, la contraction marquant toutefois un ralentissement par rapport à la chute de 10,8% accusée en septembre.
Sur les dix premiers mois de l’année, la baisse s’établit à 7,3%, selon les chiffres publiés par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA). Les ventes du groupe Renault se sont contractées de 21,6% et celles de PSA Peugeot Citroën de 5,1%. Le titre de Peugeot reculait de 0,90%.
Enfin, Danone s'octroyait 0,56% en fin de séance, alors que l’homme d’affaires Nelson Peltz a dit qu'il souhaitait se renforcer au capital du groupe agroalimentaire afin d’influer sur sa stratégie.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 1,35%, le DAX perdait 1,29% et le Footsie 100 lâchait 1,31%.