Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris était quasi à l’équilibre lundi, affichant une légère hausse de 0,01% à mi-séance, alors que les investisseurs privilégiaient la prudence à quelques jours d’une décision très attendue de la cour constitutionnelle allemande ainsi que de la réunion mensuelle de la Réserve fédérale américaine.
La cour allemande doit, en effet, rendre mercredi son jugement sur la légalité du Mécanisme européen de stabilité (MES).
Par ailleurs, les marchés misent sur l’annonce, jeudi, de nouvelles mesures d’assouplissement quantitatif (QE3) par la Fed, suivant la publication des chiffres décevants des créations d’emplois aux Etats-Unis.
Le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, a déjà déclaré à plusieurs reprises que l'adoption d'un éventuel QE3 serait conditionnée à l'évolution du marché du travail.
Sur le plan macroéconomique, la Banque de France a confirmé sa prévision d'un recul de 0,1% du PIB au troisième trimestre.
Par ailleurs, son indicateur du climat des affaires a progressé de 3 points à 93 en août dans l'industrie et de 1 point à 91 dans les services. La production industrielle a quant à elle progressé de 0,2% en juillet dans l'Hexagone après être restée stable en juin.
Du côté des valeurs, les banques étaient recherchées lundi. A mi-séance, Crédit Agricole engrangeait 3,35%, BNP Paribas progressait de 2,73% et Société Générale s’appréciait de 2%.
Les valeurs cycliques s’inscrivaient également dans le vert, soutenues par les espoirs d’intervention de la banque centrale chinoise, suivant la publication d’indicateurs confirmant encore le ralentissement économique du pays.
En milieu de séance, ArcelorMittal s’octroyait 1,01%, Lafarge 1,16% et Michelin 1,08%.
Alcatel-Lucent s’appréciait de 0,32% à la mi-journée, après avoir annoncé une refonte de son organisation opérationnelle dans le cadre du lancement de son programme Performance.
A l’inverse, STMicroelectronics abandonnait 1,54%, alors que Deutsche Bank a abaissé son objectif de cours de 4,20 à 3,90 euros.
Le titre a également souffert de l'abaissement par son concurrent américain Intel de sa prévision de chiffre d'affaires pour le troisième trimestre.
Egalement dans le rouge, France Télécom reculait de 1,04%, quelques jours après avoir indiqué qu’il s’alliait à Thales pour la création d’une société commune d’infrastructure de Cloud Computing, Cloudwatt.
Enfin, Renault cédait 0,13% à mi-séance, alors que la coentreprise sud-coréenne du groupe dit envisager de réduire ses effectifs d’environ 15%, dans le cadre d’un programme de départs volontaires pour réduire ses coûts.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,16%, le DAX s’appréciait de 0,08% et le Footsie 100 cédait 0,06%.
Aucun indicateur américain de premier plan n’était attendu, lundi.
La cour allemande doit, en effet, rendre mercredi son jugement sur la légalité du Mécanisme européen de stabilité (MES).
Par ailleurs, les marchés misent sur l’annonce, jeudi, de nouvelles mesures d’assouplissement quantitatif (QE3) par la Fed, suivant la publication des chiffres décevants des créations d’emplois aux Etats-Unis.
Le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, a déjà déclaré à plusieurs reprises que l'adoption d'un éventuel QE3 serait conditionnée à l'évolution du marché du travail.
Sur le plan macroéconomique, la Banque de France a confirmé sa prévision d'un recul de 0,1% du PIB au troisième trimestre.
Par ailleurs, son indicateur du climat des affaires a progressé de 3 points à 93 en août dans l'industrie et de 1 point à 91 dans les services. La production industrielle a quant à elle progressé de 0,2% en juillet dans l'Hexagone après être restée stable en juin.
Du côté des valeurs, les banques étaient recherchées lundi. A mi-séance, Crédit Agricole engrangeait 3,35%, BNP Paribas progressait de 2,73% et Société Générale s’appréciait de 2%.
Les valeurs cycliques s’inscrivaient également dans le vert, soutenues par les espoirs d’intervention de la banque centrale chinoise, suivant la publication d’indicateurs confirmant encore le ralentissement économique du pays.
En milieu de séance, ArcelorMittal s’octroyait 1,01%, Lafarge 1,16% et Michelin 1,08%.
Alcatel-Lucent s’appréciait de 0,32% à la mi-journée, après avoir annoncé une refonte de son organisation opérationnelle dans le cadre du lancement de son programme Performance.
A l’inverse, STMicroelectronics abandonnait 1,54%, alors que Deutsche Bank a abaissé son objectif de cours de 4,20 à 3,90 euros.
Le titre a également souffert de l'abaissement par son concurrent américain Intel de sa prévision de chiffre d'affaires pour le troisième trimestre.
Egalement dans le rouge, France Télécom reculait de 1,04%, quelques jours après avoir indiqué qu’il s’alliait à Thales pour la création d’une société commune d’infrastructure de Cloud Computing, Cloudwatt.
Enfin, Renault cédait 0,13% à mi-séance, alors que la coentreprise sud-coréenne du groupe dit envisager de réduire ses effectifs d’environ 15%, dans le cadre d’un programme de départs volontaires pour réduire ses coûts.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,16%, le DAX s’appréciait de 0,08% et le Footsie 100 cédait 0,06%.
Aucun indicateur américain de premier plan n’était attendu, lundi.