Investing.com - Les bourses européennes renouaient avec l'enthousiasme ce lundi, la confiance des investisseurs se trouvant renforcée par les bruits d'accord fiscal destiné à résoudre la crise de la dette de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 2.97%, le CAC 40 français de 2.93%, et le DAX 30 allemand de 3.02%.
Le moral des observateurs s'est trouvé regonflé par les négociations entre dirigeants de la zone euro destinées à prévenir l'implosion du bloc euro.
Celui-ci, constituant une première étape vers une plus grande coordination fiscale et économique entre les états membres, rendrait la discipline budgétaire légalement contraignante et opposable par les autorités européennes.
La finance a servi de locomotive, avec l'ING Groep néerlandais dévorant 5.45%, les français BNP Paribas et Société Générale se contentant de 5.05 et 4.71%, et la Deutsche Bank allemande de 3.99%.
Ceux de la périphérie ont également suivi le mouvement, les espagnols BBVA et Banco Santander encaissant 2.98 et 2.28%, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo arrachant 2.78 et 3.8% de leur côté.
Leurs collègues belges Dexia et KBC Group se sont envolés de 12.67 et 10.66%, suite à l'accord sur la réduction des déficits des six principaux partis nationaux découlant de la dégradation d'un cran de la notation monétaire du pays par l'agence agence de notation Standard & Poor's.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 1.96%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin fortement ascendant tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland a avancé de 5.02%, Lloyds Banking de 4.66%, Barclays de 4.53% et Anglo American de 2.37%.
Le secteur minier n'a pas été en reste, les cours des matières premières ayant augmenté après que les ventes américaines du week-end de thanksgiving se soient élevées de 16%, les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton grossissant respectivement de 3.28 et 3.11%, Xstrata et Kazakhmys les imitant avec 3.15 et 4.11%.
Les perspectives des marchés américains étaient également nettement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 2.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.62% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.36%.
Les Etats-Unis devraient par ailleurs divulguer dans l'après-midi leur volume officiel des ventes d'habitations neuves.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 2.97%, le CAC 40 français de 2.93%, et le DAX 30 allemand de 3.02%.
Le moral des observateurs s'est trouvé regonflé par les négociations entre dirigeants de la zone euro destinées à prévenir l'implosion du bloc euro.
Celui-ci, constituant une première étape vers une plus grande coordination fiscale et économique entre les états membres, rendrait la discipline budgétaire légalement contraignante et opposable par les autorités européennes.
La finance a servi de locomotive, avec l'ING Groep néerlandais dévorant 5.45%, les français BNP Paribas et Société Générale se contentant de 5.05 et 4.71%, et la Deutsche Bank allemande de 3.99%.
Ceux de la périphérie ont également suivi le mouvement, les espagnols BBVA et Banco Santander encaissant 2.98 et 2.28%, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo arrachant 2.78 et 3.8% de leur côté.
Leurs collègues belges Dexia et KBC Group se sont envolés de 12.67 et 10.66%, suite à l'accord sur la réduction des déficits des six principaux partis nationaux découlant de la dégradation d'un cran de la notation monétaire du pays par l'agence agence de notation Standard & Poor's.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 1.96%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin fortement ascendant tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland a avancé de 5.02%, Lloyds Banking de 4.66%, Barclays de 4.53% et Anglo American de 2.37%.
Le secteur minier n'a pas été en reste, les cours des matières premières ayant augmenté après que les ventes américaines du week-end de thanksgiving se soient élevées de 16%, les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton grossissant respectivement de 3.28 et 3.11%, Xstrata et Kazakhmys les imitant avec 3.15 et 4.11%.
Les perspectives des marchés américains étaient également nettement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 2.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.62% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.36%.
Les Etats-Unis devraient par ailleurs divulguer dans l'après-midi leur volume officiel des ventes d'habitations neuves.