Investing.com - Les bourses européennes gardaient la forme ce mercredi après-midi, le moral toujours encouragé par l'espoir de nouveaux accommodements de la part des banques centrales mondiales, mais il restait entravé par l'expectative de la réunion que tiendra demain celle de la région.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.43%, le CAC 40 français de 0.17%, et le DAX 30 allemand de 0.98%.
L'optimisme règnait à l'idée d'apports de capitaux renouvelés provenant de la Réserve Fédérale et de la Banque du Japon, mais aussi grâce aux signes de reprise américains.
Mais la prudence restait de mise à l'approche des prises de cap de la BCE et de la Banque d'Angleterre prévues jeudi, ainsi que des chiffres de l'emploi non agricole des Etats-Unis de vendredi.
Les craintes gravitant autour des incertitudes politiques persistaient à hanter l'Italie, alors qu'il se disait que le président Giorgio Napolitano envisageait de nommer un gouvernement technocratique suite à l'impasse générée par les dernières élections.
La finance a retrouvé le sourire, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank émergeant rsepectivement de 0.78 et 0.67% et les français BNP Paribas et Société Générale les imitaient avec 0.2 et 0.15%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnols Banco Santander grimpant de 0.92%, suivi des italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 1.2 et 1.3%.
Parmi les bonnes nouvelles, on pouvait noter qu'en Allemagne, Henkel engrangeait 2.67% après avoir revendiqué 4% d'augmentation de ses revenus comparables au quatrième trimestre, dépassant ainsi les estimations des analystes.
A Londres, le FTSE 100, a conquis 0.3%, tiré vers le haut par des prix de l'immobilier britannique dépassant les prédictions pour février.
L'opérateur de téléphonie mobile Vodafone poursuivait l'offensive avec 7.22%, après que l'agence de presse Bloomberg ait révélé qu'il aurait étudié en décembre avec son collègue américain Verizon toute une panoplie d'options stratégiques susceptibles de faire évoluer leurs relations.
L'assureur automobile Admiral Group était aussi en première ligne avec 3.91% grâce à des profits bruts atteeignant 345 millions de GBP pour l'année passée, soit 15% de plus qu'en 2011.
La City restait par contre moins unanime, HSBC Holdings accrochant 0.14% et la Royal Bank of Scotland 0.41%, tandis que Lloyds Banking et Barclays dérapaient de 0.46 et 0.59%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 1.09 et 1.81%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 2.88 et 0.79%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, avait pour sa part fait savoir au bout de la matinée que l'économie de la région avait subi un revers de 0.6% au quatrième trimestre, conformément aux projections et aux premières estimations.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait quand à elle rendre aujourd'hui son rapport sur la masse salariale non agricole des Etats-Unis, qui de leur côté concluront la journée avec le volume des commandes passées auprès des usines.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.43%, le CAC 40 français de 0.17%, et le DAX 30 allemand de 0.98%.
L'optimisme règnait à l'idée d'apports de capitaux renouvelés provenant de la Réserve Fédérale et de la Banque du Japon, mais aussi grâce aux signes de reprise américains.
Mais la prudence restait de mise à l'approche des prises de cap de la BCE et de la Banque d'Angleterre prévues jeudi, ainsi que des chiffres de l'emploi non agricole des Etats-Unis de vendredi.
Les craintes gravitant autour des incertitudes politiques persistaient à hanter l'Italie, alors qu'il se disait que le président Giorgio Napolitano envisageait de nommer un gouvernement technocratique suite à l'impasse générée par les dernières élections.
La finance a retrouvé le sourire, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank émergeant rsepectivement de 0.78 et 0.67% et les français BNP Paribas et Société Générale les imitaient avec 0.2 et 0.15%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnols Banco Santander grimpant de 0.92%, suivi des italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 1.2 et 1.3%.
Parmi les bonnes nouvelles, on pouvait noter qu'en Allemagne, Henkel engrangeait 2.67% après avoir revendiqué 4% d'augmentation de ses revenus comparables au quatrième trimestre, dépassant ainsi les estimations des analystes.
A Londres, le FTSE 100, a conquis 0.3%, tiré vers le haut par des prix de l'immobilier britannique dépassant les prédictions pour février.
L'opérateur de téléphonie mobile Vodafone poursuivait l'offensive avec 7.22%, après que l'agence de presse Bloomberg ait révélé qu'il aurait étudié en décembre avec son collègue américain Verizon toute une panoplie d'options stratégiques susceptibles de faire évoluer leurs relations.
L'assureur automobile Admiral Group était aussi en première ligne avec 3.91% grâce à des profits bruts atteeignant 345 millions de GBP pour l'année passée, soit 15% de plus qu'en 2011.
La City restait par contre moins unanime, HSBC Holdings accrochant 0.14% et la Royal Bank of Scotland 0.41%, tandis que Lloyds Banking et Barclays dérapaient de 0.46 et 0.59%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 1.09 et 1.81%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 2.88 et 0.79%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, avait pour sa part fait savoir au bout de la matinée que l'économie de la région avait subi un revers de 0.6% au quatrième trimestre, conformément aux projections et aux premières estimations.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait quand à elle rendre aujourd'hui son rapport sur la masse salariale non agricole des Etats-Unis, qui de leur côté concluront la journée avec le volume des commandes passées auprès des usines.