Investing.com - Les bourses européennes étaient à l'offensive ce jeudi matin, l'attention focalisée sur les évènements politiques allemands et italiens, les transactions ayant toutes les chances de demeurer rares en raison de la fête américaine imminente de Thanksgiving.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,26%, le CAC 40 français de à,19%, et le DAX 30 allemand de 0,26%.
Berlin était encore sous les feux de la rampe après que le parti conservateur de la chancelière allemande Angela Merkel ait trouvé après une semaine de tractations un accord pour former un gouvernement de coalition avec les sociaux-démocrates.
Mais Rome était désormais sur le devant de la scène, après que Silvio Berlusconi ait dû faire face à un vote du sénat entérinant son inéligibilité et son expulsion de la vie parlementaire, prononcée suite à sa récente condamnation pour fraude fiscale.
Vitor Constancio, vice-président de la Banque Centrale Européenne, a quand à lui démenti hier devant de journalistes les affirmations selon lesquelles celle-ci envisagerait de renflouer une fois de plus le secteur bancaire régional à coups de prêts à long terme.
Celui-ci n'en avait pas moins le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,07 et 0,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,41 et 0,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,71 et 0,33%.
Dans le domaine des hydrocarbures, le madrilène Repsol avançait pour sa part de 0,32%, smblant sur le point de mettre la dernière main à un compromis avec l'Argentine destiné à compenser la nationalisation de ses parts de YPF SA.
A Londres, le FTSE 100 grignotait 0,03%, malgré le frein constitué par les magasins de bricolage Kingfisher, s'écroulant de 4,73% après avoir émis des prévisions peu encourageantes du côté de ses filiales françaises, où la faible consommation rejaillissait sur ses enseignes Castorama et Brico Depôt.
Le traiteur Compass dérapait aussi de 1,12% après que Citigroup en ait rabaissé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité.
L'agence de voyages Thomas Cook s'envolaitt par contre de 10?04% grâce à des bénéfices annuels explosant de 49%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings arrachant 0,31% et Barclays 0,50%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçant en tête de peloton avec 0,88 et 1,12%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient mois unanimes, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,28 et 1,20%, leurs rivaux Randgold Resources et Vedanta Resources fondant par contre de 0,57 et 0,23%.
Le second avait aparavant déclaré que l'augmentation de sa capacité de production de minerai de fer pour atteindre les 360 millions de tonnes coûterait 30 millions d'USD de moins qu'envisagé.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,85%.
L'Allemagne comptait pour sa part fournir aujourd'hui l'évaluation préliminaire de son inflation à la consommation, ainsi que les évolutions dans les effectifs des demandeurs d'emploi.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,26%, le CAC 40 français de à,19%, et le DAX 30 allemand de 0,26%.
Berlin était encore sous les feux de la rampe après que le parti conservateur de la chancelière allemande Angela Merkel ait trouvé après une semaine de tractations un accord pour former un gouvernement de coalition avec les sociaux-démocrates.
Mais Rome était désormais sur le devant de la scène, après que Silvio Berlusconi ait dû faire face à un vote du sénat entérinant son inéligibilité et son expulsion de la vie parlementaire, prononcée suite à sa récente condamnation pour fraude fiscale.
Vitor Constancio, vice-président de la Banque Centrale Européenne, a quand à lui démenti hier devant de journalistes les affirmations selon lesquelles celle-ci envisagerait de renflouer une fois de plus le secteur bancaire régional à coups de prêts à long terme.
Celui-ci n'en avait pas moins le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,07 et 0,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,41 et 0,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,71 et 0,33%.
Dans le domaine des hydrocarbures, le madrilène Repsol avançait pour sa part de 0,32%, smblant sur le point de mettre la dernière main à un compromis avec l'Argentine destiné à compenser la nationalisation de ses parts de YPF SA.
A Londres, le FTSE 100 grignotait 0,03%, malgré le frein constitué par les magasins de bricolage Kingfisher, s'écroulant de 4,73% après avoir émis des prévisions peu encourageantes du côté de ses filiales françaises, où la faible consommation rejaillissait sur ses enseignes Castorama et Brico Depôt.
Le traiteur Compass dérapait aussi de 1,12% après que Citigroup en ait rabaissé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité.
L'agence de voyages Thomas Cook s'envolaitt par contre de 10?04% grâce à des bénéfices annuels explosant de 49%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings arrachant 0,31% et Barclays 0,50%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçant en tête de peloton avec 0,88 et 1,12%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient mois unanimes, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,28 et 1,20%, leurs rivaux Randgold Resources et Vedanta Resources fondant par contre de 0,57 et 0,23%.
Le second avait aparavant déclaré que l'augmentation de sa capacité de production de minerai de fer pour atteindre les 360 millions de tonnes coûterait 30 millions d'USD de moins qu'envisagé.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,85%.
L'Allemagne comptait pour sa part fournir aujourd'hui l'évaluation préliminaire de son inflation à la consommation, ainsi que les évolutions dans les effectifs des demandeurs d'emploi.