Investing.com - Les bourses européennes sont passées à l'offensive ce mardi, sur fond de bruits selon lesquels la Chine mettrait en place de nouvelles mesures d'encouragement de la croissance, tandis que les craintes concernant la gestion de la crise espagnole persistaient.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.54%, le CAC 40 français de 0.74%, et le DAX 30 allemand de 0.84%.
Le moral est en effet revenu dans l'espoir que la Chine injecte de nouveau des capitaux dans son économie, la seconde du monde, afin de la stimuler, les rumeurs ayant enflé depuis que Pékin s'est engagée la semaine dernière à accélérer le processus d'approbation pour les nouveaux chantiers publics.
La prudence restait cependant de mise après que le taux des obligations décennales espagnoles se soit situé hier à 6.47%, son niveau le plus élevé de cette année, après que Madrid ait annoncé son intention de renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers du pays.
Cette nouvelle a ravivé la crainte que la hausse du coût des sauvetages bancaires ne pousse le pays à recourir à un plan de secours international.
La finance nationale s'en est ressentie, Banco Santander dérapant de 0.61%, et BBVA de 0.69%, tandis que Bankia s'écroulait de 7.12%, après avoir déjà laissé échapper 28% hier une fois sa cotation, suspendue vendredi, de nouveau active.
L'ING Groep néerlandais se trouvait par contre parmi le peloton de tête, avec un bond de 2.31%, suivi par la Deutsche Bank allemande avec 1.01% et le français BNP Paribas avec 0.82%.
Le sidérurgiste ArcelorMittal n'était pas en reste, engrangeant 3.24% après avoir été considéré comme un poids lourd au lieu d'un avis neutre de la part de HSBC.
L'entrepreneur espagnol Actividades de Construccion & Servicios SA a gagné 1.12% de son côté, après avoir accepté de vendre sept lignes à haute tension au Brésil, poursuivant ainsi sa stratégie de liquidation de ses actifs afin de réduire son endettement.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.56%, tiré vers le haut par des miniers en forme.
Rio Tinto se trouvait en tête avec 2.91%, Anglo American suivant la tendance avec 2.27% et BHP Billiton avec 2.21%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont pour leur part de l'envolée de plus de 1% des cours du cuivre, raflant respectivement 1.91 et 3.5%.
Le fournisseur d'hydrocarbures BG Group a quand à lui encaissé 0.95% après avoir signé un accord de vente de ses 60.1% de parts de Comgas pour environ 1.7 milliards d'USD.
La City était aussi de la fête, HSBC Holdings s'élevant de 0.87%, et la Royal Bank of Scotland de 0.62%, tandis que Barclays et Lloyds Banking se contentaient de 0.11 et 0.12%.
Greggs Plc, fournisseur de pain britannique, s'est envolé de 6.13% après que George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, ait remisé un plan destiné à soumettre la nourriture chaude à emporter sujette à la Taxe sur la Valeur Ajoutée, considéré comme un des plus controversés de son budget du 21 mars.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.75%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.81% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.97%.
L'Allemagne devait de son côté révéler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de son inflation au détail, tandis que les Etats-Unis feront de même avec l'évolution des prix de leur immobilier, et leur baromètre de la confiance des consommateurs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.54%, le CAC 40 français de 0.74%, et le DAX 30 allemand de 0.84%.
Le moral est en effet revenu dans l'espoir que la Chine injecte de nouveau des capitaux dans son économie, la seconde du monde, afin de la stimuler, les rumeurs ayant enflé depuis que Pékin s'est engagée la semaine dernière à accélérer le processus d'approbation pour les nouveaux chantiers publics.
La prudence restait cependant de mise après que le taux des obligations décennales espagnoles se soit situé hier à 6.47%, son niveau le plus élevé de cette année, après que Madrid ait annoncé son intention de renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers du pays.
Cette nouvelle a ravivé la crainte que la hausse du coût des sauvetages bancaires ne pousse le pays à recourir à un plan de secours international.
La finance nationale s'en est ressentie, Banco Santander dérapant de 0.61%, et BBVA de 0.69%, tandis que Bankia s'écroulait de 7.12%, après avoir déjà laissé échapper 28% hier une fois sa cotation, suspendue vendredi, de nouveau active.
L'ING Groep néerlandais se trouvait par contre parmi le peloton de tête, avec un bond de 2.31%, suivi par la Deutsche Bank allemande avec 1.01% et le français BNP Paribas avec 0.82%.
Le sidérurgiste ArcelorMittal n'était pas en reste, engrangeant 3.24% après avoir été considéré comme un poids lourd au lieu d'un avis neutre de la part de HSBC.
L'entrepreneur espagnol Actividades de Construccion & Servicios SA a gagné 1.12% de son côté, après avoir accepté de vendre sept lignes à haute tension au Brésil, poursuivant ainsi sa stratégie de liquidation de ses actifs afin de réduire son endettement.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.56%, tiré vers le haut par des miniers en forme.
Rio Tinto se trouvait en tête avec 2.91%, Anglo American suivant la tendance avec 2.27% et BHP Billiton avec 2.21%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont pour leur part de l'envolée de plus de 1% des cours du cuivre, raflant respectivement 1.91 et 3.5%.
Le fournisseur d'hydrocarbures BG Group a quand à lui encaissé 0.95% après avoir signé un accord de vente de ses 60.1% de parts de Comgas pour environ 1.7 milliards d'USD.
La City était aussi de la fête, HSBC Holdings s'élevant de 0.87%, et la Royal Bank of Scotland de 0.62%, tandis que Barclays et Lloyds Banking se contentaient de 0.11 et 0.12%.
Greggs Plc, fournisseur de pain britannique, s'est envolé de 6.13% après que George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, ait remisé un plan destiné à soumettre la nourriture chaude à emporter sujette à la Taxe sur la Valeur Ajoutée, considéré comme un des plus controversés de son budget du 21 mars.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.75%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.81% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.97%.
L'Allemagne devait de son côté révéler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de son inflation au détail, tandis que les Etats-Unis feront de même avec l'évolution des prix de leur immobilier, et leur baromètre de la confiance des consommateurs.