Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce vendredi, suite à la révélation d'une activité en berne de la part des usines d'Espagne et d'Italie, tandis que la prudence restait de mise dans l'expectative des chiffres de l'emploi américain d'aujourd'hui.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.15%, le CAC 40 français de 0.22%, et le DAX 30 allemand de 0.09%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet montré que l'indice espagnol des directeurs des achats manufacturiers avait subi en octobre une déconvenue supérieure aux craintes, plongeant de 44.6 à 43.5.
Les experts redoutaient déjà de le voir sombrer à 44.
Son équivalent italien est quand à lui passé de 45.7 à 45.5 dans le même temps, alors qu'un sursaut à 45.9 était espéré.
La circonspection était toujours à l'ordre du jour, en raison des incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
La finance était parmi les lanternes rouges, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivement de 0.26 et 0.8%, dépassés par la Deutsche Bank allemande avec 1%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo fondant de 0.4 et 1.02%, les espagnols BBVA et Banco santander n'étant guère mieux lotis avec 0.67 et 0.4%.
Alcatel-Lucent a dégringolé de 6.55% suite à l'aveu de 146 millions d'euros de pertes au troisième trimestre, limitant tout de même les dégâts par rapport aux 149.1 millions redoutés par la moyenne des analystes, son chiffre d'affaires dérapant de 2.8% pour descendre à 3.6 milliards d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.15%, en l'absence de tendance claire.
La City était mitigée, HSBC Holdings chutant de 0.35%, Barclays de 0.44% et la Royal Bank of Scotland de 1.22%, tandis que Lloyds Banking caracolait avec une avancée de 0.2%.
La RBA avait proclamé 1.38 milliards de GBP de pertes entre début juillet et fin septembre, après avoir mis de côté 400 millions de GBP afin d'indemniser ses clients ayant souscrit des assurances sur les prêts inappropriées, alors que les spécialistes estimaient qu'elles se limiteraient à 276 millions.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton n'avaient pas à rougir, avec 0.69 et 0.51% d'amélioration, suivis des cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.22 et 0.48%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi légèrement ppessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.04%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport gouvernemental très attendu portant sur leur masse salariale non agricole, ainsi qu'avec leur taux des demandeurs d'emploi, le niveau de leurs revenus moyens, et enfin le volume des commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.15%, le CAC 40 français de 0.22%, et le DAX 30 allemand de 0.09%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet montré que l'indice espagnol des directeurs des achats manufacturiers avait subi en octobre une déconvenue supérieure aux craintes, plongeant de 44.6 à 43.5.
Les experts redoutaient déjà de le voir sombrer à 44.
Son équivalent italien est quand à lui passé de 45.7 à 45.5 dans le même temps, alors qu'un sursaut à 45.9 était espéré.
La circonspection était toujours à l'ordre du jour, en raison des incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
La finance était parmi les lanternes rouges, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivement de 0.26 et 0.8%, dépassés par la Deutsche Bank allemande avec 1%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo fondant de 0.4 et 1.02%, les espagnols BBVA et Banco santander n'étant guère mieux lotis avec 0.67 et 0.4%.
Alcatel-Lucent a dégringolé de 6.55% suite à l'aveu de 146 millions d'euros de pertes au troisième trimestre, limitant tout de même les dégâts par rapport aux 149.1 millions redoutés par la moyenne des analystes, son chiffre d'affaires dérapant de 2.8% pour descendre à 3.6 milliards d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.15%, en l'absence de tendance claire.
La City était mitigée, HSBC Holdings chutant de 0.35%, Barclays de 0.44% et la Royal Bank of Scotland de 1.22%, tandis que Lloyds Banking caracolait avec une avancée de 0.2%.
La RBA avait proclamé 1.38 milliards de GBP de pertes entre début juillet et fin septembre, après avoir mis de côté 400 millions de GBP afin d'indemniser ses clients ayant souscrit des assurances sur les prêts inappropriées, alors que les spécialistes estimaient qu'elles se limiteraient à 276 millions.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton n'avaient pas à rougir, avec 0.69 et 0.51% d'amélioration, suivis des cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.22 et 0.48%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi légèrement ppessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.04%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport gouvernemental très attendu portant sur leur masse salariale non agricole, ainsi qu'avec leur taux des demandeurs d'emploi, le niveau de leurs revenus moyens, et enfin le volume des commandes passées auprès des usines.