Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce jeudi, en raison notamment des propos peu rassurants de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, tandis que les yeux se tournaient vers la rencontre des membres de l'Eurogroupe qui devrait déboucher sur le déblocage de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a laissé échapper 0.05%, le CAC 40 français 0.17%, et le DAX 30 allemand 0.47%.
La banque centrale américaine a ainsi décidé hier de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations nationales et de titres sécurisés adossés à des hypothèques pour un total de 85 milliards d'USD afin de renflouer l'économie.
Elle a aussi précisé que ses taux de base demeureraient presque nuls tant que les prévisions d'inflation se maintiendraient aux alentours de son objectif fixé à 2%, jusqu'à ce que le chômage passe sous les 6.6%.
Les ministres des finances de la zone euro se sont pour leur part mis d'accord sur les règles de supervision des banques régionales à l'orée du sommet de l'Union Européenne d'aujourd'hui.
La finance gardait du coup la tête haute, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.46 et 0.17%, suivis de l'allemand Commmerzbank avec 0.49%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit gagnant 0.85 et 0.79%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.64 et 0.85%.
En France, le constructeur automobile Renault a enagrangé 2.07% après avoir vendu ses parts restantes de Volvo afin de renflouer sa trésorerie.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a dérapé de 0.24%, tiré vers le bas par un secteur énergétique peu énergique.
Centamin s'est effondré de 57.12% suite à l'aveu d'un arrêt de ses extractions d'or en Egypte.
Le mastodonte minier BHP Billiton fondait pour sa part de 0.62%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant guère mieux lotis avec 0.55 et 1.12%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, suivait le mouvement de 0.76% et son rival BP sauvait les meubles avec seulement 0.27% de pertes.
La City sortait la tête de l'eau à l'instar de ses homologues du continent, Lloyds Banking grignotant 0.06% et HSBC Holdings 0.09%, alors que la Royal Bank of Scotland et Barclays empochaient 0.35 et 0.4%.
Les perspectives des marchés américains n'étaient pas non plus optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.02%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 envisageaient par contre 0.05% d'amélioration.
Les autorités des Etats-Unis comptent de leur côté diffuser dans l'après-midi le volume des ventes au détail, ainsi que les variations des coûts de production, sans oublier le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptinos au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a laissé échapper 0.05%, le CAC 40 français 0.17%, et le DAX 30 allemand 0.47%.
La banque centrale américaine a ainsi décidé hier de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations nationales et de titres sécurisés adossés à des hypothèques pour un total de 85 milliards d'USD afin de renflouer l'économie.
Elle a aussi précisé que ses taux de base demeureraient presque nuls tant que les prévisions d'inflation se maintiendraient aux alentours de son objectif fixé à 2%, jusqu'à ce que le chômage passe sous les 6.6%.
Les ministres des finances de la zone euro se sont pour leur part mis d'accord sur les règles de supervision des banques régionales à l'orée du sommet de l'Union Européenne d'aujourd'hui.
La finance gardait du coup la tête haute, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.46 et 0.17%, suivis de l'allemand Commmerzbank avec 0.49%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit gagnant 0.85 et 0.79%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.64 et 0.85%.
En France, le constructeur automobile Renault a enagrangé 2.07% après avoir vendu ses parts restantes de Volvo afin de renflouer sa trésorerie.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a dérapé de 0.24%, tiré vers le bas par un secteur énergétique peu énergique.
Centamin s'est effondré de 57.12% suite à l'aveu d'un arrêt de ses extractions d'or en Egypte.
Le mastodonte minier BHP Billiton fondait pour sa part de 0.62%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant guère mieux lotis avec 0.55 et 1.12%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, suivait le mouvement de 0.76% et son rival BP sauvait les meubles avec seulement 0.27% de pertes.
La City sortait la tête de l'eau à l'instar de ses homologues du continent, Lloyds Banking grignotant 0.06% et HSBC Holdings 0.09%, alors que la Royal Bank of Scotland et Barclays empochaient 0.35 et 0.4%.
Les perspectives des marchés américains n'étaient pas non plus optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.02%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 envisageaient par contre 0.05% d'amélioration.
Les autorités des Etats-Unis comptent de leur côté diffuser dans l'après-midi le volume des ventes au détail, ainsi que les variations des coûts de production, sans oublier le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptinos au chômage.