Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi, soutenues par l'espoir grandissant de nouveaux assouplissements de la part de la Réserve Fédérale, mais cependant bridées par les incertitudes concernant les résultats de l'adjudication de dettes espagnoles de la mi-journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.55%, le CAC 40 français de 0.5%, et le DAX 30 allemand de 0.52%.
Tous les yeux sont désormais tournés vers le témoignage que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, fournira aujourd'hui devant le comité parlementaire au sujet de l'état de l'économie nationale, à l'affût de tout signe de l'éventualité de stimulations monétaires additionnelles.
Janet Yellen, vice-gouverneur de la Réserve Fédérale, avait conforté hier cette hypothèse dans l'optique de consolider une économie fragilisée par l'aggravation de la crise de la dette de la zone euro actuellement sous les feux de la rampe.
La mise aux enchères à la mi-journée par Madrid d'obligations décennales était aussi très attendue, quelques jours après avoir avoué ses difficultés à accéder aux marchés financiers.
L'atmosphère restait assombrie après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déçu hier l'attente d'apports de capitaux surnuméraires, déclarant que les perspectives économiques subissaient des risques baissiers dûs au problème du surendettement régional.
Les banques espagnoles BBVA et Banco Santander étaient en tête de peloton, bondissant respectivement de 3.22 et 3.13%, suivies de près par leur collègues italien Intesa Sanpaolo, avec 2.13%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec 1.52 et 1.15%, et les deux plus gros établissements financiers allemands, à savoir Deutsche Bank et Commerzbank, non plus, avec 0.92 et 0.72%.
L'assureur Axa, basé en France, a enrangé 1.74% après A.M. Best Co. ait cessé sa surveillance négative à son égard et en ait remonté sa note de A vers A+.
A Londres, le FTSE 100 a avancé de 0.39%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, tandis que les spécialistes de l'immobilier constatient une hausse des coûts des logements britanniques supérieure aux attentes pour mai.
La Royal Bank of Scotland a raflé 3.53%, Lloyds Bankin 2.27%, Barclays et HSBC Holdings se contentant de 1.89 et 0.51%.
Le mastodonte minier BHP Billiton a pris 0.35%, et les cuivriers Xstrata et Kazakhmys 0.96 et 0.67%, et ce malgré la baisse des cours des matières premières.
Rio Tinto a toutefois décliné de 0.17% suite à la nouvelle dévoilée hier selon laquelle la compagnie fermerait une usine aluminère à Saint Jean de Maurienne, en France, à moins d'un accord d'ici la mi-septembre avec Electricité de France concernant un contrat de fourniture de courant.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.13%.
La France devrait elle aussi émettre des dettes à long termedans la journée, tandis que les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.55%, le CAC 40 français de 0.5%, et le DAX 30 allemand de 0.52%.
Tous les yeux sont désormais tournés vers le témoignage que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, fournira aujourd'hui devant le comité parlementaire au sujet de l'état de l'économie nationale, à l'affût de tout signe de l'éventualité de stimulations monétaires additionnelles.
Janet Yellen, vice-gouverneur de la Réserve Fédérale, avait conforté hier cette hypothèse dans l'optique de consolider une économie fragilisée par l'aggravation de la crise de la dette de la zone euro actuellement sous les feux de la rampe.
La mise aux enchères à la mi-journée par Madrid d'obligations décennales était aussi très attendue, quelques jours après avoir avoué ses difficultés à accéder aux marchés financiers.
L'atmosphère restait assombrie après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déçu hier l'attente d'apports de capitaux surnuméraires, déclarant que les perspectives économiques subissaient des risques baissiers dûs au problème du surendettement régional.
Les banques espagnoles BBVA et Banco Santander étaient en tête de peloton, bondissant respectivement de 3.22 et 3.13%, suivies de près par leur collègues italien Intesa Sanpaolo, avec 2.13%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec 1.52 et 1.15%, et les deux plus gros établissements financiers allemands, à savoir Deutsche Bank et Commerzbank, non plus, avec 0.92 et 0.72%.
L'assureur Axa, basé en France, a enrangé 1.74% après A.M. Best Co. ait cessé sa surveillance négative à son égard et en ait remonté sa note de A vers A+.
A Londres, le FTSE 100 a avancé de 0.39%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, tandis que les spécialistes de l'immobilier constatient une hausse des coûts des logements britanniques supérieure aux attentes pour mai.
La Royal Bank of Scotland a raflé 3.53%, Lloyds Bankin 2.27%, Barclays et HSBC Holdings se contentant de 1.89 et 0.51%.
Le mastodonte minier BHP Billiton a pris 0.35%, et les cuivriers Xstrata et Kazakhmys 0.96 et 0.67%, et ce malgré la baisse des cours des matières premières.
Rio Tinto a toutefois décliné de 0.17% suite à la nouvelle dévoilée hier selon laquelle la compagnie fermerait une usine aluminère à Saint Jean de Maurienne, en France, à moins d'un accord d'ici la mi-septembre avec Electricité de France concernant un contrat de fourniture de courant.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.13%.
La France devrait elle aussi émettre des dettes à long termedans la journée, tandis que les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.