Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce lundi, la confiance se trouvant écornée par la persistance des craintes liées à la dette régionale et à ses conséquences sur la croissance mondiale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 1.48%, le CAC 40 français de 1.28%, et le DAX 30 allemand de 1.5%.
L'inquiétude concernant les effets du problème du surendettement régional sur la santé de l'économie planétaire s'est aggravée la semaine passée, suite à une série de résultats montrant que l'activité manufacturière des Etats-Unis avait été décevante, de même que celle de la Chine, ainsi que celle des entreprises de la zone euro.
Le gouvernement de l'Espagne devait pour sa part formuler dans la journée une demande officielle d'aide pour ses banques après qu'il ait été estimé jeudi que 62 milliards d'euros seraient nécessaires afin de renflouer celles-ci.
La prudence restait de mise à l'approche du sommet de l'UE du milieu de semaine, pour lequel des progrès sur l'intégration fiscale et l'autorisation pour le mécanisme de sauvetage d'acquérir des dettes gouvernementales sont attendus.
La finance se trouvait du coup en fâcheuse posture, l'itanien Unicredit en première ligne avec un plongeon de 3.2%, suivi des espagnols BBVA et banco Santander avec respectivement 1.83 et 1.91%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec 1.74 et 1.5%, de même que Deutsche Bank et Commerzbank, leurs deux plus gros collègues allemands, avec 2.14 et 1.07%.
BNP Paribas et la Deutsche Bank se trouvaient parmi les 15 banques de plusieurs pays dégradées jeudi dernier par l'agence de notation Moody's, laquelle invoquait leur "vulnérabilité significative à la volatilité et aux risques de pertes inhérents aux activités sur les capitaux des marchés".
Nokia a subi de son côté un effondrement de 6.22% après que son directeur général Stephen Elop ait annonccé que son usine finlandaise majeure de téléphonie mobile de Salo, la dernière de son genre en Europe, devrait fermer, entraînant 850 suppressions d'emplois, en plus des 1 000 déjà annoncées en début d'année, privant ainsi la ville de 90% de ses revenus fiscaux.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a fondu de 0.62%, tiré vers le bas par des valeurs minières en déroute.
Les mastodontes io tinton et BHP Billiton ont ainsi dégringolé de 1.28 et 0.71%, après que l'Union des Banques Suisses ait revu leurs estimations de profits à la baisse de 4% en raison des impôts de l'Australie sur le dioxyde de carbone et les mines.
Les cuivriers n'étaient guère mieux lotis, Xstrata et Kazakhmys laissant tous deux échapper 1.02%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé par ses homologues continentaux, Lloyds Banking s'effondrant de 0.96%, Barclays de 0.52%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings limittant les dégâts à 0.53 et 0.28%.
La compagnie aérienne Aer Lingus Group a cependant gagné 0.71% après que le Sunday Business Post ait rapporté que Turk Hava Yollari AO, plus connu sous le nom de Turkish Airlines, pourrait faire une offre pour les 25% des parts détenues par le gouvernement irlandais, avec ou sans le concours d'un autre acteur du secteur.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.64%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.7% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.57%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux révéler dans l'après-midi le nombre officiel de leurs ventes de logements neufs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 1.48%, le CAC 40 français de 1.28%, et le DAX 30 allemand de 1.5%.
L'inquiétude concernant les effets du problème du surendettement régional sur la santé de l'économie planétaire s'est aggravée la semaine passée, suite à une série de résultats montrant que l'activité manufacturière des Etats-Unis avait été décevante, de même que celle de la Chine, ainsi que celle des entreprises de la zone euro.
Le gouvernement de l'Espagne devait pour sa part formuler dans la journée une demande officielle d'aide pour ses banques après qu'il ait été estimé jeudi que 62 milliards d'euros seraient nécessaires afin de renflouer celles-ci.
La prudence restait de mise à l'approche du sommet de l'UE du milieu de semaine, pour lequel des progrès sur l'intégration fiscale et l'autorisation pour le mécanisme de sauvetage d'acquérir des dettes gouvernementales sont attendus.
La finance se trouvait du coup en fâcheuse posture, l'itanien Unicredit en première ligne avec un plongeon de 3.2%, suivi des espagnols BBVA et banco Santander avec respectivement 1.83 et 1.91%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec 1.74 et 1.5%, de même que Deutsche Bank et Commerzbank, leurs deux plus gros collègues allemands, avec 2.14 et 1.07%.
BNP Paribas et la Deutsche Bank se trouvaient parmi les 15 banques de plusieurs pays dégradées jeudi dernier par l'agence de notation Moody's, laquelle invoquait leur "vulnérabilité significative à la volatilité et aux risques de pertes inhérents aux activités sur les capitaux des marchés".
Nokia a subi de son côté un effondrement de 6.22% après que son directeur général Stephen Elop ait annonccé que son usine finlandaise majeure de téléphonie mobile de Salo, la dernière de son genre en Europe, devrait fermer, entraînant 850 suppressions d'emplois, en plus des 1 000 déjà annoncées en début d'année, privant ainsi la ville de 90% de ses revenus fiscaux.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a fondu de 0.62%, tiré vers le bas par des valeurs minières en déroute.
Les mastodontes io tinton et BHP Billiton ont ainsi dégringolé de 1.28 et 0.71%, après que l'Union des Banques Suisses ait revu leurs estimations de profits à la baisse de 4% en raison des impôts de l'Australie sur le dioxyde de carbone et les mines.
Les cuivriers n'étaient guère mieux lotis, Xstrata et Kazakhmys laissant tous deux échapper 1.02%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé par ses homologues continentaux, Lloyds Banking s'effondrant de 0.96%, Barclays de 0.52%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings limittant les dégâts à 0.53 et 0.28%.
La compagnie aérienne Aer Lingus Group a cependant gagné 0.71% après que le Sunday Business Post ait rapporté que Turk Hava Yollari AO, plus connu sous le nom de Turkish Airlines, pourrait faire une offre pour les 25% des parts détenues par le gouvernement irlandais, avec ou sans le concours d'un autre acteur du secteur.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.64%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.7% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.57%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux révéler dans l'après-midi le nombre officiel de leurs ventes de logements neufs.