Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mardi matin, l'atmosphère se trouvant toujours plombée par les craintes découlant de l'état des caisses de la Grèce et de l'Espagne, tandis que le nombre des transactions semblait devoir être jugulé par les conséquences de la tempête dénommée Sandy.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.69%, le CAC 40 français de 0.86%, et le DAX 30 allemand de 0.46%.
La nervosité restait à l'ordre du jour, à l'affût de signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait enfin à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
Les doutes concernant la capacité de la Grèce à remplir les objectifs de réduction des déficits imposés par la troïka des bailleurs de fonds s'étaient aussi trouvés renforcés par le chef de l'opposition nationale, déclarant que son parti voterait contre les mesures allant dans ce sens devant être proposées cette semaine au parlement.
Le volume des échanges avait pour sa part toutes les chances de rester réduit, en raison de la première fermeture impromptue des marchés américains depuis septembre 2001, alors que le nord-est des Etats-Unis se trouvait sous la menace de l'ouragan Sandy.
La finance était largement sur la défensive, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.41 et 0.81%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 0.09 et 0.27%.
La périphérie n'était pas non plus à la fête, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo plongeant de 2.01 et 1.73%, suivis des espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.72 et 0.52%.
Tout n'était cependant pas désespéré, les supermarchés Carrefour gardant le sourire après avoir accepté de céder d'ici la fin de l'année au chilien Cencosud sa branche colombienne pour 2 milliards d'euros, dettes comprises.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.37%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland s'est ainsi effondrée de 1.3% après avoir mis Ken Choy, directeur de sa branche orientée sur le marché des changes des pays émergents, en congé, dans le cadre d'une enquête interne sur des manipulations de contrats à terme non livrables, des produits dérivés utilisés pour spéculer sur les mouvements de monnaies sujettes à des restrictions.
Lloyds Banking n'était du coup pas en reste avec un dérapage de 1.36%, imité par Barclays avec 0.93%, tandis que HSBC Holdings tirait son épingle du jeu avec un sursaut de 0.1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.83 et 0.71%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant guère mieux lotis avec 0.81 et 1.04%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.46%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.59%.
Le gouvernement des Etats-Unis prévoyait de son côté de fournir en fin de journée ses informations au sujet des revenus et des dépenses des ménages, ainsi que de l'inflation des prix à la consommation.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.69%, le CAC 40 français de 0.86%, et le DAX 30 allemand de 0.46%.
La nervosité restait à l'ordre du jour, à l'affût de signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait enfin à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
Les doutes concernant la capacité de la Grèce à remplir les objectifs de réduction des déficits imposés par la troïka des bailleurs de fonds s'étaient aussi trouvés renforcés par le chef de l'opposition nationale, déclarant que son parti voterait contre les mesures allant dans ce sens devant être proposées cette semaine au parlement.
Le volume des échanges avait pour sa part toutes les chances de rester réduit, en raison de la première fermeture impromptue des marchés américains depuis septembre 2001, alors que le nord-est des Etats-Unis se trouvait sous la menace de l'ouragan Sandy.
La finance était largement sur la défensive, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.41 et 0.81%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 0.09 et 0.27%.
La périphérie n'était pas non plus à la fête, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo plongeant de 2.01 et 1.73%, suivis des espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.72 et 0.52%.
Tout n'était cependant pas désespéré, les supermarchés Carrefour gardant le sourire après avoir accepté de céder d'ici la fin de l'année au chilien Cencosud sa branche colombienne pour 2 milliards d'euros, dettes comprises.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.37%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland s'est ainsi effondrée de 1.3% après avoir mis Ken Choy, directeur de sa branche orientée sur le marché des changes des pays émergents, en congé, dans le cadre d'une enquête interne sur des manipulations de contrats à terme non livrables, des produits dérivés utilisés pour spéculer sur les mouvements de monnaies sujettes à des restrictions.
Lloyds Banking n'était du coup pas en reste avec un dérapage de 1.36%, imité par Barclays avec 0.93%, tandis que HSBC Holdings tirait son épingle du jeu avec un sursaut de 0.1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.83 et 0.71%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant guère mieux lotis avec 0.81 et 1.04%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.46%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.59%.
Le gouvernement des Etats-Unis prévoyait de son côté de fournir en fin de journée ses informations au sujet des revenus et des dépenses des ménages, ainsi que de l'inflation des prix à la consommation.