Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce jeudi, les investisseurs demeurant prudents dans l'attente des mises aux enchères cruciales de dettes françaises et espagnoles devant avoir lieu aujourd'hui.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.57%, le CAC 40 français de 0.82%, et le DAX 30 allemand de 0.57%.
L'Espagne prévoyait de mettre pour 4 milliards d'euros d'obligations aux enchères, Madrid ayant vraisemblablement à faire face aux taux les plus élevés depuis l'introduction de l'euro.
La France fera de même à hauteur de 7 milliards d'euros, après que les coûts des emprunts aient atteint hier des records, les achats effectués par la Banque Centrale Européenne n'ayant pas suffi à rassurer les investisseurs.
Ceux-ci demeuraient nerveux, après que l'agence Fitch ait averti d'un possible impact du problème du surendettement régional sur le secteur bancaire américain, peu après que Moody's ait décidé de revoir à la baisse sa notation de 12 banques publiques allemandes.
La finance coiffait le bonnet d'âne, BNP Paribas s'effondrant de 3%, la Société Générale de 2.6%, et les allemands Deutsche Bank et Commerzbank de respectivement 1.8 et 1.9%.
ASML Holding, premier fournisseur européen d'équipements nécessaires à la réalisation de puces électroniques, a glissé de 2.35% après avoir prévu des ventes et des bénéfices en baisse pour le premier trimestre.
Parmi les autres entreprises révélant leurs performances, Ahold, propriétaire néerlandais des épiceries Stop & Shop, a grignoté 0.16% suite à l'annonce des 15% de progression de ses profits au troisième trimestre, pour atteindre les 257 millions d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.67%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a dérapé de 1.78%, Lloyds Banking de 1.67%, la Royal Bank of Scotland et HSCB Holdings limitant les dégâts à 1.37 et 1%.
Les entreprises spécialisées dans l'énergie ont également souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 1.15 et 1.06%, et British Petroleum de 0.9%.
Le cuivrier Xstrata était parmi les lanternes rouges avec 1.91% de pertes, suivi de près par son collègues Kazakhmys avec 1.31%.
SABMiller, brasseur des bières Grolsch et Peroni, a pour sa part laissé échapper 0.78% malgré une croissance de ses bénéfices correspondant largement aux estimations et l'attente de résultats similaires pour le reste de l'année.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.37%.
Les Etats-Unis communiqueront aujourd'hui leur rapport hebdomadaire officiel sur les nouvelles inscriptions au chômage, mais aussi des informations sur les permis de construire, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.57%, le CAC 40 français de 0.82%, et le DAX 30 allemand de 0.57%.
L'Espagne prévoyait de mettre pour 4 milliards d'euros d'obligations aux enchères, Madrid ayant vraisemblablement à faire face aux taux les plus élevés depuis l'introduction de l'euro.
La France fera de même à hauteur de 7 milliards d'euros, après que les coûts des emprunts aient atteint hier des records, les achats effectués par la Banque Centrale Européenne n'ayant pas suffi à rassurer les investisseurs.
Ceux-ci demeuraient nerveux, après que l'agence Fitch ait averti d'un possible impact du problème du surendettement régional sur le secteur bancaire américain, peu après que Moody's ait décidé de revoir à la baisse sa notation de 12 banques publiques allemandes.
La finance coiffait le bonnet d'âne, BNP Paribas s'effondrant de 3%, la Société Générale de 2.6%, et les allemands Deutsche Bank et Commerzbank de respectivement 1.8 et 1.9%.
ASML Holding, premier fournisseur européen d'équipements nécessaires à la réalisation de puces électroniques, a glissé de 2.35% après avoir prévu des ventes et des bénéfices en baisse pour le premier trimestre.
Parmi les autres entreprises révélant leurs performances, Ahold, propriétaire néerlandais des épiceries Stop & Shop, a grignoté 0.16% suite à l'annonce des 15% de progression de ses profits au troisième trimestre, pour atteindre les 257 millions d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.67%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a dérapé de 1.78%, Lloyds Banking de 1.67%, la Royal Bank of Scotland et HSCB Holdings limitant les dégâts à 1.37 et 1%.
Les entreprises spécialisées dans l'énergie ont également souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 1.15 et 1.06%, et British Petroleum de 0.9%.
Le cuivrier Xstrata était parmi les lanternes rouges avec 1.91% de pertes, suivi de près par son collègues Kazakhmys avec 1.31%.
SABMiller, brasseur des bières Grolsch et Peroni, a pour sa part laissé échapper 0.78% malgré une croissance de ses bénéfices correspondant largement aux estimations et l'attente de résultats similaires pour le reste de l'année.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.37%.
Les Etats-Unis communiqueront aujourd'hui leur rapport hebdomadaire officiel sur les nouvelles inscriptions au chômage, mais aussi des informations sur les permis de construire, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.