Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce vendredi matin, sur fond de rumeurs renforcées de coup de frein aux apports de capitaux de la banque centrale américaine, et de persistance des craintes au sujet de l'économie régionale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,49%, le CAC 40 français de 0,37%, et le DAX 30 allemand de 0,32%.
La prudence restait de mise après que John Williams, à la tête de la succursale de la Réserve Fédérale de San Francisco, ait estimé que la maison-mère pourrait diminuer le volume de ses injections de capitaux dès l'été et y mettre un coup d'arrêt en fin d'année.
L'ambiance demeurait aussi assombrie après qu'une série de résultats économiques médiocres du bloc euro aient alimenté les ragots évoquant de nouveaux rabotages des taux de la Banque Centrale Européenne.
Il avait été montré mercredi que l'économie de la zone avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
La finance était sur la défensive, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,03%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,07 et 0,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se rétractant de 0,01 et 0,81%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,23 et 0,68%.
FLSmidth & Co. A/S, premier cimenterier d'Europe, s'écroulait pour sa part de 6,04% après avoir enregistré un chiffre d'affaires et des bénéfices inférieurs aux espérances pour le premier trimestre.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, reculait de 0,25%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,14 et 0,13%, leurs rival Randgold resources faisaient encore pire avec 1,14%.
La City était plus mitigée, Barclays chutant de 0,22% et la Royal Bank of Scotland de 0,67%, alors que HSBC Holdings et Lloyds Banking surnageaient avec 0,16 et 0,30%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,09%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté achever la semaine avec les informations préliminaires de l'université du Michigan portant sur le moral des consommateurs ainsi que sur l'inflation attendue.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,49%, le CAC 40 français de 0,37%, et le DAX 30 allemand de 0,32%.
La prudence restait de mise après que John Williams, à la tête de la succursale de la Réserve Fédérale de San Francisco, ait estimé que la maison-mère pourrait diminuer le volume de ses injections de capitaux dès l'été et y mettre un coup d'arrêt en fin d'année.
L'ambiance demeurait aussi assombrie après qu'une série de résultats économiques médiocres du bloc euro aient alimenté les ragots évoquant de nouveaux rabotages des taux de la Banque Centrale Européenne.
Il avait été montré mercredi que l'économie de la zone avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
La finance était sur la défensive, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,03%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,07 et 0,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se rétractant de 0,01 et 0,81%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,23 et 0,68%.
FLSmidth & Co. A/S, premier cimenterier d'Europe, s'écroulait pour sa part de 6,04% après avoir enregistré un chiffre d'affaires et des bénéfices inférieurs aux espérances pour le premier trimestre.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, reculait de 0,25%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,14 et 0,13%, leurs rival Randgold resources faisaient encore pire avec 1,14%.
La City était plus mitigée, Barclays chutant de 0,22% et la Royal Bank of Scotland de 0,67%, alors que HSBC Holdings et Lloyds Banking surnageaient avec 0,16 et 0,30%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,09%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté achever la semaine avec les informations préliminaires de l'université du Michigan portant sur le moral des consommateurs ainsi que sur l'inflation attendue.