Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en territoire négatif ce mercredi, après que la Réserve Fédérale ait étouffé l'attente de nouveaux assouplissements monétaires et que la déception engendrée par les enchères espagnoles et les résultats de la zone euro aient ravivé les inquiétudes concernant les perspectives économiques régionales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.69%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.72% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.63%.
Le coût des assurances contre un défaut de paiement des obligations espagnoles avait auparavant augmenté après que Madrid n'ait émis que 2.59 milliards d'euros d'obligations, soit nettement moins que les 3.5 milliards envisagés.
Le gouvernement espagnol avait avoué mardi que la dette publique s'élèverait cette année à un record de 79.8% du produit intérieur brut national.
Il avait d'autre part été signalé ce matin que l'activité tertiaire régionale avait subi en mars sa sixième contraction en sept mois, augmentant les probabilités de son retour en récession technique.
Le compte-rendu de la réunion de mars de la Fed avait montré que les membres de son conseil d'orientation politique comptaient éviter de déclencher une troisième série d'injections de liquidités à moins que la croissance ne faiblisse, ou que l'inflation ne passe sous les 2% visés.
General Electric Co était attendu sur le devant de la scène après que Moody's ait dégradé d'un cran ses appréciations du conglomérat et de sa branche financière, General Electric Capital, estimant que son modèle de capitalisation impliquait des "risques concrets".
Le secteur énergétique était aussi sous les feux de l'actualité, après que le parquet brésilien ait porté une seconde fois plainte pour obtenir 10.9 milliards d'USD de la partdu géant du pétrole américain Chevron et de l'opérateur de forages Transocean, en raison de la fuite de pétrole découverte le 4 mars dans un puits situé au nord'est de Rio de Janeiro, ce dernier plongeant de 3.21% sur les transactions de pré-ouverture.
En ce qui concerne la finance, un magistrat fédéral a rejeté la demande de non-lieu émise par la Bank of New York Mellon Corp dans le cadre du procès intenté par des investisseurs dans 26 fonds qui auraient comporté des prêts hypothécaires risqués émis par l'établissement financier autrefois connu sous le nom de Countrywide Financial Corp, entraînant 0.41% de pertes pourla banque après la clôture des échanges d'hier.
Groupon, premier site d'achats groupés par internet à prix réduits, a pour sa part laissé échapper 0.8% après avoir avoué qu'un de ses actionnaires l'avait accusé devant la justice d'avoir révélé des résultats financiers trompeurs et caché un manque de rigueur dans les contrôles internes.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait aussi noter SanDisk Corp, plus gros fabriquant de cartes-mémoire flash de la planète, avait revu ses prévisions de vetes et de marges pour le premier trimestre à la baisse.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 dégringolant de 1.08%, le CAC 40 français de 1.18%, le DAX 30 allemand de 1.76% et le FTSE 100 britannique de 1.17%.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien avait trébuché de 0.1%, et le Nikkei 225 japonais s'était effondré de 2.3%.
Une étude officielle avait rapporté ce matin que les ventes au détail de la zone euro avaient subi en février un recul inattendu, cédant 0.1% après avoir pourtant gagné 1.1% en janvier, fondant de 2.1% à l'année.
Les autorités allemandes ont quand à elles révélé que les commandes auprès des usines du pays n'avaient gagné que 0.3% en février, au lieu des 1.2% espéré, ravivant les incertitudes concernant les perspectives de la plus grosse économie de la région.
Les Etats-Unis rendront quand à eux cet après-midi un rapport sur les variations de l'emploi non agricole, et l'institut de gestion des approvisionnements ISM fera de même concernant l'activité du secteur tertiaire du pays, tandis que le gouvernement pubiera son inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.69%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.72% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.63%.
Le coût des assurances contre un défaut de paiement des obligations espagnoles avait auparavant augmenté après que Madrid n'ait émis que 2.59 milliards d'euros d'obligations, soit nettement moins que les 3.5 milliards envisagés.
Le gouvernement espagnol avait avoué mardi que la dette publique s'élèverait cette année à un record de 79.8% du produit intérieur brut national.
Il avait d'autre part été signalé ce matin que l'activité tertiaire régionale avait subi en mars sa sixième contraction en sept mois, augmentant les probabilités de son retour en récession technique.
Le compte-rendu de la réunion de mars de la Fed avait montré que les membres de son conseil d'orientation politique comptaient éviter de déclencher une troisième série d'injections de liquidités à moins que la croissance ne faiblisse, ou que l'inflation ne passe sous les 2% visés.
General Electric Co était attendu sur le devant de la scène après que Moody's ait dégradé d'un cran ses appréciations du conglomérat et de sa branche financière, General Electric Capital, estimant que son modèle de capitalisation impliquait des "risques concrets".
Le secteur énergétique était aussi sous les feux de l'actualité, après que le parquet brésilien ait porté une seconde fois plainte pour obtenir 10.9 milliards d'USD de la partdu géant du pétrole américain Chevron et de l'opérateur de forages Transocean, en raison de la fuite de pétrole découverte le 4 mars dans un puits situé au nord'est de Rio de Janeiro, ce dernier plongeant de 3.21% sur les transactions de pré-ouverture.
En ce qui concerne la finance, un magistrat fédéral a rejeté la demande de non-lieu émise par la Bank of New York Mellon Corp dans le cadre du procès intenté par des investisseurs dans 26 fonds qui auraient comporté des prêts hypothécaires risqués émis par l'établissement financier autrefois connu sous le nom de Countrywide Financial Corp, entraînant 0.41% de pertes pourla banque après la clôture des échanges d'hier.
Groupon, premier site d'achats groupés par internet à prix réduits, a pour sa part laissé échapper 0.8% après avoir avoué qu'un de ses actionnaires l'avait accusé devant la justice d'avoir révélé des résultats financiers trompeurs et caché un manque de rigueur dans les contrôles internes.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait aussi noter SanDisk Corp, plus gros fabriquant de cartes-mémoire flash de la planète, avait revu ses prévisions de vetes et de marges pour le premier trimestre à la baisse.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 dégringolant de 1.08%, le CAC 40 français de 1.18%, le DAX 30 allemand de 1.76% et le FTSE 100 britannique de 1.17%.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien avait trébuché de 0.1%, et le Nikkei 225 japonais s'était effondré de 2.3%.
Une étude officielle avait rapporté ce matin que les ventes au détail de la zone euro avaient subi en février un recul inattendu, cédant 0.1% après avoir pourtant gagné 1.1% en janvier, fondant de 2.1% à l'année.
Les autorités allemandes ont quand à elles révélé que les commandes auprès des usines du pays n'avaient gagné que 0.3% en février, au lieu des 1.2% espéré, ravivant les incertitudes concernant les perspectives de la plus grosse économie de la région.
Les Etats-Unis rendront quand à eux cet après-midi un rapport sur les variations de l'emploi non agricole, et l'institut de gestion des approvisionnements ISM fera de même concernant l'activité du secteur tertiaire du pays, tandis que le gouvernement pubiera son inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.