Investing.com - Les bourses européennes ont fini par craquer ce jeudi après-midi, la croissance de la zone euro étant redevenue un motif d'inquiétude suite à des coups de freins dépassant les craintes.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.98%, le CAC 40 français de 0.83%, et le DAX 30 allemand de 1.1%.
L'atmosphère s'est en effet encore assombrie après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques de la zone euro, ait fait savoir que le produit intérieur brut de cette dernière avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il a du coup fondu de 0.9% d'une année sur l'autre, alors que 0.7% avaient été pressentis après les 0.6% du second trimestre.
Cette tendance avait émergé après que des chiffres émanant des autorités aient mis en évidence ce matin des coups de freins dépassant les craintes pour l'Allemagne, la France et l'Italie dans le même laps de temps.
La finance s'en ressentait, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank trébuchant respectivement de 2.67 et 1.71%, le français Société Générale faisant bien pire avec 3.21%.
Son compatriote BNP Paribas a par contre émergé de 2.77% suite à l'augmentation de son dividende.
La périphérie était elle aussi en recul, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 2.15 et 2.98%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit se repliaient de 1.92 et 0.87%.
Le fabricant de téléphones mobiles Nokia plongeait quand à lui de 3.64% sur fond de rumeurs selon lesquelles il envisagerait, tout comme Apple, de réduire sa dépendance envers les composants de son concurrent coréen Samsung.
A Londres, le FTSE 100 se rétractait de 0.73%, tiré vers le bas par un secteur bancaire suivant le chemin tracé sur le continent.
HSBC Holdings a chutait ainsi de 0.61%, et Lloyds Banking de 0.63%, la Royal Bank of Scotland et Barclays se trouvant en queue de peloton avec dse passages à vide de 1.19 et 1.98%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont cessé d'avoir le vent en poupe, le mastodonte minier Rio Tinto glissant de 1.21%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 2.09 et 0.19%.
Reckitt Benckiser, spécialiste des produits ménagers, et fournisseur des médicaments Lemsip, Nurofen et des pastilles pour la gorge Strepsils, poursuivait quand à lui son offensive avec moins de vigueur à 0.86%, après avoir revendiqué une augmentation de 6% de son chiffre d'affaires sur les trois derniers mois de l'année, pour un total annuel de 9.6 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.44%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.98%, le CAC 40 français de 0.83%, et le DAX 30 allemand de 1.1%.
L'atmosphère s'est en effet encore assombrie après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques de la zone euro, ait fait savoir que le produit intérieur brut de cette dernière avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il a du coup fondu de 0.9% d'une année sur l'autre, alors que 0.7% avaient été pressentis après les 0.6% du second trimestre.
Cette tendance avait émergé après que des chiffres émanant des autorités aient mis en évidence ce matin des coups de freins dépassant les craintes pour l'Allemagne, la France et l'Italie dans le même laps de temps.
La finance s'en ressentait, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank trébuchant respectivement de 2.67 et 1.71%, le français Société Générale faisant bien pire avec 3.21%.
Son compatriote BNP Paribas a par contre émergé de 2.77% suite à l'augmentation de son dividende.
La périphérie était elle aussi en recul, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 2.15 et 2.98%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit se repliaient de 1.92 et 0.87%.
Le fabricant de téléphones mobiles Nokia plongeait quand à lui de 3.64% sur fond de rumeurs selon lesquelles il envisagerait, tout comme Apple, de réduire sa dépendance envers les composants de son concurrent coréen Samsung.
A Londres, le FTSE 100 se rétractait de 0.73%, tiré vers le bas par un secteur bancaire suivant le chemin tracé sur le continent.
HSBC Holdings a chutait ainsi de 0.61%, et Lloyds Banking de 0.63%, la Royal Bank of Scotland et Barclays se trouvant en queue de peloton avec dse passages à vide de 1.19 et 1.98%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont cessé d'avoir le vent en poupe, le mastodonte minier Rio Tinto glissant de 1.21%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 2.09 et 0.19%.
Reckitt Benckiser, spécialiste des produits ménagers, et fournisseur des médicaments Lemsip, Nurofen et des pastilles pour la gorge Strepsils, poursuivait quand à lui son offensive avec moins de vigueur à 0.86%, après avoir revendiqué une augmentation de 6% de son chiffre d'affaires sur les trois derniers mois de l'année, pour un total annuel de 9.6 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.44%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.