Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt moroses ce lundi matin, les résultats modérément positifs sur le front de l'emploi des Etats-Unis révélés lors de la journée de cotation précédente ayant étouffé les rumeurs de rabotage imminent des apports de capitaux de leur banque centrale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,31%, et le CAC 40 français de 0,39%, mais le DAX 30 allemand grignotait 0,07%.
Le département d'état au travail américain a en effet constaté 175.000 créations de postes, dépassant légèrement les 170.000 attendus par les économistes, alors que le taux de chômage frémissait par contre de 7,5 vers 7,6% dans le même temps.
Ces chiffres laissaient espérer une poursuite de la relance nationale, sans toutefois justifier de diminution des injections de liquidités de la part de la Réserve Fédérale.
La finance avait cependant le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,81%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,92 et 0,33%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,74 et 0,14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,25 et 0,57%.
Elan bondissait pour sa part de 6,64% après que son conseil d'administration ait demandé à ses observateurs d'étudier les demandes "spontanées" après avoir rejeté à l'unanimité la tentative de prise de contrôle à hauteur de 6,7 milliards d'USD de Royalty Pharma.
A Londres, le FTSE 100 reculait de 0,41%.
Severn Trent était en queue de peloton, dégringolant de 3,86% après que Borealis Infrastructure Management et ses partenaires du groupe LongRiver aient abandonné leur offre se montant à 5,3 milliards de GBP pour le fournisseur collectif d'eau britannique, qui a refusé de négocier.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 1,41 et 1,64%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Polymetal partageant le même sort avec 1,67 et 3,57%.
La City était quand à elle plus mitigée, HSBC Holdings et Lloyds Banking laissant échapper 0,70 et 0,19%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland grimpaient de 0,43 et 1,08%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
Une étude officielle avait montré ce matin que la production industrielle avait augmenté de 2,2% en avril, pulvérisant les 0,3% espérés suite aux 0,6% de repli du troisième trois de l'année.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,31%, et le CAC 40 français de 0,39%, mais le DAX 30 allemand grignotait 0,07%.
Le département d'état au travail américain a en effet constaté 175.000 créations de postes, dépassant légèrement les 170.000 attendus par les économistes, alors que le taux de chômage frémissait par contre de 7,5 vers 7,6% dans le même temps.
Ces chiffres laissaient espérer une poursuite de la relance nationale, sans toutefois justifier de diminution des injections de liquidités de la part de la Réserve Fédérale.
La finance avait cependant le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,81%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,92 et 0,33%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,74 et 0,14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,25 et 0,57%.
Elan bondissait pour sa part de 6,64% après que son conseil d'administration ait demandé à ses observateurs d'étudier les demandes "spontanées" après avoir rejeté à l'unanimité la tentative de prise de contrôle à hauteur de 6,7 milliards d'USD de Royalty Pharma.
A Londres, le FTSE 100 reculait de 0,41%.
Severn Trent était en queue de peloton, dégringolant de 3,86% après que Borealis Infrastructure Management et ses partenaires du groupe LongRiver aient abandonné leur offre se montant à 5,3 milliards de GBP pour le fournisseur collectif d'eau britannique, qui a refusé de négocier.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 1,41 et 1,64%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Polymetal partageant le même sort avec 1,67 et 3,57%.
La City était quand à elle plus mitigée, HSBC Holdings et Lloyds Banking laissant échapper 0,70 et 0,19%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland grimpaient de 0,43 et 1,08%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
Une étude officielle avait montré ce matin que la production industrielle avait augmenté de 2,2% en avril, pulvérisant les 0,3% espérés suite aux 0,6% de repli du troisième trois de l'année.