Investing.com - Les bourses européennes ont perdu de leur superbe ce vendredi après-midi, dans le sillage des chiffres de l'évolution des prix au sein du bloc euro, après que leurs bonnes performances des Etats-Unis dévoilées hier aient redonné de la vigueur à leurs homologues du monde entier.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,01%, le CAC 40 français trébuchait de 0,01%, et le DAX 30 allemand grimpait de 0,22%.
Une étude officielle a en effet montré dans la matinée que l'inflation à la consommation annualisée du bloc ayant adopté la monnaie unique était demeurée sans surprise stable à 1,4% en mai.
Celles des prix de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, a quand à elle frémi comme prévu depuis les 1% précédents vers 1,2% sur la même période.
Le département d'état au travail américain avait quand à lui dénombré jeudi 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 8 juin, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 1.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Son équivalent du commerce constatait d'autre part 0,6% de ventes au détail supplémentaires pour mai, tirées vers le haut par le secteur automobile, au lieu des 0,4% anticipés.
Celles de produits de base, excluant les moyens de transport, se contentaient en effet de 0,3% comme prévu.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,13%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale se renforçaient respectivement de 0,20 et 1,72%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissaient 0,74 et 0,60%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit se rétractant au contraire de 0,30 et 0,51%.
Toujours en Italie, le constructeur automobile Fiat dérapait pour sa part de 0,89%, alors qu'il s'apprêtait à trouver ce mois-ci un accord avec neuf banques afin de se refinancer à hauteur de 1,95 milliards d'euros afin de se préparer au rachat du reste des parts de Chrysler.
Barry Callebaut, sous-traitant de Nestlé, était aussi sur le défensive, plongeant de 1,91%, après avoir émis de nouvelles actions afin de lever 279 millions de CHF, celles-ci ayant été proposées entre 870 et 880 CHF.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, se repliait de 0,31%, réduisant à néant sa poussée matinale.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto voyaient cependant s'accentuer leur sourire, amassant 1,59 et 2,10%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American étant aussi de la fête avec 1,20%.
La City restait plus nuancée, Barclays et Lloyds Banking gripant de 0,25 et 1,29%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se repliaient de 1 et 1,01%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,13% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un frémissement de 0,08%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec leur inflation des prix à la production, le volume de leur production industrielle, le taux d'utilisation de leurs capacités, le solde de leur compte courant et la première évaluation du moral de leurs ménages effectuée par l'université du Michigan.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,01%, le CAC 40 français trébuchait de 0,01%, et le DAX 30 allemand grimpait de 0,22%.
Une étude officielle a en effet montré dans la matinée que l'inflation à la consommation annualisée du bloc ayant adopté la monnaie unique était demeurée sans surprise stable à 1,4% en mai.
Celles des prix de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, a quand à elle frémi comme prévu depuis les 1% précédents vers 1,2% sur la même période.
Le département d'état au travail américain avait quand à lui dénombré jeudi 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 8 juin, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 1.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Son équivalent du commerce constatait d'autre part 0,6% de ventes au détail supplémentaires pour mai, tirées vers le haut par le secteur automobile, au lieu des 0,4% anticipés.
Celles de produits de base, excluant les moyens de transport, se contentaient en effet de 0,3% comme prévu.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,13%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale se renforçaient respectivement de 0,20 et 1,72%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissaient 0,74 et 0,60%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit se rétractant au contraire de 0,30 et 0,51%.
Toujours en Italie, le constructeur automobile Fiat dérapait pour sa part de 0,89%, alors qu'il s'apprêtait à trouver ce mois-ci un accord avec neuf banques afin de se refinancer à hauteur de 1,95 milliards d'euros afin de se préparer au rachat du reste des parts de Chrysler.
Barry Callebaut, sous-traitant de Nestlé, était aussi sur le défensive, plongeant de 1,91%, après avoir émis de nouvelles actions afin de lever 279 millions de CHF, celles-ci ayant été proposées entre 870 et 880 CHF.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, se repliait de 0,31%, réduisant à néant sa poussée matinale.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto voyaient cependant s'accentuer leur sourire, amassant 1,59 et 2,10%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American étant aussi de la fête avec 1,20%.
La City restait plus nuancée, Barclays et Lloyds Banking gripant de 0,25 et 1,29%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se repliaient de 1 et 1,01%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,13% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un frémissement de 0,08%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec leur inflation des prix à la production, le volume de leur production industrielle, le taux d'utilisation de leurs capacités, le solde de leur compte courant et la première évaluation du moral de leurs ménages effectuée par l'université du Michigan.