Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi, tirées vers le haut pas l'espoir d'avancées dans la gestion de la crise de la dette grecque, bien que les interrogations au sujet de la politique fiscale américaine jugulent toutes idée de flambée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.8%, le CAC 40 français de 0.63%, et le DAX 30 allemand de 0.54%.
Le moral s'est en effet redressé après que le parlement grec ait approuvé de peu hier soir les nouvelles mesures de rigueur destinées à lui assurer l'attribution de la prochaine tranche d'aides internationales, bien qu'elles semblent poser le risque d'une aggravation de la récession nationale.
Les perspectives d'expansion économique des Etats-Unis et donc de la planète souffraient par contre du spectre du précipice fiscal, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier, à moins d'un accord entre les différentes factions en lice.
La finance avait majoritairement le sourire, les français BNP Paribas et Société Générale en tête avec respectivement 2.12 et 3.21% d'amélioration, suivis de près par les espagnols Banso Santander et BBVA avec 0.91 et 0.43%.
Il en était de même en Italie, Unicredit et Intesa Sanpaolo encaissant 0.7 et 0.66%, tandis que l'Allemagne décevait, Deutsche Bank et Commerzbank laissant échapper 0.03 et 0.46%.
Parmi les proclamations de résultats, Repsol émergeait de 2% après avoir revendiqué des bénéfices trimestriels en augmentation grâce à une renforcement de la production.
Le réassureur Swiss Re a pour sa part gagné 1.69%, ses revenus nets ayant gonflé grâce à la diminution des pertes dûes aux catastrophes naturelles.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.52%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holings a ainsi arraché 0.04%, la Royal Bank of Scotland 0.77% et Barclays 1.08%, tandis que Lloyds Banking dérapait par contre de 0.16%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste, encaissant 0.39 et 1.06%, imités par le cuivrier Xstrata avec 0.7%.
Les supermarchés Tesco ont quand à eux bondi de 1.75% suite à l'annonce de 25 milliards de GBP d'investissements annuels dans l'agriculture britannique.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.31%.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe comptaient tenir dans la journée des pourparlers à Bruxelles au sujet des difficultés financières du bloc euro.
Les Etats-Unis révèleront de leur côté le résultat de leurs transactions avec l'étranger, sans oublier leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.8%, le CAC 40 français de 0.63%, et le DAX 30 allemand de 0.54%.
Le moral s'est en effet redressé après que le parlement grec ait approuvé de peu hier soir les nouvelles mesures de rigueur destinées à lui assurer l'attribution de la prochaine tranche d'aides internationales, bien qu'elles semblent poser le risque d'une aggravation de la récession nationale.
Les perspectives d'expansion économique des Etats-Unis et donc de la planète souffraient par contre du spectre du précipice fiscal, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier, à moins d'un accord entre les différentes factions en lice.
La finance avait majoritairement le sourire, les français BNP Paribas et Société Générale en tête avec respectivement 2.12 et 3.21% d'amélioration, suivis de près par les espagnols Banso Santander et BBVA avec 0.91 et 0.43%.
Il en était de même en Italie, Unicredit et Intesa Sanpaolo encaissant 0.7 et 0.66%, tandis que l'Allemagne décevait, Deutsche Bank et Commerzbank laissant échapper 0.03 et 0.46%.
Parmi les proclamations de résultats, Repsol émergeait de 2% après avoir revendiqué des bénéfices trimestriels en augmentation grâce à une renforcement de la production.
Le réassureur Swiss Re a pour sa part gagné 1.69%, ses revenus nets ayant gonflé grâce à la diminution des pertes dûes aux catastrophes naturelles.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.52%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holings a ainsi arraché 0.04%, la Royal Bank of Scotland 0.77% et Barclays 1.08%, tandis que Lloyds Banking dérapait par contre de 0.16%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste, encaissant 0.39 et 1.06%, imités par le cuivrier Xstrata avec 0.7%.
Les supermarchés Tesco ont quand à eux bondi de 1.75% suite à l'annonce de 25 milliards de GBP d'investissements annuels dans l'agriculture britannique.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.31%.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe comptaient tenir dans la journée des pourparlers à Bruxelles au sujet des difficultés financières du bloc euro.
Les Etats-Unis révèleront de leur côté le résultat de leurs transactions avec l'étranger, sans oublier leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.