Investing.com - Les bourses européennes ont repris du poil de la bête ce mercredi après-midi, l'ambiance se trouvant éclaircie par l'idée d'un paiement qui tirerait Athènes de l'embarras malgré des doutes lancinants.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.35%, le CAC 40 français de 0.3%, et le DAX 30 allemand de 0.16%.
Le moral demeurait cependant friable après que les négociations d'hier entre les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtées à une impasse, privant ainsi la Grèce de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Jean-Claude Juncker, chef des premiers, a cependant déclaré qu'une solution était proche, mais qu'il ne pouvait affirmer avec certitude quand les autorités grecques bénéficieraient de leur prochaine tranche d'aides, alors que les pourparlers devaient se poursuivre aujourd'hui.
La finance a redressé la tête, les français BNP Paribas et Société Générale avançant respectivement de 1.17 et 0.42%, suivis de la Commerzbank allemande avec 0.7%.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo empochant de 0.52 et 0.82%, imités par les Espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.16 et 0.71%.
A Londres, le FTSE 100, grignotait 0.08%, après que le compte-rendu de la dernière réunion d'orientation de la banque centrale britannique ait mis en évidence les divisions entre ses décideurs concernant d'éventuels accommodements supplémentaires, tandis qu'il était aussi à noter que les emprunts contractés par le gouvernement avaient davantage augmenté en octobre que redouté.
Les établissements financiers de Grande-Bretagne suivaient le chemin tracé par leurs homologues continentaux, HSBC gagnant 0.49%, et la Royal Bank of Scotland 0.57%, tandis que Lloyds Banking et Barclays caracolaient en tête avec 0.99 et 1.17%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys étaient aussi de la fête, s'élevant de 1.06 et 0.22%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton demeuraient cependant sur la défensive avec 1.2 et 0.7% de pertes.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, findait aussi de 1.2%, son rival BP limitant les dégâts à 0.26%.
Le raffineur de platine Johnson Matthey s'est pour sa part effondré de 6.22% suite à l'aveu d'une diminution de 6% de ses bénéfices au premier semestre, et de son peu d'espoir de constater d'améliorations au courss du reste de l'année fiscale.
Les perspectives des marchés américains se trouvaient malgré tout modérément oprimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1% également.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre leur décompte hebdomadaire du nombre des nouvelles inscriptions au chômage avec un jour d'avance en raison de la fête de Thanksgiving se déroulant demain.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.35%, le CAC 40 français de 0.3%, et le DAX 30 allemand de 0.16%.
Le moral demeurait cependant friable après que les négociations d'hier entre les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtées à une impasse, privant ainsi la Grèce de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Jean-Claude Juncker, chef des premiers, a cependant déclaré qu'une solution était proche, mais qu'il ne pouvait affirmer avec certitude quand les autorités grecques bénéficieraient de leur prochaine tranche d'aides, alors que les pourparlers devaient se poursuivre aujourd'hui.
La finance a redressé la tête, les français BNP Paribas et Société Générale avançant respectivement de 1.17 et 0.42%, suivis de la Commerzbank allemande avec 0.7%.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo empochant de 0.52 et 0.82%, imités par les Espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.16 et 0.71%.
A Londres, le FTSE 100, grignotait 0.08%, après que le compte-rendu de la dernière réunion d'orientation de la banque centrale britannique ait mis en évidence les divisions entre ses décideurs concernant d'éventuels accommodements supplémentaires, tandis qu'il était aussi à noter que les emprunts contractés par le gouvernement avaient davantage augmenté en octobre que redouté.
Les établissements financiers de Grande-Bretagne suivaient le chemin tracé par leurs homologues continentaux, HSBC gagnant 0.49%, et la Royal Bank of Scotland 0.57%, tandis que Lloyds Banking et Barclays caracolaient en tête avec 0.99 et 1.17%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys étaient aussi de la fête, s'élevant de 1.06 et 0.22%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton demeuraient cependant sur la défensive avec 1.2 et 0.7% de pertes.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, findait aussi de 1.2%, son rival BP limitant les dégâts à 0.26%.
Le raffineur de platine Johnson Matthey s'est pour sa part effondré de 6.22% suite à l'aveu d'une diminution de 6% de ses bénéfices au premier semestre, et de son peu d'espoir de constater d'améliorations au courss du reste de l'année fiscale.
Les perspectives des marchés américains se trouvaient malgré tout modérément oprimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1% également.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre leur décompte hebdomadaire du nombre des nouvelles inscriptions au chômage avec un jour d'avance en raison de la fête de Thanksgiving se déroulant demain.