Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé des couleurs ce lundi après-midi, l'ambiance restant malgré tout plombée par les propos tenus la semaine passée par le chef de la Banque Centrale Européenne.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.24%, le CAC 40 français de 0.64%, et le DAX 30 allemand laissait échapper 0.01%.
La confiance se trouvait affectée après que Mario Draghi, président de son autorité monétaire, ait déclaré jeudi que cette dernière surveillerait son taux de change de près afin de savoir si son renforcement influençait les prévisions d'inflation.
Elle souffrait également des incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
La finance s'est majoritairement reprise, les français BNP Paribas s'élevant de 0.53%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec respectivement 0.03 et 1.27%.
Mais la périphérie reste sur la défensive, les espagnols Banco Santander et BBVA perdant 0.33 et 0.14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit chutant carrément de 0.64 et 1%.
Le fabricant danois d'insuline Novo Nordisk a pour sa part plongé de 12.2% après que les autorités sanitaires américaines aient estimé ne pas pouvoir accorder leur feu vert à son traitement Trebisa contre le diabète sans davantage d'informations sur ses éventuels effets cardiaques, qui ne pourront du coup être fournis cette année.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, le grand distributeur Ahold, basé à Amsterdam, bondissant de 1.94ù après avoir accepté de vendre des parts d'ICA à Hakon Invest AB pour 3.1 milliards d'USD.
A Londres, le FTSE 100 a grignoté 0.28%, tiré vers le haut par des établissements bancaires de Grande-Bretagne gardant la forme.
HSBC Holdings a ainsi avancé de 0.11%, la Royal Bank of Scotland de 0.47% et Barclays de 0.9%, Lloyds Banking décevant cependant avec un faux pas de 0.23%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières restaient divisées, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0.01 et 0.1%, tandis que leur rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz empochaient 3.15 et 3.29%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste, raflant 0.2 et 0.91%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0.17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
Une étude officielle avait auparavant montré que la production industrielle française avait fléchi de 0.1% en décembre au lieu des 0.2% redoutés après avoir pourtant grimpé de 0.5% le mois précédent.
L'Eurogroupe verra aujourd'hui les ministres des finances de la région tenir une rencontre pour des négociations à Bruxelles, suite au sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.24%, le CAC 40 français de 0.64%, et le DAX 30 allemand laissait échapper 0.01%.
La confiance se trouvait affectée après que Mario Draghi, président de son autorité monétaire, ait déclaré jeudi que cette dernière surveillerait son taux de change de près afin de savoir si son renforcement influençait les prévisions d'inflation.
Elle souffrait également des incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
La finance s'est majoritairement reprise, les français BNP Paribas s'élevant de 0.53%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec respectivement 0.03 et 1.27%.
Mais la périphérie reste sur la défensive, les espagnols Banco Santander et BBVA perdant 0.33 et 0.14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit chutant carrément de 0.64 et 1%.
Le fabricant danois d'insuline Novo Nordisk a pour sa part plongé de 12.2% après que les autorités sanitaires américaines aient estimé ne pas pouvoir accorder leur feu vert à son traitement Trebisa contre le diabète sans davantage d'informations sur ses éventuels effets cardiaques, qui ne pourront du coup être fournis cette année.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, le grand distributeur Ahold, basé à Amsterdam, bondissant de 1.94ù après avoir accepté de vendre des parts d'ICA à Hakon Invest AB pour 3.1 milliards d'USD.
A Londres, le FTSE 100 a grignoté 0.28%, tiré vers le haut par des établissements bancaires de Grande-Bretagne gardant la forme.
HSBC Holdings a ainsi avancé de 0.11%, la Royal Bank of Scotland de 0.47% et Barclays de 0.9%, Lloyds Banking décevant cependant avec un faux pas de 0.23%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières restaient divisées, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0.01 et 0.1%, tandis que leur rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz empochaient 3.15 et 3.29%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste, raflant 0.2 et 0.91%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0.17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
Une étude officielle avait auparavant montré que la production industrielle française avait fléchi de 0.1% en décembre au lieu des 0.2% redoutés après avoir pourtant grimpé de 0.5% le mois précédent.
L'Eurogroupe verra aujourd'hui les ministres des finances de la région tenir une rencontre pour des négociations à Bruxelles, suite au sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière.