Investing.com - Les bourses européennes ont rattrapé leur retard ce mardi après-midi, les yeux rivés sur le sommet du G20, dont le coup d'envoi devrait être donné vendredi.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.53%, le CAC 40 français de 0.45%, et le DAX 30 allemand de 0.17%.
La confiance a en effet fait un pas en avant après que Thomas Jordan, président de la Banque Nationale Suisse, ait défendu la politique de lutte contre la déflation de la Banque du Japon, assurant que ses homologues n'étaient pas engagés dans une guerre des monnaies.
Ces propos s'inscrivaient dans le contexte de l'orée de la réunion du G20 de vendredi, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
La finance était moins unanimement négative, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement de 1.9 et 1.17%, tandis que les allemands Commerzbank et Deutsche Bank se repliaient de 0.6 et 0.27%.
La périphérie serrait par contre les rangs, les espagnols Banco Santander et BBVA empochant 0.68 et 1.63%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisant de même avec 0.87 et 0.92%.
L'Oréal, premier fabricant de cosmétiques au monde, poursuivait son offensive, raflant 3.98% grâce à un bond de 12% pour ses revenus de l'année 2012 et à l'annonce du rachat de 500 milions de ses actions au cours du premier semestre.
Le fournisseur de pneumatiques Michelin, basé en France, a pour sa part dégringolé de 3.33% suite à l'aveu de profits opérationnels limités à 2.42 milliards d'euros, et donc inférieurs aux estimations des analystes.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.35%, tiré vers le haut par des établissements bancaires en forme, après qu'il ait été montré en cours de matinée que l'inflation à la consommation britannique s'était maintenue en janvier à 2.7% pour le quatrième mois consécutif.
HSBC Holdings a du coup pris 0.63%, et la Royal Bank of Scotland 2.47%, tandis que Lloyds Banking s'envolait de 3.75% et Barclays de 4.79%.
Cette dernière avait affirmé dans la matinée sa volonté de supprimer 3 700 postes afin de réduire ses frais de fonctionnement de 1.7 milliards de GBP, dans le cadre de la restructuration mise en place part son directur général Antony Jenkins suite à ses premières pertes nettes annuelles en deux décennies.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont toutefois continué à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 1 et 0.03%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec des faux pas de 0.66% 0.9%.
Parmi les mouvements négatifs, on pouvait noter que le courtier interbancaire ICAP aggravait son cas, sombrant de 4.64% après que le Wall Street Journal ait rapporté qu'il faisait désormais l'objet d'une enquête des autorités américaines découlant d'un scandale de manipulation des taux d'intérêt d'ampleur mondiale, en plus d'avoir déjà avoué le mois dernier être sous la surveillance de leurs homologues britanniques.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt ternes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 tablant sur un passage à vide de 0.01%, et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.08%.
Il était d'autre part prévu que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, s'adresse aujourd'hui au parlement espagnol à Madrid, tandis que le Conseil aux Affaires Economiques et Financières se réunira en vue de pourparlers à Bruxelles, après quoi les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec le solde du budget fédéral.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.53%, le CAC 40 français de 0.45%, et le DAX 30 allemand de 0.17%.
La confiance a en effet fait un pas en avant après que Thomas Jordan, président de la Banque Nationale Suisse, ait défendu la politique de lutte contre la déflation de la Banque du Japon, assurant que ses homologues n'étaient pas engagés dans une guerre des monnaies.
Ces propos s'inscrivaient dans le contexte de l'orée de la réunion du G20 de vendredi, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
La finance était moins unanimement négative, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement de 1.9 et 1.17%, tandis que les allemands Commerzbank et Deutsche Bank se repliaient de 0.6 et 0.27%.
La périphérie serrait par contre les rangs, les espagnols Banco Santander et BBVA empochant 0.68 et 1.63%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisant de même avec 0.87 et 0.92%.
L'Oréal, premier fabricant de cosmétiques au monde, poursuivait son offensive, raflant 3.98% grâce à un bond de 12% pour ses revenus de l'année 2012 et à l'annonce du rachat de 500 milions de ses actions au cours du premier semestre.
Le fournisseur de pneumatiques Michelin, basé en France, a pour sa part dégringolé de 3.33% suite à l'aveu de profits opérationnels limités à 2.42 milliards d'euros, et donc inférieurs aux estimations des analystes.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.35%, tiré vers le haut par des établissements bancaires en forme, après qu'il ait été montré en cours de matinée que l'inflation à la consommation britannique s'était maintenue en janvier à 2.7% pour le quatrième mois consécutif.
HSBC Holdings a du coup pris 0.63%, et la Royal Bank of Scotland 2.47%, tandis que Lloyds Banking s'envolait de 3.75% et Barclays de 4.79%.
Cette dernière avait affirmé dans la matinée sa volonté de supprimer 3 700 postes afin de réduire ses frais de fonctionnement de 1.7 milliards de GBP, dans le cadre de la restructuration mise en place part son directur général Antony Jenkins suite à ses premières pertes nettes annuelles en deux décennies.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont toutefois continué à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 1 et 0.03%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec des faux pas de 0.66% 0.9%.
Parmi les mouvements négatifs, on pouvait noter que le courtier interbancaire ICAP aggravait son cas, sombrant de 4.64% après que le Wall Street Journal ait rapporté qu'il faisait désormais l'objet d'une enquête des autorités américaines découlant d'un scandale de manipulation des taux d'intérêt d'ampleur mondiale, en plus d'avoir déjà avoué le mois dernier être sous la surveillance de leurs homologues britanniques.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt ternes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 tablant sur un passage à vide de 0.01%, et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.08%.
Il était d'autre part prévu que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, s'adresse aujourd'hui au parlement espagnol à Madrid, tandis que le Conseil aux Affaires Economiques et Financières se réunira en vue de pourparlers à Bruxelles, après quoi les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec le solde du budget fédéral.