Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mercredi, après quee Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait tenu des propos apaisants, tandis que les investisseurs attendaient de connaître la position que la Réserve Fédérale devrait dévoiler dans l'après-midi.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.54%, le CAC 40 français de 0.37%, et le DAX 30 allemand de 0.66%.
M. Draghi a en effet déclaré ce matin devant le comité économique et monétaire du parlement européen à Bruxelles être certain que l'économie serait encouragée par ses prêts à faible taux consentis aux banques de la zone euro.
L'atmosphère s'était allégée hier avec le soulagement découlant du succès des adjudications de dettes des Pays-Bas, au lendemain de l'implosion du gouvernement du pays en raison de désaccords sur les coups budétaires à effectuer.
Il était toutefois à noter que les empruts espagnols avaient quand à eux vu leurs coûts quasiment doubler lors d'une manoeuvre similaire, tandis que ceux de l'Italie atteignaient leur plus haut niveau depuis janvier.
La finance s'en est trouvée ragaillardie, les banques italiennes Intesa Sanpaolo et Unicredit s'envolant respectivement de 4.01 et 3.79%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec 2.79 et 1.92%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 2.42 et 1.68%.
Crédit Suisse, second plus gros prêteur helvète, a pour sa part engrangé 1.1% après avoir déclaré 44 millions de CHF de profits puor le premier trimestre, alors que les experts craignaient 297.9 millions de pertes.
L'espagnol BBVA a rafé 2.28% suite à l'annonce d'un milliard d'euros de bénéfices, dépassant ainsi les prédictions moennes des analystes se montant à 936.7 millions d'euros.
Peugeot Citroënn second constructeur automobile d'Europe, a également suivi la tendance avec 3.49%, grâce à des rentrées supérieures aux espérances, atteignant 14.3 milliards d'euros sur la même période, mais rappelant toutefois que la situation demeurait "difficile" et qu'elle ne devrait pas s'améliorer avant le second semestre.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.12%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a avancé de 1.52%, la Royal Bank of Scotland de 1.55% et Lloyds Banking de 1.35%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'ont pas chômé avec 0.71 et 0.01% de mieux, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas à négliger, avec 0.35 et 1.17%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.55% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.55%.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait quand à lui dévoiler dans l'après-midi le volume des commandes des biens durables, ainsi que celui des réserves nationales de pétrole brut, tandis que la Réserve Fédérale annoncera son taux d'intérêt et publiera son communiqué sur la question.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.54%, le CAC 40 français de 0.37%, et le DAX 30 allemand de 0.66%.
M. Draghi a en effet déclaré ce matin devant le comité économique et monétaire du parlement européen à Bruxelles être certain que l'économie serait encouragée par ses prêts à faible taux consentis aux banques de la zone euro.
L'atmosphère s'était allégée hier avec le soulagement découlant du succès des adjudications de dettes des Pays-Bas, au lendemain de l'implosion du gouvernement du pays en raison de désaccords sur les coups budétaires à effectuer.
Il était toutefois à noter que les empruts espagnols avaient quand à eux vu leurs coûts quasiment doubler lors d'une manoeuvre similaire, tandis que ceux de l'Italie atteignaient leur plus haut niveau depuis janvier.
La finance s'en est trouvée ragaillardie, les banques italiennes Intesa Sanpaolo et Unicredit s'envolant respectivement de 4.01 et 3.79%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec 2.79 et 1.92%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 2.42 et 1.68%.
Crédit Suisse, second plus gros prêteur helvète, a pour sa part engrangé 1.1% après avoir déclaré 44 millions de CHF de profits puor le premier trimestre, alors que les experts craignaient 297.9 millions de pertes.
L'espagnol BBVA a rafé 2.28% suite à l'annonce d'un milliard d'euros de bénéfices, dépassant ainsi les prédictions moennes des analystes se montant à 936.7 millions d'euros.
Peugeot Citroënn second constructeur automobile d'Europe, a également suivi la tendance avec 3.49%, grâce à des rentrées supérieures aux espérances, atteignant 14.3 milliards d'euros sur la même période, mais rappelant toutefois que la situation demeurait "difficile" et qu'elle ne devrait pas s'améliorer avant le second semestre.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.12%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a avancé de 1.52%, la Royal Bank of Scotland de 1.55% et Lloyds Banking de 1.35%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'ont pas chômé avec 0.71 et 0.01% de mieux, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas à négliger, avec 0.35 et 1.17%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.55% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.55%.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait quand à lui dévoiler dans l'après-midi le volume des commandes des biens durables, ainsi que celui des réserves nationales de pétrole brut, tandis que la Réserve Fédérale annoncera son taux d'intérêt et publiera son communiqué sur la question.