Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne lors des échanges chaotiques de ce lundi, la persistance des ombres de la dette du bloc euro et des ratés de la croissance économiques mondiale alourdissant l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.18%, le CAC 40 français de 0.19%, et le DAX 30 allemand de 1.25%.
La nervosité restait de mise après que le département d'état au travail ait révélé que seuls 69 000 postes avaient été créés en mai aux Etats-Unis, une performance nettement inférieure aux 150 000 escomptés, tandis que le taux de chômage s'élevait depuis 8.1 vers 8.2%.
Ces résultats décevants ont conforté l'idée que la reprise américaine était en perte de vitesse, alimentant les rumeurs faisant état de l'imminence d'une troisième série d'assouplissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale.
L'évolution de la situation européenne était aussi au centre des attentions, après qu'il ait été montré que le chômage dans le bloc euro avait atteint un sommet historique à 11% en avril, tandis que flottait toujours l'épée de Damoclès d'un possible recours espagnol à une bouée de sauvetage internationale.
Deutsche Lufthansa, second transporteur aérien d'Europe, se trouvait parmi les lanternes rouges, laissant échapper 0.8% après que le quotidien Financial Times Deutschland ait révélé son intention de revendre sa branche alimentaire LSG Sky Chefs, pourtant en bonne santé, afin de se concentrer sur son coeur de métier.
Il était égaalement ajouté qu'il comptait aussi se défaire de sa filiale pourvoyeuse de services informatiques, malgré sa rentabilité.
Les constructeurs automobiles n'allaient pas non plus de l'avant, VolksWagen dégringolant de 2.8%, Daimler de 1.58% et BMW de 2.03%.
La finance se portait par contre nettement mieux, l'italien Unicredit en tête avec 2.88%, les français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2.24 et 1.6%, et la Deutsche Bank allemande avec 0.26%.
LEs places bournières britanniques demeuraient closes pour cause de fête nationale.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.55%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.43% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.38%.
La zone euro devrait dévoiler aujourd'hui un rapport sur la confiance des investisseurs, et les Etats-Unis faire de même avec le volume officiel des commandes aux usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.18%, le CAC 40 français de 0.19%, et le DAX 30 allemand de 1.25%.
La nervosité restait de mise après que le département d'état au travail ait révélé que seuls 69 000 postes avaient été créés en mai aux Etats-Unis, une performance nettement inférieure aux 150 000 escomptés, tandis que le taux de chômage s'élevait depuis 8.1 vers 8.2%.
Ces résultats décevants ont conforté l'idée que la reprise américaine était en perte de vitesse, alimentant les rumeurs faisant état de l'imminence d'une troisième série d'assouplissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale.
L'évolution de la situation européenne était aussi au centre des attentions, après qu'il ait été montré que le chômage dans le bloc euro avait atteint un sommet historique à 11% en avril, tandis que flottait toujours l'épée de Damoclès d'un possible recours espagnol à une bouée de sauvetage internationale.
Deutsche Lufthansa, second transporteur aérien d'Europe, se trouvait parmi les lanternes rouges, laissant échapper 0.8% après que le quotidien Financial Times Deutschland ait révélé son intention de revendre sa branche alimentaire LSG Sky Chefs, pourtant en bonne santé, afin de se concentrer sur son coeur de métier.
Il était égaalement ajouté qu'il comptait aussi se défaire de sa filiale pourvoyeuse de services informatiques, malgré sa rentabilité.
Les constructeurs automobiles n'allaient pas non plus de l'avant, VolksWagen dégringolant de 2.8%, Daimler de 1.58% et BMW de 2.03%.
La finance se portait par contre nettement mieux, l'italien Unicredit en tête avec 2.88%, les français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2.24 et 1.6%, et la Deutsche Bank allemande avec 0.26%.
LEs places bournières britanniques demeuraient closes pour cause de fête nationale.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.55%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.43% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.38%.
La zone euro devrait dévoiler aujourd'hui un rapport sur la confiance des investisseurs, et les Etats-Unis faire de même avec le volume officiel des commandes aux usines.