La Bourse de Paris est en repli de 0,4% à 5423Pts au début d'une séance marquée par de nombreux résultats trimestriels d'entreprises.
Au cas où le marché parisien devait parvenir à rallier les 5450 points, un ex-support de clôture testé à maintes reprises, le CAC validerait alors l'anticipation d'un comblement du 'gap' des 5500 points, préviennent les analystes techniques.
Les comptes trimestriels continuent de tomber, comme ceux de Publicis (PA:PUBP) ou d' Alstom (PA:ALSO), qui a fait part ce matin d'une hausse de son carnet de commande et d'une bonne visibilité sur le chiffre d'affaires à venir.
Au niveau européen, quelques groupes de premier plan de la trempe d'ABB, SAP (NYSE:SAP) ou Unilever (LON:ULVR) ont également levé le voile sur leurs performances trimestrielles ce matin.
Les investisseurs prendront tout de même le temps dans la journée de jeter un coup d'oeil à l'indice de la Fed de Philadelphie et aux indicateurs avancés du Conference Board, qui paraîtront en début d'après-midi.
Les deux statistiques permettront de se faire une idée sur l'état de forme actuel de l'économie américaine, après les perspectives souriantes fournies mardi par Jerome Powell, le patron de la Réserve fédérale.
Wall Street a stagné hier soir, les investisseurs éprouvant visiblement quelques difficultés à trouver des catalyseurs pour porter le Dow Jones en direction des 8000 points. La Bourse de New York a néanmoins réussi à préserver sa tendance ascendante.
Sur le marché des changes, l'euro fléchit un peu face à la monnaie américaine ce matin, autour de 1,1610 dollar. Sur le front du pétrole, le baril de brut léger américain est stable autour de 68,3 dollars.
Du coté des valeurs, Alstom a enregistré 2,6 milliards d'euros de commandes au cours du premier trimestre 2018/19, contre 1,9 milliard d'euros sur la même période l'année précédente.
Le chiffre d'affaire du Groupe s'est élevé à 2,0 milliards d'euros, en croissance de 14 % (17 % à périmètre et taux de change constants) comparé au 1,8 milliard d'euros du premier trimestre 2017/18.
Le revenu net de Publicis s'inscrit à 2 198 millions d'euros au 2è trimestre 2018 contre 2 397 millions d'euros en 2017, en baisse de 8,3 %. Le revenu net pour le 1er semestre 2018 est de 4 280 millions d'euros contre 4 664 millions d'euros en 2017, en recul de 8,2 %.
Le résultat opérationnel s'est élevé à 452 millions d'euros en 2018 contre 604 millions d'euros en 2017. Le résultat net part du Groupe est de 313 millions d'euros à fin juin 2018 contre 387 millions d'euros au 30 juin 2017.
UBS a relevé ce matin son conseil sur l'action Elior (PA:ELIOR) de 'neutre' à l'achat, l'objectif de cours à 12 mois étant ajusté de 14,4 à 14,8 euros.
Au lendemain de la publication par Biomérieux de ventes semestrielles 'globalement solides', l'analyste Invest Securities annonce ce jour réitérer son conseil Vente et son objectif de cours à 56 euros.
Copyright (c) 2018 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Au cas où le marché parisien devait parvenir à rallier les 5450 points, un ex-support de clôture testé à maintes reprises, le CAC validerait alors l'anticipation d'un comblement du 'gap' des 5500 points, préviennent les analystes techniques.
Les comptes trimestriels continuent de tomber, comme ceux de Publicis (PA:PUBP) ou d' Alstom (PA:ALSO), qui a fait part ce matin d'une hausse de son carnet de commande et d'une bonne visibilité sur le chiffre d'affaires à venir.
Au niveau européen, quelques groupes de premier plan de la trempe d'ABB, SAP (NYSE:SAP) ou Unilever (LON:ULVR) ont également levé le voile sur leurs performances trimestrielles ce matin.
Les investisseurs prendront tout de même le temps dans la journée de jeter un coup d'oeil à l'indice de la Fed de Philadelphie et aux indicateurs avancés du Conference Board, qui paraîtront en début d'après-midi.
Les deux statistiques permettront de se faire une idée sur l'état de forme actuel de l'économie américaine, après les perspectives souriantes fournies mardi par Jerome Powell, le patron de la Réserve fédérale.
Wall Street a stagné hier soir, les investisseurs éprouvant visiblement quelques difficultés à trouver des catalyseurs pour porter le Dow Jones en direction des 8000 points. La Bourse de New York a néanmoins réussi à préserver sa tendance ascendante.
Sur le marché des changes, l'euro fléchit un peu face à la monnaie américaine ce matin, autour de 1,1610 dollar. Sur le front du pétrole, le baril de brut léger américain est stable autour de 68,3 dollars.
Du coté des valeurs, Alstom a enregistré 2,6 milliards d'euros de commandes au cours du premier trimestre 2018/19, contre 1,9 milliard d'euros sur la même période l'année précédente.
Le chiffre d'affaire du Groupe s'est élevé à 2,0 milliards d'euros, en croissance de 14 % (17 % à périmètre et taux de change constants) comparé au 1,8 milliard d'euros du premier trimestre 2017/18.
Le revenu net de Publicis s'inscrit à 2 198 millions d'euros au 2è trimestre 2018 contre 2 397 millions d'euros en 2017, en baisse de 8,3 %. Le revenu net pour le 1er semestre 2018 est de 4 280 millions d'euros contre 4 664 millions d'euros en 2017, en recul de 8,2 %.
Le résultat opérationnel s'est élevé à 452 millions d'euros en 2018 contre 604 millions d'euros en 2017. Le résultat net part du Groupe est de 313 millions d'euros à fin juin 2018 contre 387 millions d'euros au 30 juin 2017.
UBS a relevé ce matin son conseil sur l'action Elior (PA:ELIOR) de 'neutre' à l'achat, l'objectif de cours à 12 mois étant ajusté de 14,4 à 14,8 euros.
Au lendemain de la publication par Biomérieux de ventes semestrielles 'globalement solides', l'analyste Invest Securities annonce ce jour réitérer son conseil Vente et son objectif de cours à 56 euros.
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