Les indices actions européens évoluent pour la plupart en terrain positif cet après-midi, à quelques heures de la fin de la réunion du FOMC, alors que la dégradation de la situation en Chine pourrait amener la Fed se montrer plus prudente quant à la remontée de ses taux.
Londres, Zurich et Paris 0,8%, Amsterdam 0,5%, Francfort 0,3%, Bruxelles 0,2% et Lisbonne 0,1%, Madrid cède 0,1% et Milan abandonne 0,9%. A New York, le Dow Jones avance de 0,3% et le Nasdaq reste à peu près stable.
'L'une des grandes questions des investisseurs est maintenant de savoir si la chute abyssale et la volatilité accrue des places chinoises vont se traduire par un effet négatif marqué sur la croissance mondiale via un effet de richesse', s'inquiète Chris Weston, stratège chez IG.
'Beaucoup s'attendent à ce que la Réserve fédérale intègre les derniers développements en Chine', note d'ailleurs Nour Al-Hammoury, stratège de marché en chef d'ADS Securities, en ce jour de réunion du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC).
'Le verdict du FOMC sera très attendu ce soir pour l'ensemble des classes d'actifs dans le monde, même si on ne s'attend pas vraiment à des changements de taux directeur cette fois-ci', ajoute ce professionnel basé à Abu Dhabi.
En attendant ce rendez-vous, les opérateurs ont pris connaissance des promesses de ventes de logements aux Etats-Unis qui ont diminué de 1,8% entre mai et juin, alors que le consensus tablait au contraire sur une hausse de l'ordre de 1,1%.
Sur le plan des valeurs, Barclays (LONDON:BARC) s'adjuge 3% et surperforme donc la tendance à Londres, après la présentation par l'établissement bancaire de bénéfices en progression sur son premier semestre, grâce à ses économies de coûts.
GSK bondit de 1,9% dans le sillage de ses semestriels : le groupe de santé s'est dit en bonne marche pour atteindre ses objectifs pour 2015 et s'est montré confiant dans la réalisation de ses perspectives pour 2016.
Altice (AMS:ATCE) grimpe de 4% et figure dans le haut du classement à Amsterdam, le groupe de télécommunications (maison-mère de Numericable-SFR en France) ayant fait état d'une progression de 13% de son Ebitda au deuxième trimestre.
A Francfort, Bayer tient le haut du pavé avec un gain de 4,6%, dans le sillage des comptes trimestriels supérieurs aux attentes, et ce, malgré un ajustement à la baisse des prévisions du groupe de chimie-pharmacie.
Volkswagen (XETRA:VOWG) (-2,4%) essuie par contre l'une des plus fortes baisses du DAX : si ses bénéfices se sont avérés légèrement au-dessus de la prévision moyenne des analystes, le constructeur automobile s'est voulu prudent s'agissant de ses prévisions annuelles.
Parmi les principales publications semestrielles à Paris, les opérateurs saluent celles de Peugeot (+5,6%) et de LVMH (+2,3%), mais guère celle de Schneider Electric (PARIS:SCHN) (+0,2%) et boudent celle de LafargeHolcim (-2,6%).
Par ailleurs, Italcementi flambe de 51% à Milan et HeidelbergCement s'affaisse de 6,4% à Francfort, alors que les deux groupes de matériaux de construction ont annoncé un projet de rapprochement par rachat du premier par le second.
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Londres, Zurich et Paris 0,8%, Amsterdam 0,5%, Francfort 0,3%, Bruxelles 0,2% et Lisbonne 0,1%, Madrid cède 0,1% et Milan abandonne 0,9%. A New York, le Dow Jones avance de 0,3% et le Nasdaq reste à peu près stable.
'L'une des grandes questions des investisseurs est maintenant de savoir si la chute abyssale et la volatilité accrue des places chinoises vont se traduire par un effet négatif marqué sur la croissance mondiale via un effet de richesse', s'inquiète Chris Weston, stratège chez IG.
'Beaucoup s'attendent à ce que la Réserve fédérale intègre les derniers développements en Chine', note d'ailleurs Nour Al-Hammoury, stratège de marché en chef d'ADS Securities, en ce jour de réunion du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC).
'Le verdict du FOMC sera très attendu ce soir pour l'ensemble des classes d'actifs dans le monde, même si on ne s'attend pas vraiment à des changements de taux directeur cette fois-ci', ajoute ce professionnel basé à Abu Dhabi.
En attendant ce rendez-vous, les opérateurs ont pris connaissance des promesses de ventes de logements aux Etats-Unis qui ont diminué de 1,8% entre mai et juin, alors que le consensus tablait au contraire sur une hausse de l'ordre de 1,1%.
Sur le plan des valeurs, Barclays (LONDON:BARC) s'adjuge 3% et surperforme donc la tendance à Londres, après la présentation par l'établissement bancaire de bénéfices en progression sur son premier semestre, grâce à ses économies de coûts.
GSK bondit de 1,9% dans le sillage de ses semestriels : le groupe de santé s'est dit en bonne marche pour atteindre ses objectifs pour 2015 et s'est montré confiant dans la réalisation de ses perspectives pour 2016.
Altice (AMS:ATCE) grimpe de 4% et figure dans le haut du classement à Amsterdam, le groupe de télécommunications (maison-mère de Numericable-SFR en France) ayant fait état d'une progression de 13% de son Ebitda au deuxième trimestre.
A Francfort, Bayer tient le haut du pavé avec un gain de 4,6%, dans le sillage des comptes trimestriels supérieurs aux attentes, et ce, malgré un ajustement à la baisse des prévisions du groupe de chimie-pharmacie.
Volkswagen (XETRA:VOWG) (-2,4%) essuie par contre l'une des plus fortes baisses du DAX : si ses bénéfices se sont avérés légèrement au-dessus de la prévision moyenne des analystes, le constructeur automobile s'est voulu prudent s'agissant de ses prévisions annuelles.
Parmi les principales publications semestrielles à Paris, les opérateurs saluent celles de Peugeot (+5,6%) et de LVMH (+2,3%), mais guère celle de Schneider Electric (PARIS:SCHN) (+0,2%) et boudent celle de LafargeHolcim (-2,6%).
Par ailleurs, Italcementi flambe de 51% à Milan et HeidelbergCement s'affaisse de 6,4% à Francfort, alors que les deux groupes de matériaux de construction ont annoncé un projet de rapprochement par rachat du premier par le second.
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