Recul unanime des places européennes ce mardi, avec en toile de fond des préoccupations quant à la solidité du secteur bancaire et un PMI de la zone euro peu encourageant.
Vers midi, le CAC 40, l'Ibex 35 (Madrid) et le Dax cèdent respectivement 1,3, 1,5 et 1,6%. L'AEX (Amsterdam) et le SMI (Zürich) abandonnent quant à eux 1,2%, tandis que le BEL 20 (Bruxelles) et le PSI (20) lâchent 1,1 et 1,3%. Le Footsie MIB (Milan) fait un peu mieux à Milan (-0,9%) et le Footsie 100 limite bien les dégâts à Londres (-0,2%).
Il reste que 'des inquiétudes sur la solidité du secteur bancaire italien refont surface et (que) la publication des stress tests de la BCE le 29 juillet prochain va maintenir l'ensemble du secteur bancaire européen sous pression', explique-t-on chez Barclays (LON:BARC) Bourse.
Concernant les indicateurs du Vieux Continent, la zone euro a enregistré au deuxième trimestre sa plus faible croissance depuis la fin de l'année 2014, à en croire la dernière enquête PMI de Markit. Le volume des ventes du commerce de détail a en revanche crû de 0,4% dans la zone euro et dans l'Union européenne (UE) entre avril et mai, a rapporté Eurostat en fin de matinée.
Outre-Atlantique, les opérateurs prendront connaissance dans l'après-midi du chiffre des commandes à l'industrie au titre du mois de mai.
Sur le marché des changes, l'euro est pratiquement stable face au dollar à 1,1147, tandis que le baril de Brent cède 2,2% à 49 dollars, ce qui tend à pénaliser les valeurs liées au secteur pétrolier à l'image de Vallourec (PA:VLLP) (-4,3%), dernier du SBF 120 à Paris.
A Francfort, les poids lourds de la cote sont à la peine à l'image de Siemens (-1,9%), d'E.ON (DE:EONGn) (-2,2%) et de Daimler (DE:DAIGn) (-2,6%), qui figurent tous parmi les plus mauvais élèves du Dax ce mardi.
A contrario, les volatiles valeurs bancaires sont globalement bien orientées à Milan sur fond de rachats à bon compte.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers midi, le CAC 40, l'Ibex 35 (Madrid) et le Dax cèdent respectivement 1,3, 1,5 et 1,6%. L'AEX (Amsterdam) et le SMI (Zürich) abandonnent quant à eux 1,2%, tandis que le BEL 20 (Bruxelles) et le PSI (20) lâchent 1,1 et 1,3%. Le Footsie MIB (Milan) fait un peu mieux à Milan (-0,9%) et le Footsie 100 limite bien les dégâts à Londres (-0,2%).
Il reste que 'des inquiétudes sur la solidité du secteur bancaire italien refont surface et (que) la publication des stress tests de la BCE le 29 juillet prochain va maintenir l'ensemble du secteur bancaire européen sous pression', explique-t-on chez Barclays (LON:BARC) Bourse.
Concernant les indicateurs du Vieux Continent, la zone euro a enregistré au deuxième trimestre sa plus faible croissance depuis la fin de l'année 2014, à en croire la dernière enquête PMI de Markit. Le volume des ventes du commerce de détail a en revanche crû de 0,4% dans la zone euro et dans l'Union européenne (UE) entre avril et mai, a rapporté Eurostat en fin de matinée.
Outre-Atlantique, les opérateurs prendront connaissance dans l'après-midi du chiffre des commandes à l'industrie au titre du mois de mai.
Sur le marché des changes, l'euro est pratiquement stable face au dollar à 1,1147, tandis que le baril de Brent cède 2,2% à 49 dollars, ce qui tend à pénaliser les valeurs liées au secteur pétrolier à l'image de Vallourec (PA:VLLP) (-4,3%), dernier du SBF 120 à Paris.
A Francfort, les poids lourds de la cote sont à la peine à l'image de Siemens (-1,9%), d'E.ON (DE:EONGn) (-2,2%) et de Daimler (DE:DAIGn) (-2,6%), qui figurent tous parmi les plus mauvais élèves du Dax ce mardi.
A contrario, les volatiles valeurs bancaires sont globalement bien orientées à Milan sur fond de rachats à bon compte.
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