De nouveaux records de clôture sont tombés à Wall Street à l'issue d'une séance caractérisée par la mise en oeuvre d'une 'camisole algorithmique' implacable, avec hausse de rigueur au cours du 1er quart d'heure (1ère séance du terme d'août) puis maintien du statu quo durant 6 bonnes heures avec des indices US emprisonnés dans un corridor incroyablement étroit de 0,15% d'amplitude.
Le Dow Jones (+0,1%) parvient ainsi à aligner une 7ème séance de hausse consécutive ( IBM (NYSE:IBM) gagnait +3% en 'after hour' après ses résultats), le 'S&P' (+0,25% à 2.167) aligne son 5ème record de clôture en 6 séances.
Oublié le 'Brexit', oubliée la chute du Yuan vers 6,70 (nouveau plancher face au $), oubliées les nouvelles préoccupantes en provenance de Turquie en train de basculer dans un régime purement autocratique et dictatorial, déjà en recherche de nouveaux ennemis extérieurs (voir les déclarations de Ministres turcs incriminant les Etats Unis, coupables de soutenir certaines milices kurdes, sans oublier le 'chantage aux réfugiés' avec Bruxelles et Francfort qui se poursuit).
En fait, rien ne peut affecter la tendance tant que les banques centrales sont à la manoeuvre et 'font les prix'.
Et les 'permabulls' continuent d'invoquer l'équation parfaite que constitue une croissance économique US et mondiale médiocre (impliquant des taux toujours plus bas) et une inflation 'vertueuse' (c'est à dire quasi inexistante) qui va retarder encore et encore la normalisation de la politique monétaire par la FED.
Les mauvais résultats des entreprises américaines sont systématiquement occultés par la formule magique 'meilleur que prévu'.
Cela ne fonctionne pas avec Netflix qui dévisse de -15,5% après la publication de profits effectivement 'meilleurs que prévus' (9 cent contre 2 cent anticipé) car le chiffre d'affaire est juste conforme (2,1Mds$) et le rythme de recrutement de nouveaux abonnés s'avère inférieur aux attentes.
Le titre est jugé trop chèrement valorisé alors que les offres de contenus (séries, cinéma, sport, etc.) se multiplient.
Le Nasdaq n'aurait certainement pas pu afficher +0,54% en clôture avec une telle chute de Netflix.
L'indice a cependant été soutenu par Wynn resort +4,8%, Seagate +4,3%, Tesla +2,7%, Facebook (NASDAQ:FB) +2,2%, Alphabet +2,4%.
Quelques replis avec les valeurs du secteur énergie et les parapétrolières suite à la rechute de -1,5% du WTI vers 45,25$.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Le Dow Jones (+0,1%) parvient ainsi à aligner une 7ème séance de hausse consécutive ( IBM (NYSE:IBM) gagnait +3% en 'after hour' après ses résultats), le 'S&P' (+0,25% à 2.167) aligne son 5ème record de clôture en 6 séances.
Oublié le 'Brexit', oubliée la chute du Yuan vers 6,70 (nouveau plancher face au $), oubliées les nouvelles préoccupantes en provenance de Turquie en train de basculer dans un régime purement autocratique et dictatorial, déjà en recherche de nouveaux ennemis extérieurs (voir les déclarations de Ministres turcs incriminant les Etats Unis, coupables de soutenir certaines milices kurdes, sans oublier le 'chantage aux réfugiés' avec Bruxelles et Francfort qui se poursuit).
En fait, rien ne peut affecter la tendance tant que les banques centrales sont à la manoeuvre et 'font les prix'.
Et les 'permabulls' continuent d'invoquer l'équation parfaite que constitue une croissance économique US et mondiale médiocre (impliquant des taux toujours plus bas) et une inflation 'vertueuse' (c'est à dire quasi inexistante) qui va retarder encore et encore la normalisation de la politique monétaire par la FED.
Les mauvais résultats des entreprises américaines sont systématiquement occultés par la formule magique 'meilleur que prévu'.
Cela ne fonctionne pas avec Netflix qui dévisse de -15,5% après la publication de profits effectivement 'meilleurs que prévus' (9 cent contre 2 cent anticipé) car le chiffre d'affaire est juste conforme (2,1Mds$) et le rythme de recrutement de nouveaux abonnés s'avère inférieur aux attentes.
Le titre est jugé trop chèrement valorisé alors que les offres de contenus (séries, cinéma, sport, etc.) se multiplient.
Le Nasdaq n'aurait certainement pas pu afficher +0,54% en clôture avec une telle chute de Netflix.
L'indice a cependant été soutenu par Wynn resort +4,8%, Seagate +4,3%, Tesla +2,7%, Facebook (NASDAQ:FB) +2,2%, Alphabet +2,4%.
Quelques replis avec les valeurs du secteur énergie et les parapétrolières suite à la rechute de -1,5% du WTI vers 45,25$.
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