Pas de rebond sur les marchés actions européens, qui semblent encore traumatisés par le 'Brexit'...
Vers midi, le Footsie MIB (Milan), qui prend près de 0,5%, fait figure d'exception. Le Footsie 100 se replie en effet de 1,2%, tandis que le Dax et le CAC 40 lâchent respectivement 1,3 et 1,4%. L'Ibex 35 (Madrid), le SMI (Zürich) et le PSI 20 (Lisbonne) limitent davantage les dégâts (-0,3, -0,7 et -0,8%), alors qu'à Amsterdam l'AEX abandonne 1,6% et qu'à Bruxelles le BEL 20 recule de 2,2%.
'La volatilité restera élevée sur les marchés tant que les incertitudes ne seront pas levées', préviennent cependant les équipes de XTB France, qui précisent que, dans l'immédiat, la Banque d'Angleterre (BoE) envisage d'injecter 326 milliards d'euros dans l'économie britannique.
Pas d'indicateur aujourd'hui, mais une salve dans les jours à venir avec notamment la dernière estimation du PIB américain au titre du premier trimestre, l'inflation dans la zone euro en juin (première lecture) ou encore l'ISM manufacturier aux Etats-Unis pour ce même mois.
En attendant, le baril de Brent résiste bien (-0,2% à 48,3 dollars), tandis que l'euro continue de céder du terrain face au dollar (-0,8% environ à 1,1034).
Concernant les valeurs, l'action du spécialiste des paiements électroniques Wirecard (+3,6%) se démarque à Francfort alors que, selon des informations de presse, le chinois Alipay, filiale d'Alibaba, négocierait son entrée au capital.
Les bancaires restent quant à elles très malmenées après 'l'uppercut' de vendredi, à l'image de Société Générale (PA:SOGN) (-6,9%), lanterne rouge du CAC 40, et de RBS, qui lâche 14,9% à Londres.
Toujours dans la capitale britannique, le 'Brexit' pèse encore très lourd sur easyJet (LON:EZJ), dont l'action fond de 19,9%, et à un degré moindre sur IAG (-10,9%). Des interrogations persistent concernant l'avenir de la réglementation européenne sur le transport aérien après la fracassante sortie britannique.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers midi, le Footsie MIB (Milan), qui prend près de 0,5%, fait figure d'exception. Le Footsie 100 se replie en effet de 1,2%, tandis que le Dax et le CAC 40 lâchent respectivement 1,3 et 1,4%. L'Ibex 35 (Madrid), le SMI (Zürich) et le PSI 20 (Lisbonne) limitent davantage les dégâts (-0,3, -0,7 et -0,8%), alors qu'à Amsterdam l'AEX abandonne 1,6% et qu'à Bruxelles le BEL 20 recule de 2,2%.
'La volatilité restera élevée sur les marchés tant que les incertitudes ne seront pas levées', préviennent cependant les équipes de XTB France, qui précisent que, dans l'immédiat, la Banque d'Angleterre (BoE) envisage d'injecter 326 milliards d'euros dans l'économie britannique.
Pas d'indicateur aujourd'hui, mais une salve dans les jours à venir avec notamment la dernière estimation du PIB américain au titre du premier trimestre, l'inflation dans la zone euro en juin (première lecture) ou encore l'ISM manufacturier aux Etats-Unis pour ce même mois.
En attendant, le baril de Brent résiste bien (-0,2% à 48,3 dollars), tandis que l'euro continue de céder du terrain face au dollar (-0,8% environ à 1,1034).
Concernant les valeurs, l'action du spécialiste des paiements électroniques Wirecard (+3,6%) se démarque à Francfort alors que, selon des informations de presse, le chinois Alipay, filiale d'Alibaba, négocierait son entrée au capital.
Les bancaires restent quant à elles très malmenées après 'l'uppercut' de vendredi, à l'image de Société Générale (PA:SOGN) (-6,9%), lanterne rouge du CAC 40, et de RBS, qui lâche 14,9% à Londres.
Toujours dans la capitale britannique, le 'Brexit' pèse encore très lourd sur easyJet (LON:EZJ), dont l'action fond de 19,9%, et à un degré moindre sur IAG (-10,9%). Des interrogations persistent concernant l'avenir de la réglementation européenne sur le transport aérien après la fracassante sortie britannique.
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