Wall Street a consolidé durant toute la matinée, entre -0,3 et -0,6% selon les indices avant de remonter doucement durant pratiquement tout l'après-midi, jusqu'à revenir pratiquement à l'équilibre... mais une petite vague de dégagements s'est matérialisée au cours du dernier quart, ramenant les indices US plus nettement dans le rouge.
Le Dow Jones cède -0,25% à 20.954, le S&P 500 -0,33% à 2.375, le Nasdaq -0,4% et le Russel-2000 -0,7%.
Les accusation lancées par Donald Trump concernant des écoutes de son téléphone qui auraient été diligentées par l'ex-président américain (ce qui semble exclu compte tenu des procédures en vigueur en matière d'écoutes depuis le Watergate) brouillent l'image plus policée qu'il avait réussi à imposer lors de son allocution devant le Congrès.
Donald Trump cultive son profil d'homme de 'rupture' avec l'ère Obama, quitte à apparaître clivant et sans esprit de compromis: il signé une nouvelle version de son décret visant à limiter les flux migratoire en provenance de pays musulmans du Proche Orient, d'Asie mineure ou d'Afrique, les détenteurs de cartes vertes ne seront en revanche plus bloqués à la frontière du seul fait de leurs origines.
Cet empressement à fermer les frontières contraste avec la lenteur dont il fait preuve en matière de mesures économiques et fiscales.
En ce qui concerne les indicateurs économiques, un seul était inscrit au tableau mais tout s'est déroulé comme s'il n'avait pas été publié: les commandes industrielles ont augmenté de +1,2% en janvier, plus que prévu grâce au secteur des 'transports' (commandes aéronautiques).
Parmi les valeurs les plus travaillées, Snap (NYSE:SNAP) s'est distingué une fois de plus, en gagnant initialement près de 5% à 28,25$ mais en perdant -12% en final à 23,8$ (il finit sur son plus bas niveau de clôture depuis son introduction).
Sa capitalisation implicite retombe de 31 à 27,5Mds$.
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Le Dow Jones cède -0,25% à 20.954, le S&P 500 -0,33% à 2.375, le Nasdaq -0,4% et le Russel-2000 -0,7%.
Les accusation lancées par Donald Trump concernant des écoutes de son téléphone qui auraient été diligentées par l'ex-président américain (ce qui semble exclu compte tenu des procédures en vigueur en matière d'écoutes depuis le Watergate) brouillent l'image plus policée qu'il avait réussi à imposer lors de son allocution devant le Congrès.
Donald Trump cultive son profil d'homme de 'rupture' avec l'ère Obama, quitte à apparaître clivant et sans esprit de compromis: il signé une nouvelle version de son décret visant à limiter les flux migratoire en provenance de pays musulmans du Proche Orient, d'Asie mineure ou d'Afrique, les détenteurs de cartes vertes ne seront en revanche plus bloqués à la frontière du seul fait de leurs origines.
Cet empressement à fermer les frontières contraste avec la lenteur dont il fait preuve en matière de mesures économiques et fiscales.
En ce qui concerne les indicateurs économiques, un seul était inscrit au tableau mais tout s'est déroulé comme s'il n'avait pas été publié: les commandes industrielles ont augmenté de +1,2% en janvier, plus que prévu grâce au secteur des 'transports' (commandes aéronautiques).
Parmi les valeurs les plus travaillées, Snap (NYSE:SNAP) s'est distingué une fois de plus, en gagnant initialement près de 5% à 28,25$ mais en perdant -12% en final à 23,8$ (il finit sur son plus bas niveau de clôture depuis son introduction).
Sa capitalisation implicite retombe de 31 à 27,5Mds$.
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