Les Bourses européennes s'inscrivent en hausse sensible ce mercredi (+0,8% à Francfort, +1,2% à Londres, +1,4% à Paris), manifestant ainsi une bonne résistance à un signal de ralentissement de la croissance du secteur privé sur le vieux continent.
Selon son estimation flash, IHS Markit indique que son indice PMI composite pour la zone euro se replie de 54,1 en septembre à 52,7 en octobre, mettant en évidence la plus faible croissance de la zone depuis plus de deux ans.
'L'indice est pour l'heure synonyme d'une hausse du PIB de 0,3% au quatrième trimestre, les indicateurs prospectifs venant renforcer ces prévisions de ralentissement de la croissance au cours des prochains mois', prévient-on chez IHS Markit.
'Nous nous attendons à un rebond du PMI sous peu, mais au vu de l'affrontement budgétaire Rome-Bruxelles et de marchés mondiaux de plus en plus troublés, la BCE devrait se montrer prudente lors de sa réunion demain', estime Capital Economics.
Sur le front des valeurs, Deutsche Bank (DE:DBKGn) lâche 3,7% à Francfort, bien que le groupe se dise en bonne voie pour être rentable en 2018 pour la première fois depuis 2014, à l'occasion de la publication de ses résultats trimestriels.
Barclays (LON:BARC) s'adjuge par contre 3,4% à Londres malgré une baisse de 10% de son profit avant impôt trimestriel, à 3,12 milliards de livres, qui s'accompagne d'un recul significatif des charges pour dépréciations de crédit.
A Amsterdam, Heineken cède 0,3%, le brasseur revendiquant pourtant une hausse de ses ventes trimestrielles grâce à de bonnes conditions météo en Europe et à une forte croissance au Brésil, au Mexique, au Vietnam et en Afrique du Sud.
A la Bourse de Paris, les opérateurs acclament les publications trimestrielles de Bic (+7,1%), Tarkett (PA:TKTT) (+7,6%) et Kering (PA:PRTP) (+9%), mais se montrent bien moins enthousiasmés par celle de STMicroelectronics (PA:STM) (-7,2%).
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Selon son estimation flash, IHS Markit indique que son indice PMI composite pour la zone euro se replie de 54,1 en septembre à 52,7 en octobre, mettant en évidence la plus faible croissance de la zone depuis plus de deux ans.
'L'indice est pour l'heure synonyme d'une hausse du PIB de 0,3% au quatrième trimestre, les indicateurs prospectifs venant renforcer ces prévisions de ralentissement de la croissance au cours des prochains mois', prévient-on chez IHS Markit.
'Nous nous attendons à un rebond du PMI sous peu, mais au vu de l'affrontement budgétaire Rome-Bruxelles et de marchés mondiaux de plus en plus troublés, la BCE devrait se montrer prudente lors de sa réunion demain', estime Capital Economics.
Sur le front des valeurs, Deutsche Bank (DE:DBKGn) lâche 3,7% à Francfort, bien que le groupe se dise en bonne voie pour être rentable en 2018 pour la première fois depuis 2014, à l'occasion de la publication de ses résultats trimestriels.
Barclays (LON:BARC) s'adjuge par contre 3,4% à Londres malgré une baisse de 10% de son profit avant impôt trimestriel, à 3,12 milliards de livres, qui s'accompagne d'un recul significatif des charges pour dépréciations de crédit.
A Amsterdam, Heineken cède 0,3%, le brasseur revendiquant pourtant une hausse de ses ventes trimestrielles grâce à de bonnes conditions météo en Europe et à une forte croissance au Brésil, au Mexique, au Vietnam et en Afrique du Sud.
A la Bourse de Paris, les opérateurs acclament les publications trimestrielles de Bic (+7,1%), Tarkett (PA:TKTT) (+7,6%) et Kering (PA:PRTP) (+9%), mais se montrent bien moins enthousiasmés par celle de STMicroelectronics (PA:STM) (-7,2%).
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