La Bourse de Paris devrait ouvrir en légère hausse jeudi matin alors que les pays de l'Opep sont finalement parvenus à un accord sur une baisse de la production de pétrole hier à Alger.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison octobre - progresse de 53 points à 4481,5 points, prémisse d'une ouverture dans le vert.
Les valeurs pétrolières - nombreuses sur la place parisienne - devraient profiter des gains des cours du baril de brut américain qui affiche actuellement 0,2% de hausse à près de 47,2 dollars.
'On peut imaginer que la dynamique va encore accélérer à la hausse, avec une moyenne mobile à cinq jours finissant par s'éloigner de la moyenne à 20 jours', pronostique Chris Weston, le stratège d'IG.
'Nous devrions d'abord assister à une remontée vers 48,1 dollars (le plus haut du 8 septembre) avant d'aller peut-être chercher à court terme les 49,3 dollars du 19 août dernier', ajoute l'analyste.
Le stratégiste rappelle toutefois que le seuil de rentabilité des spécialistes américains du schiste se situe au-dessus de 50 dollars le baril, un niveau susceptible d'entraîner l'ouverture de nouveaux forages et donc de faire figure de résistance.
Hier, Wall Street avait fini par sortir de sa torpeur en fin de séance, surprise par l'abaissement symbolique de la production pétrolière, une première du genre depuis 2008.
La journée s'annonce chargée Outre-Atlantique ce jeudi avec la publication coup sur coup de la troisième estimation de la croissance de 2ème trimestre, des inscriptions aux allocations chômage et des promesses de ventes de logements.
A Paris, le fait que le CAC se soit hissé hier jusque vers 4460 points permet d'espérer la fermeture du 'gap' ouvert à la baisse lundi matin sous 4477 points d'ici vendredi.
Le marché parisien pourrait alors rejoindre les 4500 points car les marchés ont pour coutume -depuis fin mars- de tirer systématiquement les indices boursiers au cours des trois ou quatre séances précédant la fin de mois calendaire.
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Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison octobre - progresse de 53 points à 4481,5 points, prémisse d'une ouverture dans le vert.
Les valeurs pétrolières - nombreuses sur la place parisienne - devraient profiter des gains des cours du baril de brut américain qui affiche actuellement 0,2% de hausse à près de 47,2 dollars.
'On peut imaginer que la dynamique va encore accélérer à la hausse, avec une moyenne mobile à cinq jours finissant par s'éloigner de la moyenne à 20 jours', pronostique Chris Weston, le stratège d'IG.
'Nous devrions d'abord assister à une remontée vers 48,1 dollars (le plus haut du 8 septembre) avant d'aller peut-être chercher à court terme les 49,3 dollars du 19 août dernier', ajoute l'analyste.
Le stratégiste rappelle toutefois que le seuil de rentabilité des spécialistes américains du schiste se situe au-dessus de 50 dollars le baril, un niveau susceptible d'entraîner l'ouverture de nouveaux forages et donc de faire figure de résistance.
Hier, Wall Street avait fini par sortir de sa torpeur en fin de séance, surprise par l'abaissement symbolique de la production pétrolière, une première du genre depuis 2008.
La journée s'annonce chargée Outre-Atlantique ce jeudi avec la publication coup sur coup de la troisième estimation de la croissance de 2ème trimestre, des inscriptions aux allocations chômage et des promesses de ventes de logements.
A Paris, le fait que le CAC se soit hissé hier jusque vers 4460 points permet d'espérer la fermeture du 'gap' ouvert à la baisse lundi matin sous 4477 points d'ici vendredi.
Le marché parisien pourrait alors rejoindre les 4500 points car les marchés ont pour coutume -depuis fin mars- de tirer systématiquement les indices boursiers au cours des trois ou quatre séances précédant la fin de mois calendaire.
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