Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture à la hausse pour ce mercredi, effaçant les pertes du début de journée, le moral des investisseurs se trouvant soutenu par un optimisme prudent découlant de l'impression de progrès donnée par les dirigeants européens dans la résolution de la crise de la dette régionale.
Avant celle-ci, les options sur le Dow Jones prévoyaient donc une hausse de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.65%.
Elles avaient auparavant reculé en raison de la frilosité ayant gagné les observateurs après que l'agence de notation Moody's ait en effet dégradé son appréciation des banques françaises Société Générale et Crédit Agricole, puis ajouté approfondir son audit de BNP Paribas, invoquant leur surexposition aux dettes grecques.
Les indices ont toutefois retrouvé le sourire dans la lancée de leurs homologues européens après que Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, ait déclaré que celle-ci présenterait bientôt les grandes options d'un plan de mise en place de bons européens.
Les acteurs des marchés attendaient également les résultats de la téléconférence de l'après-midi entre George Papandreou, premier ministre hellène, Angela Merkel, la chancelière allemande et son homologue français.
La finance se trouvait en large forme sur les échanges de pré-ouverture, la Bank of America a ainsi bondi de 1.45%, Citigroup de 1.7% et les actions cotées aux Etats-Unis de la Banque Nationale Grecque de 4.9%.
L'assembleur d'ordinateurs Dell a par ailleurs engrangé 3.4% après que son conseil d'administration ait approuvé le programme de rachat d'actions à hauteur de 5 milliards d'USD, venant s'ajouter aux 2.16 milliards déjà récupérés lors du plan précédent.
Le revendeur de matériel de bureau Staples a rebondi de 1.2% suite à l'annonce d'une décision semblable se montant à 1.5 milliards d'USD.
Tout n'était cependant pas rose, le spécialiste des produits de luxe Nordstrom a pour sa part glissé de 1.1% après que Goldman Sachs en ait ramené l'appréciation de l'achat vers le neutre et rabaissé les perspectives de revenus de la compagnie, invoquant le fléchissement de la demande des consommateurs.
Les mastodontes de la grande distribution comme Wal-Mart et Target seront à surveiller, après que des chiffres officiels aient montré que les ventes au détail américaines avaient été stables en août, décevant les experts qui attendaient 0.2% de progression.
Une autre étude avait indiqué que l'inflation des prix à la production du pays était elle aussi restée inchangée en août, comme prévu.
Les bourses européennes étaient quand à elles en nette hausse, l'EURO STOXX 50 s'élevant de 1.9%, le CAC 40 français de 1.65%, le DAX allemand de 2.5% et le FTSE 100 britannique de 1.5%.
En fin de séance asiatique, le Nikkei 225 japonais avait quand à lui dégringolé de 1.15% en raison de la frilosité dûe au problème du surendettement européen.
Les Etats-Unis devaient quand à eux faire connaître en cours de journée des informations sur les stocks des entreprises et les réserves pétrolières émanant des autorités.
Avant celle-ci, les options sur le Dow Jones prévoyaient donc une hausse de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.65%.
Elles avaient auparavant reculé en raison de la frilosité ayant gagné les observateurs après que l'agence de notation Moody's ait en effet dégradé son appréciation des banques françaises Société Générale et Crédit Agricole, puis ajouté approfondir son audit de BNP Paribas, invoquant leur surexposition aux dettes grecques.
Les indices ont toutefois retrouvé le sourire dans la lancée de leurs homologues européens après que Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, ait déclaré que celle-ci présenterait bientôt les grandes options d'un plan de mise en place de bons européens.
Les acteurs des marchés attendaient également les résultats de la téléconférence de l'après-midi entre George Papandreou, premier ministre hellène, Angela Merkel, la chancelière allemande et son homologue français.
La finance se trouvait en large forme sur les échanges de pré-ouverture, la Bank of America a ainsi bondi de 1.45%, Citigroup de 1.7% et les actions cotées aux Etats-Unis de la Banque Nationale Grecque de 4.9%.
L'assembleur d'ordinateurs Dell a par ailleurs engrangé 3.4% après que son conseil d'administration ait approuvé le programme de rachat d'actions à hauteur de 5 milliards d'USD, venant s'ajouter aux 2.16 milliards déjà récupérés lors du plan précédent.
Le revendeur de matériel de bureau Staples a rebondi de 1.2% suite à l'annonce d'une décision semblable se montant à 1.5 milliards d'USD.
Tout n'était cependant pas rose, le spécialiste des produits de luxe Nordstrom a pour sa part glissé de 1.1% après que Goldman Sachs en ait ramené l'appréciation de l'achat vers le neutre et rabaissé les perspectives de revenus de la compagnie, invoquant le fléchissement de la demande des consommateurs.
Les mastodontes de la grande distribution comme Wal-Mart et Target seront à surveiller, après que des chiffres officiels aient montré que les ventes au détail américaines avaient été stables en août, décevant les experts qui attendaient 0.2% de progression.
Une autre étude avait indiqué que l'inflation des prix à la production du pays était elle aussi restée inchangée en août, comme prévu.
Les bourses européennes étaient quand à elles en nette hausse, l'EURO STOXX 50 s'élevant de 1.9%, le CAC 40 français de 1.65%, le DAX allemand de 2.5% et le FTSE 100 britannique de 1.5%.
En fin de séance asiatique, le Nikkei 225 japonais avait quand à lui dégringolé de 1.15% en raison de la frilosité dûe au problème du surendettement européen.
Les Etats-Unis devaient quand à eux faire connaître en cours de journée des informations sur les stocks des entreprises et les réserves pétrolières émanant des autorités.