En réponse aux informations de presse de la veille, le géant minier australo-britannique Rio Tinto indique qu'il ne discute plus d'un rapprochement avec son homologue Glencore.
Rio Tinto confirme que Glencore, groupe helvético-britannique basé à Baar, dans le canton suisse de Zoug, a pris contact avec lui, en juillet, dans une telle perspective.
Mais après consultation de ses conseils financiers et juridiques, le conseil d'administration de Rio Tinto a conclu à l'unanimité qu'un tel rapprochement n'était pas dans l'intérêt de ses actionnaires, indique un communiqué.
Rio Tinto a notifié cette décision à Glencore au début du mois d'août, et les deux géants des matières premières n'ont plus été en contact depuis lors à ce sujet.
'Le conseil estime que la bonne exécution de sa stratégie permettra de Rio Tinto d'accroître significativement le flux de trésorerie disponible à court terme, et ainsi d'augmenter les retours à ses actionnaires. Les porteurs d'actions Rio Tinto ont tout à gagner à la considérable création de valeur qui s'ensuivra', a déclaré le président de l'instance dirigeante de Rio Tinto, Jan du Plessis.
Hier, l'agence Bloomberg indiquait que Glencore avait approché le premier actionnaire de Rio Tinto, Aluminum Corporation of China (également connu sous le nom de Chinalco), groupe lié à l'Etat chinois qui détient 9,8% environ de Rio Tinto.
En date d'hier soir, Glencore capitalisait près de 45 milliards de livres sterlings à la Bourse de Londres, et Rio Tinto 56,6 milliards. Des chiffres à comparer avec la valorisation d'un autre géant australo-britannique, BHP Billiton (93,6 milliards de sterlings).
Il est probable qu'Ivan Glasenberg, patron opérationnel de Glencore, souhaitait tirer parti de la faiblesse actuelles des cours du minerai de fer, ressource principale extraite par Rio Tinto.
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Rio Tinto confirme que Glencore, groupe helvético-britannique basé à Baar, dans le canton suisse de Zoug, a pris contact avec lui, en juillet, dans une telle perspective.
Mais après consultation de ses conseils financiers et juridiques, le conseil d'administration de Rio Tinto a conclu à l'unanimité qu'un tel rapprochement n'était pas dans l'intérêt de ses actionnaires, indique un communiqué.
Rio Tinto a notifié cette décision à Glencore au début du mois d'août, et les deux géants des matières premières n'ont plus été en contact depuis lors à ce sujet.
'Le conseil estime que la bonne exécution de sa stratégie permettra de Rio Tinto d'accroître significativement le flux de trésorerie disponible à court terme, et ainsi d'augmenter les retours à ses actionnaires. Les porteurs d'actions Rio Tinto ont tout à gagner à la considérable création de valeur qui s'ensuivra', a déclaré le président de l'instance dirigeante de Rio Tinto, Jan du Plessis.
Hier, l'agence Bloomberg indiquait que Glencore avait approché le premier actionnaire de Rio Tinto, Aluminum Corporation of China (également connu sous le nom de Chinalco), groupe lié à l'Etat chinois qui détient 9,8% environ de Rio Tinto.
En date d'hier soir, Glencore capitalisait près de 45 milliards de livres sterlings à la Bourse de Londres, et Rio Tinto 56,6 milliards. Des chiffres à comparer avec la valorisation d'un autre géant australo-britannique, BHP Billiton (93,6 milliards de sterlings).
Il est probable qu'Ivan Glasenberg, patron opérationnel de Glencore, souhaitait tirer parti de la faiblesse actuelles des cours du minerai de fer, ressource principale extraite par Rio Tinto.
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