ThyssenKrupp s'adjuge 1,8% à 21,3 euros et figure dans le haut de classement à Francfort, salué pour un léger relèvement d'objectifs annuels du conglomérat industriel, à l'issue de son troisième trimestre comptable.
La direction prévoit désormais un doublement, et non plus un quasi-doublement, de son résultat d'exploitation ajusté sur l'exercice, à comparer à 586 millions en 2012-2013. Pour la première fois en trois ans, il vise un résultat net au point mort ou légèrement positif.
Sur le trimestre écoulé, ThyssenKrupp a engrangé un bénéfice net de 39 millions d'euros, à comparer à une perte de 395 millions un an plus tôt, tandis que son résultat d'exploitation ajusté a triplé à 398 millions, contre un consensus vers 360 millions.
'Les principaux moteurs de cette bonne performance ont résidé dans les gains d'efficacité, la croissance rentable des activités de biens d'investissement et une amélioration significative dans la division sidérurgie en Amériques', explique-t-il.
Le chiffre d'affaires a augmenté d'environ 8% à 10,7 milliards d'euros (+5% en données comparables), soutenu par toutes les divisions (sauf la sidérurgie en Europe à cause de cessions), et les prises de commandes se sont accrues de 8% à 10,2 milliards.
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La direction prévoit désormais un doublement, et non plus un quasi-doublement, de son résultat d'exploitation ajusté sur l'exercice, à comparer à 586 millions en 2012-2013. Pour la première fois en trois ans, il vise un résultat net au point mort ou légèrement positif.
Sur le trimestre écoulé, ThyssenKrupp a engrangé un bénéfice net de 39 millions d'euros, à comparer à une perte de 395 millions un an plus tôt, tandis que son résultat d'exploitation ajusté a triplé à 398 millions, contre un consensus vers 360 millions.
'Les principaux moteurs de cette bonne performance ont résidé dans les gains d'efficacité, la croissance rentable des activités de biens d'investissement et une amélioration significative dans la division sidérurgie en Amériques', explique-t-il.
Le chiffre d'affaires a augmenté d'environ 8% à 10,7 milliards d'euros (+5% en données comparables), soutenu par toutes les divisions (sauf la sidérurgie en Europe à cause de cessions), et les prises de commandes se sont accrues de 8% à 10,2 milliards.
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