Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une consolidation ce lundi, la prudence restant de mise en raison des craintes pesant sur la croissance mondiale, suite à la diffusion de résultats économiques décevants de la part du Japon.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.06%.
L'atmosphère s'était en effet assombrie après que des informations officielles aient signalé ce matin que l'économie nippone avait progressé de 0.3% d'avril à juin, soit la moitié des 0.6% espérés, contre 1.2% après révision à la hausse sur le premier trimestre, la demande extérieure ayant été malmenée par la crise de la dette de la zone euro.
Il avait déjà été révélé vendredi que les exportations chinoises avaient nettement plongé en juillet, et que les importations avaient aussi ralenti.
Le moral demeurait toutefois plutôt soutenu par l'idée selon laquelle la Banque Centrale Européenne compterait bientôt mettre en place des mesures destinées à régler le problème du surendettement régional.
La technologie était attendue sur le devant de la scène, après qu'il ait été rapporté que Google comptait procéder à environ 4 000 licenciements au sein de Motorola Mobility Holdings, soit 20% des employés de la compagnie qu'il a récemment acquise pour environ 12.5 milliards d'USD, lui faisant rafler 1.55% en pré-ouverture.
Barnes & Noble a pour sa part réduit dimanche les prix de ses lecteurs et tablettes électroniques Nook, en prévision de la rentrée, sur fond de rumeurs de lancement par l'entreprise rivale Amazon d'un nouveau modèle de leur concurrent, le Kindle Fire, se faisant couper l'herbe sous le pied de 0.64% avant les premiers échanges.
Facebook, le géant des réseaux sociaux, était aussi sous les feux de l'actualité, plus de 1.6 milliards de ses actions étant sur le point de pouvoir arriver sur le marché lors de vagues multiples, dont la première devrait avoir lieu jeudi, permettant ainsi à un certain nombre d'actionnaires de procéder à des ventes.
Du côté de la finance, Citigroupp a plongé de 0.73% avant le début des échanges, après que Federal Deposit Insurance Corp. lui ait intenté un procès lié aux titres sécurisés vendus à la Colonial Bank.
FDIC aurait déclaré dans article de l'agence de presse Bloomberg que plusieurs établissements financiers, au nombre desquels figurait donc le premier, auraient caché la qualité réelle des prêts auxquels étaient adossés 388 millions d'USD d'actifs acquis par le dernier.
Le gestionnaire d'investissements privés suisse Julius Baer semblait compter de son côté vouloir mettre la main sur la branche non-américaine de la Bank of America’s Merrill Lynch opérant dans le même domaine, acceptant de payer environ 860 millions de CHF pour augmenter de 40 % le volume de ses capitaux gérés, et renforçant sa position avec un programme visant à lever 1.19 milliards de CHF de liquidités supplémentaires.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noterSysco, Groupon et la compagnie minière Iamgold.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 gagnant 0.49%, le CAC 40 français 0.4%, et le DAX 30 allemand 0.27%, le FTSE 100 britannique arrachant 0.07%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait trébuché de 0.27%, et le Nikkei 225 japonais de 0.07%.
Aucun résultat économique majeur n'était attendu aujourd'hui de la part du bloc euro ou des Etats-Unis, poussant l'attention à se concentrer sur le volume des ventes et l'évolution des prix au détail de ces derniers, devant être révélés en cours de semaine.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.06%.
L'atmosphère s'était en effet assombrie après que des informations officielles aient signalé ce matin que l'économie nippone avait progressé de 0.3% d'avril à juin, soit la moitié des 0.6% espérés, contre 1.2% après révision à la hausse sur le premier trimestre, la demande extérieure ayant été malmenée par la crise de la dette de la zone euro.
Il avait déjà été révélé vendredi que les exportations chinoises avaient nettement plongé en juillet, et que les importations avaient aussi ralenti.
Le moral demeurait toutefois plutôt soutenu par l'idée selon laquelle la Banque Centrale Européenne compterait bientôt mettre en place des mesures destinées à régler le problème du surendettement régional.
La technologie était attendue sur le devant de la scène, après qu'il ait été rapporté que Google comptait procéder à environ 4 000 licenciements au sein de Motorola Mobility Holdings, soit 20% des employés de la compagnie qu'il a récemment acquise pour environ 12.5 milliards d'USD, lui faisant rafler 1.55% en pré-ouverture.
Barnes & Noble a pour sa part réduit dimanche les prix de ses lecteurs et tablettes électroniques Nook, en prévision de la rentrée, sur fond de rumeurs de lancement par l'entreprise rivale Amazon d'un nouveau modèle de leur concurrent, le Kindle Fire, se faisant couper l'herbe sous le pied de 0.64% avant les premiers échanges.
Facebook, le géant des réseaux sociaux, était aussi sous les feux de l'actualité, plus de 1.6 milliards de ses actions étant sur le point de pouvoir arriver sur le marché lors de vagues multiples, dont la première devrait avoir lieu jeudi, permettant ainsi à un certain nombre d'actionnaires de procéder à des ventes.
Du côté de la finance, Citigroupp a plongé de 0.73% avant le début des échanges, après que Federal Deposit Insurance Corp. lui ait intenté un procès lié aux titres sécurisés vendus à la Colonial Bank.
FDIC aurait déclaré dans article de l'agence de presse Bloomberg que plusieurs établissements financiers, au nombre desquels figurait donc le premier, auraient caché la qualité réelle des prêts auxquels étaient adossés 388 millions d'USD d'actifs acquis par le dernier.
Le gestionnaire d'investissements privés suisse Julius Baer semblait compter de son côté vouloir mettre la main sur la branche non-américaine de la Bank of America’s Merrill Lynch opérant dans le même domaine, acceptant de payer environ 860 millions de CHF pour augmenter de 40 % le volume de ses capitaux gérés, et renforçant sa position avec un programme visant à lever 1.19 milliards de CHF de liquidités supplémentaires.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noterSysco, Groupon et la compagnie minière Iamgold.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 gagnant 0.49%, le CAC 40 français 0.4%, et le DAX 30 allemand 0.27%, le FTSE 100 britannique arrachant 0.07%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait trébuché de 0.27%, et le Nikkei 225 japonais de 0.07%.
Aucun résultat économique majeur n'était attendu aujourd'hui de la part du bloc euro ou des Etats-Unis, poussant l'attention à se concentrer sur le volume des ventes et l'évolution des prix au détail de ces derniers, devant être révélés en cours de semaine.