Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture légèrement positive ce mercreid, les observateurs guettant un communiqué de la Réserve Fédérale en fin de journée, dans l'expectative de nouveaux accomodements monétaires de sa part.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
L'optimisme se trouvait encouragé par l'espoir que la banque centrale américaine annonce des mesures stimulatrices supplémentaires suite à sa réunion d'orientation, après une série de performances économiques décevantes de la part des Etats-Unis.
Cette tendance se confirmait suite aux signes indiquant que les chefs des partis nationaux semblaient sur le point de former un gouvernement de coalition.
Le taux des obligations décennales espagnoles était quand à lui retombé à 6.9%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de peur que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
Adobe Systems était attendu au tournant après avoir revu hier à la baisse ses prévisions de rentrées annuelles, la faiblesse de la demande européenne ayant des chances de nuire aux ventes des dernières versions de ses logiciels d'imagerie, récemment lancées, plongeant de 5.08% en pré-ouverture.
Toujours dans le domaine technologique, le fournisseur de matériel électronique FSI International a dégringolé de 13.06% après la fermeture, ayant prédit un quatrième trimestre décevant, la relentissement de l'économie mondiale poussant ses clients à repousser les investissements.
Le fabricant sous-traitant de puces Jabil Circuit a fait de même, en raison de la stagantion de ses ventes, bondissant toutefois de 1.96% après la cloche avec l'espoir qu'il continue à fournir un gros assembleur de téléphones mobiles.
Parmi les autre compagnies faisant l'actualité, Procter & Gamble prévoyaient des bénéfices annuels hésitant entre la stagnation et jusqu'à 5% d'amélioration, les ventes devant situer leur avancée entre 2 et 4%.
Du côté de la finance, JP Morgan restait sous les feux de l'actualité après qu'un juge de Manhattan ait tranché en sa défaveur au cours d'un procès concernant des pertes sur des titres sécurisés adossés à des prêts immobiliers douteux, ce qui pourrait encourager les assureurs cherchant à les tenir pour responsables.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter PepsiCo, le géant des boissons ayant déploré que les taux de changes défavorables aient davantage écorné ses profits qu'il n'avait été craint.
Les opérateurs avaient aussi Bed Bath & Beyond et Red Hat en ligne de mire, leurs performances étant attendues après la clôture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 fléchissant de 0.08%, et le CAC 40 français de 0.16%, tandis que le DAX 30 allemand gagnait 0.16% et le FTSE 100 britannique 0.48%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.6%, et le Nikkei 225 japonais 1.1%.
La Fed révèlera quand à elle son taux d'intérêt directeur en fin de journée dans son communiqué sur la question, après quoi Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse très attendue au sujet du cap qui aura été pris.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
L'optimisme se trouvait encouragé par l'espoir que la banque centrale américaine annonce des mesures stimulatrices supplémentaires suite à sa réunion d'orientation, après une série de performances économiques décevantes de la part des Etats-Unis.
Cette tendance se confirmait suite aux signes indiquant que les chefs des partis nationaux semblaient sur le point de former un gouvernement de coalition.
Le taux des obligations décennales espagnoles était quand à lui retombé à 6.9%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de peur que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
Adobe Systems était attendu au tournant après avoir revu hier à la baisse ses prévisions de rentrées annuelles, la faiblesse de la demande européenne ayant des chances de nuire aux ventes des dernières versions de ses logiciels d'imagerie, récemment lancées, plongeant de 5.08% en pré-ouverture.
Toujours dans le domaine technologique, le fournisseur de matériel électronique FSI International a dégringolé de 13.06% après la fermeture, ayant prédit un quatrième trimestre décevant, la relentissement de l'économie mondiale poussant ses clients à repousser les investissements.
Le fabricant sous-traitant de puces Jabil Circuit a fait de même, en raison de la stagantion de ses ventes, bondissant toutefois de 1.96% après la cloche avec l'espoir qu'il continue à fournir un gros assembleur de téléphones mobiles.
Parmi les autre compagnies faisant l'actualité, Procter & Gamble prévoyaient des bénéfices annuels hésitant entre la stagnation et jusqu'à 5% d'amélioration, les ventes devant situer leur avancée entre 2 et 4%.
Du côté de la finance, JP Morgan restait sous les feux de l'actualité après qu'un juge de Manhattan ait tranché en sa défaveur au cours d'un procès concernant des pertes sur des titres sécurisés adossés à des prêts immobiliers douteux, ce qui pourrait encourager les assureurs cherchant à les tenir pour responsables.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter PepsiCo, le géant des boissons ayant déploré que les taux de changes défavorables aient davantage écorné ses profits qu'il n'avait été craint.
Les opérateurs avaient aussi Bed Bath & Beyond et Red Hat en ligne de mire, leurs performances étant attendues après la clôture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 fléchissant de 0.08%, et le CAC 40 français de 0.16%, tandis que le DAX 30 allemand gagnait 0.16% et le FTSE 100 britannique 0.48%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.6%, et le Nikkei 225 japonais 1.1%.
La Fed révèlera quand à elle son taux d'intérêt directeur en fin de journée dans son communiqué sur la question, après quoi Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse très attendue au sujet du cap qui aura été pris.