Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce lundi après-midi, les performances surprenantes de l'emploi américain dévoilées lors de la session précédente alimentant toujours les rumeurs de réduction prochaine des apports de capitaux de son émettrice, dans l'expectative des résultats du second trimestre.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,49%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,58% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,63%.
Les autorités des Etats-Unis avaient en effet décompté 195.000 emplois supplémentaires en juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Les 175.000 précédents avaient d'autre part été revus vers le haut jusqu'à 195.000, et le taux de chômage se maintenait quand à lui à 7,6% le mois passé.
La finance était sur le devant de la scène, dans le sillage de ses belles performances de vendredi, prolongé par l'Europe ce matin, la Bank of America gagnant 0,68% en pré-ouverture, Citigroup lui emboîtant le pas avec 0,60%.
Alcoa, premier producteur d'aluminium des Etats-Unis, était aussi sous les feux de la rampe, grimpant de 0,51% avant l'ouverture des hostilités, s'apprêtant à donner en fin de journée le coup d'envoi des proclamations de résultats trimestriels.
L'assembleur d'ordinateurs Dell n'était pas à négliger, alors qu'il se disait que l'offre de rachat émise par Michael Dell et Silver Lake ne dépasserait pas les 24,4 milliards d'USD actuels.
Toujours sur le front de l'informatique, Apple grignotait 0,61% avant l'ouverture, bien que les chiffres décevants diffusés la semaine dernière par ses rivaux Samsung et HTC aient alimenté le crainte d'une saturation du marché des intelliphones.
Les bourses européennes étaient elles aussi nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 2,08%, le CAC 40 français de 1,83%, le DAX 30 allemand de 2,26% et le FTSE 100 britannique de 1,05%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong dégringolant de 1,31%, et le Nikkei 225 japonais de 1,4%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,49%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,58% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,63%.
Les autorités des Etats-Unis avaient en effet décompté 195.000 emplois supplémentaires en juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Les 175.000 précédents avaient d'autre part été revus vers le haut jusqu'à 195.000, et le taux de chômage se maintenait quand à lui à 7,6% le mois passé.
La finance était sur le devant de la scène, dans le sillage de ses belles performances de vendredi, prolongé par l'Europe ce matin, la Bank of America gagnant 0,68% en pré-ouverture, Citigroup lui emboîtant le pas avec 0,60%.
Alcoa, premier producteur d'aluminium des Etats-Unis, était aussi sous les feux de la rampe, grimpant de 0,51% avant l'ouverture des hostilités, s'apprêtant à donner en fin de journée le coup d'envoi des proclamations de résultats trimestriels.
L'assembleur d'ordinateurs Dell n'était pas à négliger, alors qu'il se disait que l'offre de rachat émise par Michael Dell et Silver Lake ne dépasserait pas les 24,4 milliards d'USD actuels.
Toujours sur le front de l'informatique, Apple grignotait 0,61% avant l'ouverture, bien que les chiffres décevants diffusés la semaine dernière par ses rivaux Samsung et HTC aient alimenté le crainte d'une saturation du marché des intelliphones.
Les bourses européennes étaient elles aussi nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 2,08%, le CAC 40 français de 1,83%, le DAX 30 allemand de 2,26% et le FTSE 100 britannique de 1,05%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong dégringolant de 1,31%, et le Nikkei 225 japonais de 1,4%.