Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture stagnante ce jeudi après-midi, dans l'expectative de la série de résultats économiques d'aujourd'hui, tandis que l'ombre de la dette européenne continuait à planer.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.02%, celles sur le S&P 500 envisageant des pertes de 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 laissant entrevoir une amélioration de 0.17%.
La prudence restait le maître mot, sur fond d'incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Le soulagement avait été général après que des chiffres officiels aient montré que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine était remonté depuis 49.8 jusqu'à 50.2 pour octobre, soit à peine moins que les 50.3 escomptés.
La valeur finale de celui établi dans le même secteur par la banque HSBC se situait quand à elle à 49.5 pour septembre, sa plus forte valeur en huit mois.
Internet semblait devoir être à l'honneur, après que l'investisseur reconnu Carl Icahn ait révélé détenir 9.98% du diffuseur de films en ligne Netflix, dans le cadre d'une déclaration 13D auprès des autorités boursières, ce qui n'a pas empêché ce dernier de déraper de 1.56% en pré-ouverture.
Facebook grignotait 0.09% dans le même temps, après avoir dégringolé de plus de 3% hier suite à l'expiration du délai empêchant ses employés de revendre leurs actions.
Ils auraient dû pouvoir le faire dès lundi, mais la fermeture causée par les intempéries les en avait empêchés, sachant qu'environ 234 millions d'entre elles sont détenues par le personnel du géant des réseaux sociaux et susceptibles d'être écoulées sur les marchés publics.
Le géant technologique Apple était aussi sous les feux de l'actualité, après avoir brièvement trébuché mercredi sous sa moyenne fluctuante à 200 jours pour la première fois en près d'un an, reprenant toutefois 0.11% avant les premières transactions.
Walt Disney a pour sa part pris 0.16% après la fermeture, après avoir décidé d'acheter Lucasfilm, l'empire cinématographique du metteur en scène George Lucas, pour 4.05 milliards d'USD, avec à la clef la promesse surprenante d'un nouveau film de la série de la Guerre Des Etoiles en 2015.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Exxon Mobil et Pfizer, ainsi qu'AIG, les cafés Starbucks et le groupe alimentaire Kellogg dont les proclamations de résultats devraient intervenir avant la cloche marquant le lancement des hostilités.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.53%, le CAC 40 français de 0.55%, le DAX 30 allemand de 0.55% aussi et le FTSE 100 britannique de 0.52%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.83%, et le Nikkei 225 japonais 0.21%.
L'agence de gestion des ressources humaines américaine ADP comptait de son côté diffuser en fin de journée une étude au sujet des emplois hors agriculture, tandis que le gouvernement rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements fera de même avec ses informations concernant l'activité manufacturière nationale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.02%, celles sur le S&P 500 envisageant des pertes de 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 laissant entrevoir une amélioration de 0.17%.
La prudence restait le maître mot, sur fond d'incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Le soulagement avait été général après que des chiffres officiels aient montré que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine était remonté depuis 49.8 jusqu'à 50.2 pour octobre, soit à peine moins que les 50.3 escomptés.
La valeur finale de celui établi dans le même secteur par la banque HSBC se situait quand à elle à 49.5 pour septembre, sa plus forte valeur en huit mois.
Internet semblait devoir être à l'honneur, après que l'investisseur reconnu Carl Icahn ait révélé détenir 9.98% du diffuseur de films en ligne Netflix, dans le cadre d'une déclaration 13D auprès des autorités boursières, ce qui n'a pas empêché ce dernier de déraper de 1.56% en pré-ouverture.
Facebook grignotait 0.09% dans le même temps, après avoir dégringolé de plus de 3% hier suite à l'expiration du délai empêchant ses employés de revendre leurs actions.
Ils auraient dû pouvoir le faire dès lundi, mais la fermeture causée par les intempéries les en avait empêchés, sachant qu'environ 234 millions d'entre elles sont détenues par le personnel du géant des réseaux sociaux et susceptibles d'être écoulées sur les marchés publics.
Le géant technologique Apple était aussi sous les feux de l'actualité, après avoir brièvement trébuché mercredi sous sa moyenne fluctuante à 200 jours pour la première fois en près d'un an, reprenant toutefois 0.11% avant les premières transactions.
Walt Disney a pour sa part pris 0.16% après la fermeture, après avoir décidé d'acheter Lucasfilm, l'empire cinématographique du metteur en scène George Lucas, pour 4.05 milliards d'USD, avec à la clef la promesse surprenante d'un nouveau film de la série de la Guerre Des Etoiles en 2015.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Exxon Mobil et Pfizer, ainsi qu'AIG, les cafés Starbucks et le groupe alimentaire Kellogg dont les proclamations de résultats devraient intervenir avant la cloche marquant le lancement des hostilités.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.53%, le CAC 40 français de 0.55%, le DAX 30 allemand de 0.55% aussi et le FTSE 100 britannique de 0.52%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.83%, et le Nikkei 225 japonais 0.21%.
L'agence de gestion des ressources humaines américaine ADP comptait de son côté diffuser en fin de journée une étude au sujet des emplois hors agriculture, tandis que le gouvernement rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements fera de même avec ses informations concernant l'activité manufacturière nationale.