Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans direction claire ce vendredi après-midi, dans l'expectative des chiffres que les Etats-Unis publieront sous peu, sur fond d'incertitudes au sujet d'un éventuel resserrage de boulons de la part de leur banque centrale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de %, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,02%.
La nervosité était palpable à cause des incertitudes causées par des créations de postes américaines inférieures aux espérances, laissant peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD d'acquisitions d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La situation syrienne faisait toujours des gorges chaudes, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, ait entamé le même jour des discussions avec son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
Des désaccords ont cependant émergé, et il a déclaré que la promesse de son abandon pris par le gouvernement de la Syrie n'était "tout simplement pas suffisante".
Verizon était attendu sur le devant de la scène, après qu'Evercore Partners l'ait élevé au rang de "poids lourd" suite à son rachat des 45% de parts de Vodafone dans leur coentreprise Verizon Wireless.
BlackRock et Pimco aurait quand à eux acquis au moins un quart des 49 milliards d'USD d'obligations qu'il a émises, un refinancement record pour efectuer la manoeuvre.
Verizon Communications grimpait du coup de 0,32% en pré-ouverture.
Le fondeur de microprocesseurs Intel était aussi sous lles feux de l'actualité, après que Jefferies en ait remonté l'appréciation depuis la neutralité vers le conseil d'achat, ainsi que l'objectif de cours de 27 à 30 USD.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Twitter, le réseau social de micromessagerie ayant annoncé sa mise sur le marché imminente.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,17%, le CAC 40 français de 0,16%, le DAX 30 allemand de 0,10% et le FTSE 100 britannique de 0,26%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0,17%, et le Nikkei 225 japonais de 0,12%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des consommateurs, celui de leur production industrielle et une évaluation préliminaire du moral de leurs consommateurs établie par l'université du Michigan.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de %, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,02%.
La nervosité était palpable à cause des incertitudes causées par des créations de postes américaines inférieures aux espérances, laissant peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD d'acquisitions d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La situation syrienne faisait toujours des gorges chaudes, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, ait entamé le même jour des discussions avec son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
Des désaccords ont cependant émergé, et il a déclaré que la promesse de son abandon pris par le gouvernement de la Syrie n'était "tout simplement pas suffisante".
Verizon était attendu sur le devant de la scène, après qu'Evercore Partners l'ait élevé au rang de "poids lourd" suite à son rachat des 45% de parts de Vodafone dans leur coentreprise Verizon Wireless.
BlackRock et Pimco aurait quand à eux acquis au moins un quart des 49 milliards d'USD d'obligations qu'il a émises, un refinancement record pour efectuer la manoeuvre.
Verizon Communications grimpait du coup de 0,32% en pré-ouverture.
Le fondeur de microprocesseurs Intel était aussi sous lles feux de l'actualité, après que Jefferies en ait remonté l'appréciation depuis la neutralité vers le conseil d'achat, ainsi que l'objectif de cours de 27 à 30 USD.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Twitter, le réseau social de micromessagerie ayant annoncé sa mise sur le marché imminente.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,17%, le CAC 40 français de 0,16%, le DAX 30 allemand de 0,10% et le FTSE 100 britannique de 0,26%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0,17%, et le Nikkei 225 japonais de 0,12%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des consommateurs, celui de leur production industrielle et une évaluation préliminaire du moral de leurs consommateurs établie par l'université du Michigan.