Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en retrait ce mardi après-midi, la nervosité ambiante se trouvant exacerbée par la crainte d'une action militaire des Etats-Unis contre le gouvernement de la Syrie, sur fond d'incertitudes concernant le futur des coups de pouce de la banque centrale des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,64%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,74% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,91%.
Les valeurs refuge ont en effet repris du poil de la bête après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités en cas d'emploi avéré d'armes chimiques contre la population.
Les incertitudes persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce se sont aussi intensifiées après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables y avaient dégringolé le mois passé, laissant redouter un passage à vide de la demande nationale.
Le département d'état au commerce du pays a ainsi déploré pour elles 7,3% de moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Il avait déjà enregistré vendredi sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
J.C. Penney était sur le devant de la scène, après que l'investisseur activiste Bill Ackman ait annoncé qu'il se débarrassait de toutes ses parts dans le sillage d'une altercation publique avec son conseil d'administration, le faisant sombrer de 1,72% en pré-ouverture.
Il en allait de même pour Best Buy, avec 0,98% après la fin des hostilités, suite à l'aveu par son fondateur et actionnaire principal Richard Schulze de son intention de liquider une partie de ses parts avin de diversifier son portefeuille et lever des fonds.
Sur le front financier, la Bank of America plongeait de 1,04% avant les premiers échanges, après que sa plainte contre la Federal Deposit Insurance portant sur 1,7 milliards d'USD de pertes subies par ses investisseurs ait été rejetée par un tribunal fédéral.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Tiffany, DSW, la Bank of Montreal, la Bank of Nova Scotia, Avago et Tivo, dont les résultats du second trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 dérapant de 1,36%, le CAC 40 français de 1,31%, le DAX 30 allemand de 1,38% et le FTSE 100 britannique de 0,61%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,65%, mais le Nikkei 225 japonais laissait échapper 0,59%.
Les acteurs de l'immobilier américain comptaient de leur côté conclure la journée avec leur mesure de l'évolution des coûts des logements, après quoi seront divulgués les chiffres cruciaux concernant la confiance des consommateurs du pays.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,64%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,74% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,91%.
Les valeurs refuge ont en effet repris du poil de la bête après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités en cas d'emploi avéré d'armes chimiques contre la population.
Les incertitudes persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce se sont aussi intensifiées après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables y avaient dégringolé le mois passé, laissant redouter un passage à vide de la demande nationale.
Le département d'état au commerce du pays a ainsi déploré pour elles 7,3% de moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Il avait déjà enregistré vendredi sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
J.C. Penney était sur le devant de la scène, après que l'investisseur activiste Bill Ackman ait annoncé qu'il se débarrassait de toutes ses parts dans le sillage d'une altercation publique avec son conseil d'administration, le faisant sombrer de 1,72% en pré-ouverture.
Il en allait de même pour Best Buy, avec 0,98% après la fin des hostilités, suite à l'aveu par son fondateur et actionnaire principal Richard Schulze de son intention de liquider une partie de ses parts avin de diversifier son portefeuille et lever des fonds.
Sur le front financier, la Bank of America plongeait de 1,04% avant les premiers échanges, après que sa plainte contre la Federal Deposit Insurance portant sur 1,7 milliards d'USD de pertes subies par ses investisseurs ait été rejetée par un tribunal fédéral.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Tiffany, DSW, la Bank of Montreal, la Bank of Nova Scotia, Avago et Tivo, dont les résultats du second trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 dérapant de 1,36%, le CAC 40 français de 1,31%, le DAX 30 allemand de 1,38% et le FTSE 100 britannique de 0,61%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,65%, mais le Nikkei 225 japonais laissait échapper 0,59%.
Les acteurs de l'immobilier américain comptaient de leur côté conclure la journée avec leur mesure de l'évolution des coûts des logements, après quoi seront divulgués les chiffres cruciaux concernant la confiance des consommateurs du pays.