Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture plutôt négative ce vendredi, l'ambiance se trouvant plombée par l'angoisse de la dette des Etats-Unis, tandis que les observateurs guettaient de nouveaux résultats.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.01%, mais celles sur le S&P 500 redoutaient un faux pas de 0.01%, celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.23%.
Les incertitudes découlant de l'impasse politique au sujet du relèvement du plafond d'endettement des Etats-Unis continuaient en effet à peser, le président Barack Obama ayant exhorté en début de semaine les élus républicains à ne pas chercher à monnayer leur approbation contre des concessions budgétaires.
Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, avait rappelé hier que les chicaneries à ce sujet pourraient se révéler catastrophiques pour l'économie mondiale au cas où elles ne seraient pas résolues à temps.
Le moral avait pourtant retrouvé des couleurs dans la matinée, après qu'une étude officielle ait montré que le produit intérieur brut de la Chine avait bondi au quatrième trimestre de 7.9% par rapport à l'année dernière, au lieu des 7.8% espérés suite aux 7.4% précédents.
General Electric était sous haute surveillance, à l'approche de la divulgation cet après-midi de son bilan des trois derniers mois de l'année.
la technologie n'était pas en reste, le fabricant de microprocesseurs Intel étant sur toutes les lèvres après avoir déploré un second trimestre d'affilée de recul de ses ventes, ses rentrées de début octobre à fin décembre fléchissant de 3% pour descendre à 13.5 milliards d'USD, le faisant dégringoler de 4.81% en pré-ouverture.
AT&T, premier opérateur téléphonique américain, limitait pendant ce temps les dégâts subis par ses actions à 1.27%, suite à l'aveu de 10 milliards d'USD de frais sur la même période pour son plan de retraite, regrettant que les aides à l'achat d'intelliphones limitent ses bénéfices.
Il a ajouté que l'ouragan Sandy et les autres intempéries avaient limité ses rentrées, limitant ses profits opérationnels à 175 millions d'USD dans ce laps de temps, le reste de ses performances étant programmé pour le 24 janvier.
Capital One s'effondrait de 7.27% de son côté, ses bénéfices décevant les attentes en raison de prêts générant davantage de pertes qu'escompté.
La finance n'était pas non plus à négliger à l'orée de la proclamation de Morgan Stanley, la Bank of America et Citigroup n'ayant pas fait d'étincelles hier.
Les bourses européennes évolaient quand à elles en ordre dispersé, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.05%, le CAC 40 français grignotant 0.13%, le DAX 30 allemand trébuchant de 0.08% et le FTSE 100 britannique grimpantt de 0.63%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 1.12%, et le Nikkei 225 japonais 2.86%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec leur baromètre de l'humeur des ménages établi par l'université du Michigan.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.01%, mais celles sur le S&P 500 redoutaient un faux pas de 0.01%, celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.23%.
Les incertitudes découlant de l'impasse politique au sujet du relèvement du plafond d'endettement des Etats-Unis continuaient en effet à peser, le président Barack Obama ayant exhorté en début de semaine les élus républicains à ne pas chercher à monnayer leur approbation contre des concessions budgétaires.
Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, avait rappelé hier que les chicaneries à ce sujet pourraient se révéler catastrophiques pour l'économie mondiale au cas où elles ne seraient pas résolues à temps.
Le moral avait pourtant retrouvé des couleurs dans la matinée, après qu'une étude officielle ait montré que le produit intérieur brut de la Chine avait bondi au quatrième trimestre de 7.9% par rapport à l'année dernière, au lieu des 7.8% espérés suite aux 7.4% précédents.
General Electric était sous haute surveillance, à l'approche de la divulgation cet après-midi de son bilan des trois derniers mois de l'année.
la technologie n'était pas en reste, le fabricant de microprocesseurs Intel étant sur toutes les lèvres après avoir déploré un second trimestre d'affilée de recul de ses ventes, ses rentrées de début octobre à fin décembre fléchissant de 3% pour descendre à 13.5 milliards d'USD, le faisant dégringoler de 4.81% en pré-ouverture.
AT&T, premier opérateur téléphonique américain, limitait pendant ce temps les dégâts subis par ses actions à 1.27%, suite à l'aveu de 10 milliards d'USD de frais sur la même période pour son plan de retraite, regrettant que les aides à l'achat d'intelliphones limitent ses bénéfices.
Il a ajouté que l'ouragan Sandy et les autres intempéries avaient limité ses rentrées, limitant ses profits opérationnels à 175 millions d'USD dans ce laps de temps, le reste de ses performances étant programmé pour le 24 janvier.
Capital One s'effondrait de 7.27% de son côté, ses bénéfices décevant les attentes en raison de prêts générant davantage de pertes qu'escompté.
La finance n'était pas non plus à négliger à l'orée de la proclamation de Morgan Stanley, la Bank of America et Citigroup n'ayant pas fait d'étincelles hier.
Les bourses européennes évolaient quand à elles en ordre dispersé, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.05%, le CAC 40 français grignotant 0.13%, le DAX 30 allemand trébuchant de 0.08% et le FTSE 100 britannique grimpantt de 0.63%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 1.12%, et le Nikkei 225 japonais 2.86%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec leur baromètre de l'humeur des ménages établi par l'université du Michigan.