Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce jeudi, demeurant toutefois sous pression après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis ait mis à mal l'attente de nouvelles mesures stimulatrices, sur fond de crainte d'un accèchement des liquidités en zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.43%.
Lors de son témoignage d'hier devant le congrès, M. Bernanke a en effet étouffé l'espoir d'une nouvelle série d'achats d'actifs, après avoir salué les récentes améliorations du marché de l'emploi, et déclaré que la flambée du pétrole pourrait stimuler l'inflation.
Il a toutefois précisé que la banque centrale se trouvait prête à procéder à des ajustements destinés à soutenir la relance "au besoin".
Le moral demeurait toutefois bas, dans l'incertitude sur l'efficacité à long terme de la dernière opération de refinancement massif de la Banque Centrale Européenne.
La finance se trouvait sous les feux de l'actualité, la Bank of America engrangeant 1% avant l'ouverture alors qu'elle caressait d'après le Wall Street Journal l'espoir de mettre en place un paiement mensuel dont devront s'acquitter ses clients ayant un compte-chèque, à moins qu'ils n'acceptent d'utiliser les services en ligne, d'acheter davantage de produits ou d'y maintenir un certaine quantité de liquidités, Citigroup trébuchant de 0.21% dans le même temps.
Les constructeurs automobiles snt aussi attendus au tournant, General Motors ayant dérapé de 0.35% après la fermeture suite à son alliance mondiale avec PSA PEugeot Citroën, visant à réduire ses frais annuels d'au moins 2 milliards d'USD sans fermetures d'usines ni de plans sociaux en Europe.
Dans le secteur énergétique, Kinder Morgan devrait évoluer après avoir été autoriser à prendre pour 21.1 milliards d'USD le contrôle d'El Paso Corp. par un juge ayant estimé que le conflit d'intérêt du Goldman Sachs Group dans la manoeuvre ne suffisait pas à annuler le vote des actionnaires.
News Corp a pour sa part reculé de 0.15% après la fermeture suite à la démission hier de James Murdoch de son poste de directeur exécutif de News International, laissant planer le doute sur sa capacité à succéder à son père Rupert en tant que P-DG de News Corp suite au scandale des écoutes téléphoniques dans la branche qu'il dirigeait.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Kroger, première chaîne de supermarchés des Etats-Unis, dont les résultats trimestriels seront publiés dans la journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 gagnant 0.83%, le CAC 40 français 0.75%, le DAX 30 allemand 0.75% aussi et le FTSE 100 britannique 0.65%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 1.35%, et le Nikkei 225 japonais de 0.2%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux rendre cet après-midi leurs informations hebdomadaires sur les nouvelles inscriptions au chômage, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements fera de même concernant l'activité manufacturière, et que M. Bernanke témoignera pour le second jour consécutif devant le comité financier parlementaire de Washington.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.43%.
Lors de son témoignage d'hier devant le congrès, M. Bernanke a en effet étouffé l'espoir d'une nouvelle série d'achats d'actifs, après avoir salué les récentes améliorations du marché de l'emploi, et déclaré que la flambée du pétrole pourrait stimuler l'inflation.
Il a toutefois précisé que la banque centrale se trouvait prête à procéder à des ajustements destinés à soutenir la relance "au besoin".
Le moral demeurait toutefois bas, dans l'incertitude sur l'efficacité à long terme de la dernière opération de refinancement massif de la Banque Centrale Européenne.
La finance se trouvait sous les feux de l'actualité, la Bank of America engrangeant 1% avant l'ouverture alors qu'elle caressait d'après le Wall Street Journal l'espoir de mettre en place un paiement mensuel dont devront s'acquitter ses clients ayant un compte-chèque, à moins qu'ils n'acceptent d'utiliser les services en ligne, d'acheter davantage de produits ou d'y maintenir un certaine quantité de liquidités, Citigroup trébuchant de 0.21% dans le même temps.
Les constructeurs automobiles snt aussi attendus au tournant, General Motors ayant dérapé de 0.35% après la fermeture suite à son alliance mondiale avec PSA PEugeot Citroën, visant à réduire ses frais annuels d'au moins 2 milliards d'USD sans fermetures d'usines ni de plans sociaux en Europe.
Dans le secteur énergétique, Kinder Morgan devrait évoluer après avoir été autoriser à prendre pour 21.1 milliards d'USD le contrôle d'El Paso Corp. par un juge ayant estimé que le conflit d'intérêt du Goldman Sachs Group dans la manoeuvre ne suffisait pas à annuler le vote des actionnaires.
News Corp a pour sa part reculé de 0.15% après la fermeture suite à la démission hier de James Murdoch de son poste de directeur exécutif de News International, laissant planer le doute sur sa capacité à succéder à son père Rupert en tant que P-DG de News Corp suite au scandale des écoutes téléphoniques dans la branche qu'il dirigeait.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Kroger, première chaîne de supermarchés des Etats-Unis, dont les résultats trimestriels seront publiés dans la journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 gagnant 0.83%, le CAC 40 français 0.75%, le DAX 30 allemand 0.75% aussi et le FTSE 100 britannique 0.65%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 1.35%, et le Nikkei 225 japonais de 0.2%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux rendre cet après-midi leurs informations hebdomadaires sur les nouvelles inscriptions au chômage, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements fera de même concernant l'activité manufacturière, et que M. Bernanke témoignera pour le second jour consécutif devant le comité financier parlementaire de Washington.