Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en repli ce vendredi, le moral subissant l'expectative des pourparlers imminents portant sur le budget américain ainsi qu'un retour des inquiétudes venues d'Europe.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
La nervosité était d'autant plus intense que 85 milliards d'USD de sabrages budgétaires automatiques désignés comme des mises sous séquestre devaient prendre effet en fin de journée.
Le président Barack Obama a toutefois invité les chefs des deux factions parlementaires à d'ultimes pourparlers à la Maison Blanche avant l'heure limite de leur entrée en vigueur, mais les espoirs demeuraient faibles, les élus démocrates et républicains n'ayant toujours pas réussi à établir un plan de réduction des déficits consensuel
Les performances peu réjouissantes de la zone euro ont aussi contribué à assombrir les perspectives de croissance de la région, dont le taux de chômage a frémi depuis 11.8 vers 11.9% pour février, un nouveau record historique.
La grande distribution était sur le qui-vive, le modiste Gap ayant enregistré des bénéfices dépassant les espérances pour le quatrième trimestre, grâce à une augmentation du chiffre d'affaire par magasin en Amérique du Nord, et engrangeant du coup 2.36% après la clôture.
La finance n'était pas en reste, après que la Bank of America ait déclaré hier lors d'un dépôt de titres sécurisés que le parquet de l'état de New York enquêtait sur ses achats, ses sécurisation et ses souscriptions de prêts immobiliers.
Ses actions ont du coup dérapé de 0.36% en pré-ouverture.
Le revendeur de matériel électronique grand public Best Buy l'imitait de 0.67% après que le Wall Street Journal ait révélé la fin des négociations avec son fondateur Richard Schulze, désireux d'y prendre, en compagnie d'un groupe de liquidateurs, une participation minoritaire en échange de trois sièges à son conseil d'administration.
Le constructeur aéronautique Boeing était lui aussi sous les feux de la rampe en raison de rumeurs l'affirmant sur le point d'annoncer des centaires de suppressions d'emplois au cours de l'année au sein de son usine de Caroline du Sud fabriquant ses appareils controversés 787 Dreamliner.
Le site d'achats en commun Groupon empochait par contre 4.19% avant le lancement des hostilités, suite au renvoi dans la soirée de son directeur général Andrew Mason, en raison de son incapacité à mettre fin à l'érosion de son activité proincipale.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.24%, le CAC 40 français de 1.16%, le DAX 30 allemand de 0.92% et le FTSE 100 britannique de 0.51%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.61%, mais le Nikkei 225 japonais grignotait 0.41%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre de l'institut de gestion des approvisionnements portant sur l'état de leur secteur secondaire, le volume des dépenses individuelles et le moral des consommateurs révisé par l'université du Michigan.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
La nervosité était d'autant plus intense que 85 milliards d'USD de sabrages budgétaires automatiques désignés comme des mises sous séquestre devaient prendre effet en fin de journée.
Le président Barack Obama a toutefois invité les chefs des deux factions parlementaires à d'ultimes pourparlers à la Maison Blanche avant l'heure limite de leur entrée en vigueur, mais les espoirs demeuraient faibles, les élus démocrates et républicains n'ayant toujours pas réussi à établir un plan de réduction des déficits consensuel
Les performances peu réjouissantes de la zone euro ont aussi contribué à assombrir les perspectives de croissance de la région, dont le taux de chômage a frémi depuis 11.8 vers 11.9% pour février, un nouveau record historique.
La grande distribution était sur le qui-vive, le modiste Gap ayant enregistré des bénéfices dépassant les espérances pour le quatrième trimestre, grâce à une augmentation du chiffre d'affaire par magasin en Amérique du Nord, et engrangeant du coup 2.36% après la clôture.
La finance n'était pas en reste, après que la Bank of America ait déclaré hier lors d'un dépôt de titres sécurisés que le parquet de l'état de New York enquêtait sur ses achats, ses sécurisation et ses souscriptions de prêts immobiliers.
Ses actions ont du coup dérapé de 0.36% en pré-ouverture.
Le revendeur de matériel électronique grand public Best Buy l'imitait de 0.67% après que le Wall Street Journal ait révélé la fin des négociations avec son fondateur Richard Schulze, désireux d'y prendre, en compagnie d'un groupe de liquidateurs, une participation minoritaire en échange de trois sièges à son conseil d'administration.
Le constructeur aéronautique Boeing était lui aussi sous les feux de la rampe en raison de rumeurs l'affirmant sur le point d'annoncer des centaires de suppressions d'emplois au cours de l'année au sein de son usine de Caroline du Sud fabriquant ses appareils controversés 787 Dreamliner.
Le site d'achats en commun Groupon empochait par contre 4.19% avant le lancement des hostilités, suite au renvoi dans la soirée de son directeur général Andrew Mason, en raison de son incapacité à mettre fin à l'érosion de son activité proincipale.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.24%, le CAC 40 français de 1.16%, le DAX 30 allemand de 0.92% et le FTSE 100 britannique de 0.51%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.61%, mais le Nikkei 225 japonais grignotait 0.41%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre de l'institut de gestion des approvisionnements portant sur l'état de leur secteur secondaire, le volume des dépenses individuelles et le moral des consommateurs révisé par l'université du Michigan.