Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture à peine positive ce mercredi après-midi, les hypothèses de diminution des coups de pouce de la banque centrale des Etats-Unis étant passés au second plan, derrière l'ombre de leur possible intervention en Syrie.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,09%.
Les rumeurs de réduction de la voilure des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale ont tout de même refait surface après qu'il ait été montré mardi que la confiance des particuliers des Etats-Unis avait davantage augmenté en août qu'espéré, atteignant ainsi son meilleur niveau depuis janvier 2008.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a ainsi révélé que son baromètre de l'humeur des consommateurs avait frémi depuis les 81,0 révisés vers le haut de juillet vers 81,5, alors que les experts pensaient qu'il trébucherait à 79,0 pour la période considérée.
Mais la prudence restait de mise, avec l'idée d'une action militaire des Etats-Unis en Syrie s'étant trouvée confortée hier par le vice-président américain Joe Biden, affirmant n'avoir "aucun doute" que les autorités de Damas avaient employé des armes chimiques contre la population, et qu'elles devraient être mises devant leurs responsabilités.
Le quotidien New York Times était aussi sur le gril, après avoir avoué dans la soirée d'hier avoir été contraint de mettre son site Internet hors service suite à un piratage.
Il accusait tout comme Twitter Inc. l'armée cybernétique syrienne d'avoir procédé à des attaques sur son domaine, rendant au moins certaines parties inaccessibles.
Pour rester sur le front de l'informatique, Microsoft, l'ogre des systèmes d'exploitation, reprenait 0,72% après la clôture, après avoir déclaré compter augmenter son dividende, sur fond d'appels d'actionnaires activistes visant à offrir davantage de liquidités aux investisseurs.
La finance n'était pas en reste, après que l'opérateur Javier Martin-Artajo, anciennement employé de JP Morgan-Chase, ait été relâché par la police, après avoir formulé auprès d'un tribunal madrilène son opposition à la demande d'extradition des Etats-Unis, l'accusant d'avoir dissimulé des pertes ayant coûté 6,2 milliards d'USD.
Le mastodonte bancaire trébuchait du coup de 0,10% après la fin des hostilités.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Brown-Forman, Joy Global, Chico's et Williams-Sonoma, dont les résultats du second trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,89%, le CAC 40 français de 0,40%, le DAX 30 allemand de 1,08% et le FTSE 100 britannique de 0,62%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong dégringolait de 1,60%, et le Nikkei 225 japonais de 1,51%.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,09%.
Les rumeurs de réduction de la voilure des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale ont tout de même refait surface après qu'il ait été montré mardi que la confiance des particuliers des Etats-Unis avait davantage augmenté en août qu'espéré, atteignant ainsi son meilleur niveau depuis janvier 2008.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a ainsi révélé que son baromètre de l'humeur des consommateurs avait frémi depuis les 81,0 révisés vers le haut de juillet vers 81,5, alors que les experts pensaient qu'il trébucherait à 79,0 pour la période considérée.
Mais la prudence restait de mise, avec l'idée d'une action militaire des Etats-Unis en Syrie s'étant trouvée confortée hier par le vice-président américain Joe Biden, affirmant n'avoir "aucun doute" que les autorités de Damas avaient employé des armes chimiques contre la population, et qu'elles devraient être mises devant leurs responsabilités.
Le quotidien New York Times était aussi sur le gril, après avoir avoué dans la soirée d'hier avoir été contraint de mettre son site Internet hors service suite à un piratage.
Il accusait tout comme Twitter Inc. l'armée cybernétique syrienne d'avoir procédé à des attaques sur son domaine, rendant au moins certaines parties inaccessibles.
Pour rester sur le front de l'informatique, Microsoft, l'ogre des systèmes d'exploitation, reprenait 0,72% après la clôture, après avoir déclaré compter augmenter son dividende, sur fond d'appels d'actionnaires activistes visant à offrir davantage de liquidités aux investisseurs.
La finance n'était pas en reste, après que l'opérateur Javier Martin-Artajo, anciennement employé de JP Morgan-Chase, ait été relâché par la police, après avoir formulé auprès d'un tribunal madrilène son opposition à la demande d'extradition des Etats-Unis, l'accusant d'avoir dissimulé des pertes ayant coûté 6,2 milliards d'USD.
Le mastodonte bancaire trébuchait du coup de 0,10% après la fin des hostilités.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Brown-Forman, Joy Global, Chico's et Williams-Sonoma, dont les résultats du second trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,89%, le CAC 40 français de 0,40%, le DAX 30 allemand de 1,08% et le FTSE 100 britannique de 0,62%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong dégringolait de 1,60%, et le Nikkei 225 japonais de 1,51%.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.