Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mercredi après-midi, l'ambiance demeurant assombrie par les interrogations au sujet d'une éventuelle réduction des rachats d'actifs de la banque centrale des Etats-Unis dès cette année.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,55%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,61% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
L'industrie pharmaceutique était en ébullition, après que GlaxoSmithKline ait remercié son chef des recherches et du développement en Chine, après qu'une enquête ait montré que des informations utilisées dans le cadre d'un article publié en 2010 avait été falsifiée.
Il était aussi à noter que Borealis Infrastructure Management et ses partenaires koweïto-britanniques ont laissé expirer leur offre se montant à 5,3 milliards de GBP pour le fournisseur collectif d'eau britannique Severn Trent.
Google et Facebook étaient aussi sur le devant de la scène, au sein d'un groupe de compagnies demandant au gouvernement américain davantage de liberté dans la fourniture d'informations concernant la sécurité nationale, afin de tenter de rassurer leurs usagers craignant que les autorités disposent d'un accès illimité à leurs données personnelles.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter PVH et H&R Block, dont les résultats trimestriels seront proclamés avant la cloche d'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,55%, le CAC 40 français de 0,48%, le DAX 30 allemand de 0,11% et le FTSE 100 britannique de 0,15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculaient de 1,20%, et le Nikkei 225 japonais de 0,46%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,55%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,61% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
L'industrie pharmaceutique était en ébullition, après que GlaxoSmithKline ait remercié son chef des recherches et du développement en Chine, après qu'une enquête ait montré que des informations utilisées dans le cadre d'un article publié en 2010 avait été falsifiée.
Il était aussi à noter que Borealis Infrastructure Management et ses partenaires koweïto-britanniques ont laissé expirer leur offre se montant à 5,3 milliards de GBP pour le fournisseur collectif d'eau britannique Severn Trent.
Google et Facebook étaient aussi sur le devant de la scène, au sein d'un groupe de compagnies demandant au gouvernement américain davantage de liberté dans la fourniture d'informations concernant la sécurité nationale, afin de tenter de rassurer leurs usagers craignant que les autorités disposent d'un accès illimité à leurs données personnelles.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter PVH et H&R Block, dont les résultats trimestriels seront proclamés avant la cloche d'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,55%, le CAC 40 français de 0,48%, le DAX 30 allemand de 0,11% et le FTSE 100 britannique de 0,15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculaient de 1,20%, et le Nikkei 225 japonais de 0,46%.