Investing.com - Les options sur les actions américaines n'avaient guère la cote ce mercredi après-midi, le moral ayant été plombé par une contre-performance chinoise, dans l'ombre persistante des rumeurs de limitation les injections de liquidités de la banque centrale des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,53%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,58% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,63%.
La nervosité était palpable après que les autorités chinoises aient signalé à l'aube que leur indice des directeurs des achats du domaine tertiaire s'était rétracté depuis les 54,3 de mai vers 53,9.
Les yeux se tournaient désormais vers la série de statistiques de l'après-midi, et pour vendredi vers les chiffres de la masse salariale américaine, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'industrie pharmaceutique était en ébullition, alors qu'il se disait que Pfizer et Novartis pourraient émettre des proposiitions préliminaires pour Onyx Pharmaceuticals.
Ce dernier avait confirmé dimanche son rejet une offre d'achat d'Amgen, la plus grosse compagnie de biotechnologie au monde, pour environ 10 milliards d'USD, et il se rétractait de 0,52% en pré-ouverture.
Sur le front technologiquue, Apple se laissait grignoter 0,42%, après avoir pourtant fait savoir qu'il avait engagé Paul Deneve, ancien directeur général du fabricant de produits de luxe Yves St Laurent, afin de travailler sur des projets spéciaux pour le compte de son propre directeur général Tim Cook.
Il était aussi à noter que l'enchère de SoftBank se montant à 21,6 milliards d'USD pour l'opérateur de téléphonie Sprint Nextel avait obtenu le dernier feu vert nécessaire de la part des autorités boursières, faisant empocher 0,56% à ce dernier avant l'ouverture des hostilités.
Les constructeurs automobiles étaient aussi sur la brèche, après que le pilier General Motors ait revendiqué de fortes ventes le mois passé.
Son rival Ford affirmait pour sa part que l'industrie enregistrerait ses meilleures ventes mensuelles depuis décembre 2007.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1,91%, le CAC 40 français de 1,68%, le DAX 30 allemand de 1,61% et le FTSE 100 britannique de 1,59%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong dégringolait de 2,48%, et le Nikkei 225 japonais de 0,39%.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait dévoiler aujourd'hui ses chiffres portant sur le volume de la masse salariale non-agricole, les autorités faisant de même avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage avec une journée d'avance, ainsi que des informations ayant trait au commerce extérieur.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,53%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,58% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,63%.
La nervosité était palpable après que les autorités chinoises aient signalé à l'aube que leur indice des directeurs des achats du domaine tertiaire s'était rétracté depuis les 54,3 de mai vers 53,9.
Les yeux se tournaient désormais vers la série de statistiques de l'après-midi, et pour vendredi vers les chiffres de la masse salariale américaine, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'industrie pharmaceutique était en ébullition, alors qu'il se disait que Pfizer et Novartis pourraient émettre des proposiitions préliminaires pour Onyx Pharmaceuticals.
Ce dernier avait confirmé dimanche son rejet une offre d'achat d'Amgen, la plus grosse compagnie de biotechnologie au monde, pour environ 10 milliards d'USD, et il se rétractait de 0,52% en pré-ouverture.
Sur le front technologiquue, Apple se laissait grignoter 0,42%, après avoir pourtant fait savoir qu'il avait engagé Paul Deneve, ancien directeur général du fabricant de produits de luxe Yves St Laurent, afin de travailler sur des projets spéciaux pour le compte de son propre directeur général Tim Cook.
Il était aussi à noter que l'enchère de SoftBank se montant à 21,6 milliards d'USD pour l'opérateur de téléphonie Sprint Nextel avait obtenu le dernier feu vert nécessaire de la part des autorités boursières, faisant empocher 0,56% à ce dernier avant l'ouverture des hostilités.
Les constructeurs automobiles étaient aussi sur la brèche, après que le pilier General Motors ait revendiqué de fortes ventes le mois passé.
Son rival Ford affirmait pour sa part que l'industrie enregistrerait ses meilleures ventes mensuelles depuis décembre 2007.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1,91%, le CAC 40 français de 1,68%, le DAX 30 allemand de 1,61% et le FTSE 100 britannique de 1,59%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong dégringolait de 2,48%, et le Nikkei 225 japonais de 0,39%.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait dévoiler aujourd'hui ses chiffres portant sur le volume de la masse salariale non-agricole, les autorités faisant de même avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage avec une journée d'avance, ainsi que des informations ayant trait au commerce extérieur.